Cette rencontre solennelle, qui aura lieu le 28 avril 2016, date de la fête nationale sarde, a pour objet de créer officiellement le Conseil Permanent Corso-Sarde. Instance conjointe de travail politique et prospectif, elle se saisira de thèmes majeurs relatifs aux îles sœurs tels que la construction d’une macro-région au poids renforcé en Europe, l’économie, les transports, l’énergie ou bien encore l’environnement et les politiques culturelles et linguistiques.
Le Conseil permanent sera composé par les deux Présidents respectifs et par les Présidents de groupes politiques des deux assemblées. Chaque semestre, le conseil permanent fera état de ses avancées.
La déclaration commune soumise au vote
La déclaration formalisant la création du Conseil Permanent sera soumise au vote des conseillers sardes après l’intervention de Jean-Guy Talamoni et des Présidents de groupe devant l’Assemblée sarde.
Une date symbolique
La réunion conjointe de l’Assemblea di Corsica et du Consiglio Regionale della Sardegna est organisée à Cagliari le 28 avril, jour de la fête nationale sarde, qui commémore l’insurrection populaire de 1794 contre les piémontais, lorsque le Vice-roi fut chassé. Cette date témoigne de la volonté d’autogouvernement du peuple et elle symboliserait aujourd’hui, en lui conférant un prolongement contemporain, l’idée d’une émancipation commune dans le cadre d’une eurorégion méditerranéenne.
Le Conseil permanent sera composé par les deux Présidents respectifs et par les Présidents de groupes politiques des deux assemblées. Chaque semestre, le conseil permanent fera état de ses avancées.
La déclaration commune soumise au vote
La déclaration formalisant la création du Conseil Permanent sera soumise au vote des conseillers sardes après l’intervention de Jean-Guy Talamoni et des Présidents de groupe devant l’Assemblée sarde.
Une date symbolique
La réunion conjointe de l’Assemblea di Corsica et du Consiglio Regionale della Sardegna est organisée à Cagliari le 28 avril, jour de la fête nationale sarde, qui commémore l’insurrection populaire de 1794 contre les piémontais, lorsque le Vice-roi fut chassé. Cette date témoigne de la volonté d’autogouvernement du peuple et elle symboliserait aujourd’hui, en lui conférant un prolongement contemporain, l’idée d’une émancipation commune dans le cadre d’une eurorégion méditerranéenne.