Un controle à l'aeroport d'Ajaccio, archives CNI (photo Michel Luccioni)
L'Italie vient d'annoncer une restriction des conditions d'entrée sur son territoire pour les voyageurs en provenance de l'Union européenne (UE). A partir de jeudi 16 décembre pour entrer dans le pays il faudra présenter un test négatif obligatoire pour tous, même pour les vaccinés ou faire une quarantaine de cinq jours pour les non vaccinés. Le décret, signé mardi 14 décembre en fin de journée par le ministre de la Santé Roberto Speranza, "prévoit la présentation obligatoire d'un test négatif au départ pour tous les arrivants des pays de l'Union européenne", a indiqué un porte-parole du gouvernement transalpin.
Jusqu'à présent, les ressortissants de l'UE pouvaient se rendre en Italie avec un pass sanitaire attestant d'un schéma de vaccination complet, d'une guérison récente ou d'un test négatif. Les personnes non vaccinées devront quant à elles observer une quarantaine de cinq jours à leur arrivée, en plus de la présentation d'un test négatif. Celles arrivant de l'extérieur de l'UE devaient déjà être placées en quarantaine.
Ces nouvelles mesures, valables du 16 décembre au 31 janvier, interviennent alors que l'Europe fait face à une nouvelle vague de Covid-19, marquée par une rapide propagation du variant Omicron. Selon les premières études, ce variant pourrait se montrer plus résistant aux vaccins et plus transmissible que le variant Delta, qui représente actuellement la majorité des cas de coronavirus dans le monde. L'Italie, qui a payé un lourd tribut avec plus de 133 000 morts depuis le début de la pandémie, a enregistré mardi plus de 20 000 nouveaux cas et 120 décès.
Jusqu'à présent, les ressortissants de l'UE pouvaient se rendre en Italie avec un pass sanitaire attestant d'un schéma de vaccination complet, d'une guérison récente ou d'un test négatif. Les personnes non vaccinées devront quant à elles observer une quarantaine de cinq jours à leur arrivée, en plus de la présentation d'un test négatif. Celles arrivant de l'extérieur de l'UE devaient déjà être placées en quarantaine.
Ces nouvelles mesures, valables du 16 décembre au 31 janvier, interviennent alors que l'Europe fait face à une nouvelle vague de Covid-19, marquée par une rapide propagation du variant Omicron. Selon les premières études, ce variant pourrait se montrer plus résistant aux vaccins et plus transmissible que le variant Delta, qui représente actuellement la majorité des cas de coronavirus dans le monde. L'Italie, qui a payé un lourd tribut avec plus de 133 000 morts depuis le début de la pandémie, a enregistré mardi plus de 20 000 nouveaux cas et 120 décès.