Il est 6h40 ce mercredi à l'aéroport de Calvi - Balagne. Les premiers passagers du vol d'Air Corsica Calvi - Marseille passent les portiques de sécurité. C'est le moment que les quatre fonctionnaires (dont un OPJ) de la Police de l'Air et des Frontières choisissent pour procéder à un contrôle d'identité des passagers, sous l'oeil attentif d'Anne Ballereau, sous-préfète de l'arrondissement de Calvi Conca d'Oro Haut Nebbio.
Habituellement, le bureau de la PAF à l'aéroport de Calvi - Balagne est ouvert de 7 heures à 18 heures mais ce contrôle qui a malgré tout surpris les passagers, pour la plupart des habitués qui se déplacent à Marseille pour raisons médicales, intervient dans le cadre du plan Vigipirate renforcé et au lendemain de l'agression des trois militaires à Nice par Moussa Coulibaly. Ce dernier avait tenté, fin janvier de rejoindre la Turquie au départ d'Ajaccio, avant d'être refoulé par les autorités turcs, d'où sans doute ce contrôle inopiné et à une heure inhabituelle.
"Lors de ce contrôle, tous les passagers étaient en règle et dans l'ensemble, il est à noter que les passagers ont été très coopératifs et ont compris que c'était dans l'intérêt de tous" soulignait Anne Ballereau au micro de notre confrère Télé Paese avant de préciser que " ces contrôles pouvaient s'effectuer à n'importe quel moment et que ceux-ci étaient loin d'être inutiles puisque par le passé il y a eu des interpellations de personnes recherchées ou en possession de documents falsifiés"
Habituellement, le bureau de la PAF à l'aéroport de Calvi - Balagne est ouvert de 7 heures à 18 heures mais ce contrôle qui a malgré tout surpris les passagers, pour la plupart des habitués qui se déplacent à Marseille pour raisons médicales, intervient dans le cadre du plan Vigipirate renforcé et au lendemain de l'agression des trois militaires à Nice par Moussa Coulibaly. Ce dernier avait tenté, fin janvier de rejoindre la Turquie au départ d'Ajaccio, avant d'être refoulé par les autorités turcs, d'où sans doute ce contrôle inopiné et à une heure inhabituelle.
"Lors de ce contrôle, tous les passagers étaient en règle et dans l'ensemble, il est à noter que les passagers ont été très coopératifs et ont compris que c'était dans l'intérêt de tous" soulignait Anne Ballereau au micro de notre confrère Télé Paese avant de préciser que " ces contrôles pouvaient s'effectuer à n'importe quel moment et que ceux-ci étaient loin d'être inutiles puisque par le passé il y a eu des interpellations de personnes recherchées ou en possession de documents falsifiés"