Organisé sur les réseaux sociaux, le convoi de la liberté corse pour "dire stop à toutes les mesures liberticides", mais aussi à l’augmentation des prix s’est élancé de plusieurs villes de Corse ce samedi 12 février en direction de Corte.
À Bastia dans une ambiance "calme et bienveillante" les participants n'étaient pas nombreux à 9 heures devant la préfecture, mais pas découragés : "Je pense que beaucoup de monde se joindra à nous" explique J. qui avec sa femme à décidé de participer au mouvement pour dénoncer des "restrictions gouvernementales inefficaces et liberticides", mais aussi pour contester la perte du pouvoir d'achat.
Né pour dénoncer des mesures sanitaires coercitives et demander "un retour à une vie normale", le convoi s'est aussi structuré autour d'un mécontentement lié au pouvoir d'achat qui préoccupe de plus en plus de citoyens. "Parmi nous il y a des gilets jaunes, mais peu importe le nom...le combat est le même" poursuit J. qui déplore "un prix à la pompe trop élevé, des factures toujours plus salées et une vie beaucoup trop chère".
À Bastia dans une ambiance "calme et bienveillante" les participants n'étaient pas nombreux à 9 heures devant la préfecture, mais pas découragés : "Je pense que beaucoup de monde se joindra à nous" explique J. qui avec sa femme à décidé de participer au mouvement pour dénoncer des "restrictions gouvernementales inefficaces et liberticides", mais aussi pour contester la perte du pouvoir d'achat.
Né pour dénoncer des mesures sanitaires coercitives et demander "un retour à une vie normale", le convoi s'est aussi structuré autour d'un mécontentement lié au pouvoir d'achat qui préoccupe de plus en plus de citoyens. "Parmi nous il y a des gilets jaunes, mais peu importe le nom...le combat est le même" poursuit J. qui déplore "un prix à la pompe trop élevé, des factures toujours plus salées et une vie beaucoup trop chère".
De nombreux véhicules mais pas de camions
A Ajaccio, les manifestants étaient bien plus nombreux qu'à Bastia : une soixantaine d'opposants au président Emmanuel Macron, au pass vaccinal, mais aussi des "gilets jaunes" au volant de motos, voitures, camionnettes et quelques camping-cars s'étaient donné rendez-vous à Baléone avant d'arpenter la route en direction de Corte où sous les coups de midi plus près de 300 personnes se sont réunies.
A quelques minutes du départ, Pascale a parlé au micro de Michel Luccioni
Plus de 300 personnes à Corte
Dans un concert de klaxons, les différents cortèges en provenance de Bastia, Ajaccio, Porto-Vecchio, et de Balagne, ont convergé à Corte où dans une ambiance sereine les organisateurs ont lu un communiqué dans lequel ils dénoncent "des lois liberticides et ségrégationnistes qui ont laissé toute une partie des citoyens qui n’ont pas ce fameux pass sur le bord de la route." `
Pour ces manifestants "il n’est plus temps d’alerter, il n’est plus temps de négocier, le peuple doit reprend son pouvoir" par ce mouvement "immense et pacifique", qui sur le modèle du convoi canadien, doit exhorter les Européens à camper devant le parlement européen, et devant les organes du pouvoir de leur pays, tant que le pass vaccinal ainsi que toutes les mesures liberticides associées ne seront pas supprimés.
Les citoyens éveillés sont en route vers la vérité et vers la liberté
En signe de protestation contre cette "dictature sanitaire" les manifestants corses demandent la "dissolution du gouvernement et la mise en place d’un gouvernement de transition" mais aussi "la levée de toutes les mesures sanitaires ainsi que l'arrêt immédiat de toutes les maltraitances subies par les enfants dans leurs établissements scolaires (masques, tests, discrimination, propagande scolaire sur le vaccin)."
Ils souhaitent que les soignants et les salariés mis à pied de manière dictatoriale soient réintégrés et demandent aux médecins de respecter "leur serment d’Hippocrate, et d'arrêter immédiatement ces injections à ARN expérimentales sur les êtres humains, et appliquent les traitements précoces contre le Covid."
Le "peuple de la liberté" se soucie aussi des conditions de vie des anciens dans les Ehpad et exige donc la "mise en place d’un organisme de surveillance indépendant citoyen pour surveiller les conditions de vie des résidents".
Ils demandent in fine la mise en place du R.I.C. (référendum d’initiative citoyenne) pour réécrire les valeurs de la Constitution.
Un extrait vidéo du communiqué lu à Corte