Depuis quelques années, le nombre de personnes ayant choisi de se faire marquer à l’encre indélébile n’a cessé d’augmenter. Au point qu’on estime qu’au moins 20% de la population est aujourd’hui tatouée. Et les raisons de passer sous les aiguilles du dermographe sont multiples. Pour certains c’est un moyen d’expression, de s’approprier son propre corps, ou encore une volonté de se démarquer. Mais pour d’autres c’est bien l’amour qui les pousse à franchir ce pas. En Corse, ils sont d’ailleurs nombreux à passer chaque année la porte des différents salons de tatouage pour imprimer de façon permanente un signe rappelant l’être aimé à même leur peau.
Au point que Lisa, qui a ouvert son salon Le Petit Studio à Ajaccio il y a moins d’un an, a d’ailleurs souhaité mettre en place une offre spéciale pour la Saint Valentin. « On me demande très souvent des tatouages de couple comme les initiales de l’autre ou des dates de rencontre », livre-t-elle. « Tout au long de l’année, nous avons effectivement beaucoup de gens qui nous demandent des tatouages en commun comme un petit cœur ou le début d’une phrase chez l’un et la fin chez l’autre », abonde Denis du salon ajaccien Bulldog Tattoo.
Loin d’être cantonné à une tranche d’âge en particulier, ces tatouages d’amoureux concernent aujourd’hui tout types de public. « J’ai un couple marié depuis des années qui vient bientôt pour faire un tatouage en commun », sourit ainsi Lisa. Une manière de renouveler la marque de leur amour de façon originale.
Mais les deux tatoueurs ajacciens soulignent toutefois toujours tenter de dissuader les très jeunes de passer à l’acte, car beaucoup finiront par regretter cette marque indélébile d’amour, surtout quand le couple vient à se séparer. « La réalité, c’est qu’environ 4 personnes sur 5 reviennent sur leur choix. Soit elles iront se faire enlever le tatouage au laser, soit elles nous demanderont de le recouvrir pour le cacher. Certains nous demandent même de faire une bande noire par-dessus, ou même une croix », indique ainsi Denis.
Dans ce droit fil, nombre de tatoueurs déconseillent de se faire tatouer le prénom de l’autre . « En cas de rupture, c’est toujours plus facile de ne pas se retrouver avec le prénom de son ex sur son corps à vie », souffle ainsi Laurent du salon Imago tatouage à Bastia. « Nous faisons en sorte de ne pas conseiller cela, et donc nous faisons très peu de prénoms d’amoureux. Par contre, on fait quand même quelques recouvrements de prénoms après une séparation », appuie-t-il, en confiant qu’un recouvrement n’est jamais chose aisée. Ainsi, il invite toujours ses clients à bien réfléchir, même s’ils se sentent très amoureux, pour ne pas se retrouver avec un tatouage qui fait référence à une personne qu’ils ne porteront peut-être un jour plus dans leur cœur. « Aujourd’hui, on a tendance à beaucoup parler avec les clients qui veulent faire cela et à les conseiller de partir sur autre chose, car cela peut aussi avoir un impact psychologique si la séparation se passe mal car on aura toujours ce rappel sur la peau sous les yeux », pose-t-il. Même son de cloche du côté de Denis de Bulldog Tattoo qui confie : « Parfois, nous avons des gens qui reviennent en nous disant j’aurais dû vous écouter ».
Au point que Lisa, qui a ouvert son salon Le Petit Studio à Ajaccio il y a moins d’un an, a d’ailleurs souhaité mettre en place une offre spéciale pour la Saint Valentin. « On me demande très souvent des tatouages de couple comme les initiales de l’autre ou des dates de rencontre », livre-t-elle. « Tout au long de l’année, nous avons effectivement beaucoup de gens qui nous demandent des tatouages en commun comme un petit cœur ou le début d’une phrase chez l’un et la fin chez l’autre », abonde Denis du salon ajaccien Bulldog Tattoo.
Loin d’être cantonné à une tranche d’âge en particulier, ces tatouages d’amoureux concernent aujourd’hui tout types de public. « J’ai un couple marié depuis des années qui vient bientôt pour faire un tatouage en commun », sourit ainsi Lisa. Une manière de renouveler la marque de leur amour de façon originale.
Mais les deux tatoueurs ajacciens soulignent toutefois toujours tenter de dissuader les très jeunes de passer à l’acte, car beaucoup finiront par regretter cette marque indélébile d’amour, surtout quand le couple vient à se séparer. « La réalité, c’est qu’environ 4 personnes sur 5 reviennent sur leur choix. Soit elles iront se faire enlever le tatouage au laser, soit elles nous demanderont de le recouvrir pour le cacher. Certains nous demandent même de faire une bande noire par-dessus, ou même une croix », indique ainsi Denis.
Dans ce droit fil, nombre de tatoueurs déconseillent de se faire tatouer le prénom de l’autre . « En cas de rupture, c’est toujours plus facile de ne pas se retrouver avec le prénom de son ex sur son corps à vie », souffle ainsi Laurent du salon Imago tatouage à Bastia. « Nous faisons en sorte de ne pas conseiller cela, et donc nous faisons très peu de prénoms d’amoureux. Par contre, on fait quand même quelques recouvrements de prénoms après une séparation », appuie-t-il, en confiant qu’un recouvrement n’est jamais chose aisée. Ainsi, il invite toujours ses clients à bien réfléchir, même s’ils se sentent très amoureux, pour ne pas se retrouver avec un tatouage qui fait référence à une personne qu’ils ne porteront peut-être un jour plus dans leur cœur. « Aujourd’hui, on a tendance à beaucoup parler avec les clients qui veulent faire cela et à les conseiller de partir sur autre chose, car cela peut aussi avoir un impact psychologique si la séparation se passe mal car on aura toujours ce rappel sur la peau sous les yeux », pose-t-il. Même son de cloche du côté de Denis de Bulldog Tattoo qui confie : « Parfois, nous avons des gens qui reviennent en nous disant j’aurais dû vous écouter ».