Entourés de plusieurs représentants du mouvement nationaliste ils se sont exprimés sur les faits qui se sont déroulés jeudi à la sous-préfecture cortenaise.
François Santoni, président de Ghjuventu indipendentista qui fait partie des quatre étudiants poursuivis, a dénoncé les méthodes "largement disproportionnées utilisées à leur encontre et "l'incompétence de la gestion de la situation de ce que l'on peut appeler "le sous gouverneur de Corte". Il a répondu à une occupation symoblique, qui se voulait parfaitement pacifique, par l'envoi de gendames mobiles qui ont violenté les quatre militants de notre organisation qui étaient dans la sous-préfecture".
Mais au-delà de ça, les quatre étudiants ont voulu dénoncer l'attitude de l'Etat.
"Il a donné une réponse répressive quand des jeunes demande des comptes sur des sujets, surdes évolutions institutionnelles qui d-font un large consensus dans la société corse et des élus de l'assemblée de Corse".
François Santoni, président de Ghjuventu indipendentista qui fait partie des quatre étudiants poursuivis, a dénoncé les méthodes "largement disproportionnées utilisées à leur encontre et "l'incompétence de la gestion de la situation de ce que l'on peut appeler "le sous gouverneur de Corte". Il a répondu à une occupation symoblique, qui se voulait parfaitement pacifique, par l'envoi de gendames mobiles qui ont violenté les quatre militants de notre organisation qui étaient dans la sous-préfecture".
Mais au-delà de ça, les quatre étudiants ont voulu dénoncer l'attitude de l'Etat.
"Il a donné une réponse répressive quand des jeunes demande des comptes sur des sujets, surdes évolutions institutionnelles qui d-font un large consensus dans la société corse et des élus de l'assemblée de Corse".