"Sous la réserve d'examens complémentaires, l'autopsie ne permet pas de conclure à l'existence d'indices évocateurs de l'intervention d'un tiers" dans ces faits, a précisé à l'AFP Jean-Philippe Navarre, procureur de la République de Bastia. "Les investigations se poursuivent pour déterminer exactement les circonstances et la cause du décès même si à ce stade, l'hypothèse d'un suicide est désormais privilégiée", a-t-il ajouté.