Il n’a pas fallu attendre bien longtemps. Quelques heures après que Alain Orsoni a annoncé sa démission de la présidence de l'AC Ajaccio, son remplaçant été nommé : il s’agit de son gendre, Daniele Bufano, entrepreneur italien qui à 36 ans, devient l’un des plus jeunes présidents de France après avoir exercé de hautes responsabilités au sein de la direction de Schneider Eletric.
- Vos premiers mots en tant que nouveau président ?
- Tout d’abord j’aimerais remercier les équipes administratives et techniques, l'accueil a été fantastique. Je suis en train de passer une journée pleine d'émotions. C’est un grand honneur pour moi. J’espère être à la hauteur des attentes. J’arrive très humblement. Je ne veux pas révolutionner quoi que ce soit. C’est une équipe qui fonctionne très bien avec une structure en place qui fonctionne tout aussi bien où il y a eu sur 20 ans il y a eu 4 années en ligue 1.
- Quels sont les arguments qui vous ont fait accepter le poste ?
- Ça fait des années qu’on me parle de ce poste. Après un temps de réflexion, je pense que l’aventure est captivante pour moi. Une équipe de foot de ce niveau, c'est comme une entreprise. Il y a une dimension de défis qui est forte et c’est ça qui me fait particulièrement plaisir. Je sais que ça va être une bonne année, pleine de surprises. Il y aura des moments plus compliqués que d'autres, mais j’ai hâte de commencer et de mieux connaître l’ensemble des équipes du staff.
- Est-ce que vous connaissez le monde du football ?
- Je le connais peu. Mais être aussi bien accompagné par une très bonne équipe qui est professionnelle depuis plus de 25 ans, c'est la certitude que je vais vite apprendre.
- Quels sont vos objectifs ?
- Aujourd’hui il est difficile de définir des objectifs précis. Comme je viens d’arriver, je ne connais pas assez bien le club pour dire ce qu’il faudra changer. Il y aura d’abord une première phase d’apprentissage à mener avec l’équipe, le staff. On va essayer de comprendre là où on peut s’améliorer, là où on est le plus performant. C’est à ce moment-là qu’on donnera de vrais objectifs. Je tiens à préciser que c’est un travail d’équipe. Je serai peut-être le porte-parole, mais je sais m’appuyer sur une équipe. C’est plutôt ça l’idée. J’insiste sur ce point surtout maintenant : au début de ma présidence, je veux m’occuper uniquement de l’administratif et pas du tout du sportif.
- Donc les décisions sportives seront prises de manière collégiale avec le staff ?
- Complètement. Je n'ai aucun poids sur les décisions sportives. Il y a une équipe de professionnels, d'anciens joueurs très compétents qui sont déjà en place, je ne pense pas avoir de mots à dire sur ce sujet.
- Quelles sont vos priorités au niveau administratif ?
- C’est encore trop tôt pour vous le dire. Ma priorité aujourd’hui c’est de connaître les équipes, les dossiers, les finances, la masse salariale. Je reprends en main une entreprise qui a déjà fonctionné pendant très longtemps sans moi. Je dois comprendre comment elle marche dans ses subtilités et après établir avec l’équipe administrative des priorités pour les années à venir.
- Même s’il n’y pas de projet défini, il y a encore cette volonté de faire grandir le club ?
- Évidemment. La définition d’un projet c’est quelque chose de compliqué. Je ne veux pas vous annoncer des choses qu’on ne va pas faire ou qu’on ne va pas poursuivre. Après en termes de direction du club, l’idée c’est de rester dans la ligue professionnelle dans laquelle nous sommes aujourd’hui et de nous améliorer là où nous pourrons le faire..
- Quels sont les chantiers de l’ACA ?
- C’est peut-être un peu tôt pour le dire. Je pense que dans l’idée, les premières discussions qu’on va avoir avec le staff vont nous aider à comprendre quels sont les grands chantiers sur lesquels on va travailler. Je reviendrai vous voir très prochainement avec un projet un peu plus construit.
- Avec votre avènement à la présidence, l’ACA tourne une nouvelle page de son histoire : comment voudriez-vous qu’elle soit ?
- Aussi bien que celles que le club a tourné depuis 25 ans. C’est notre objectif minimum.
- Serez-vous présent au stade et en déplacement ?
- J’essayerai d’être présent le plus possible. La présence sur place est importante, pour les équipes, pour le staff technique.
- Vos premiers mots en tant que nouveau président ?
- Tout d’abord j’aimerais remercier les équipes administratives et techniques, l'accueil a été fantastique. Je suis en train de passer une journée pleine d'émotions. C’est un grand honneur pour moi. J’espère être à la hauteur des attentes. J’arrive très humblement. Je ne veux pas révolutionner quoi que ce soit. C’est une équipe qui fonctionne très bien avec une structure en place qui fonctionne tout aussi bien où il y a eu sur 20 ans il y a eu 4 années en ligue 1.
- Quels sont les arguments qui vous ont fait accepter le poste ?
- Ça fait des années qu’on me parle de ce poste. Après un temps de réflexion, je pense que l’aventure est captivante pour moi. Une équipe de foot de ce niveau, c'est comme une entreprise. Il y a une dimension de défis qui est forte et c’est ça qui me fait particulièrement plaisir. Je sais que ça va être une bonne année, pleine de surprises. Il y aura des moments plus compliqués que d'autres, mais j’ai hâte de commencer et de mieux connaître l’ensemble des équipes du staff.
- Est-ce que vous connaissez le monde du football ?
- Je le connais peu. Mais être aussi bien accompagné par une très bonne équipe qui est professionnelle depuis plus de 25 ans, c'est la certitude que je vais vite apprendre.
- Quels sont vos objectifs ?
- Aujourd’hui il est difficile de définir des objectifs précis. Comme je viens d’arriver, je ne connais pas assez bien le club pour dire ce qu’il faudra changer. Il y aura d’abord une première phase d’apprentissage à mener avec l’équipe, le staff. On va essayer de comprendre là où on peut s’améliorer, là où on est le plus performant. C’est à ce moment-là qu’on donnera de vrais objectifs. Je tiens à préciser que c’est un travail d’équipe. Je serai peut-être le porte-parole, mais je sais m’appuyer sur une équipe. C’est plutôt ça l’idée. J’insiste sur ce point surtout maintenant : au début de ma présidence, je veux m’occuper uniquement de l’administratif et pas du tout du sportif.
- Donc les décisions sportives seront prises de manière collégiale avec le staff ?
- Complètement. Je n'ai aucun poids sur les décisions sportives. Il y a une équipe de professionnels, d'anciens joueurs très compétents qui sont déjà en place, je ne pense pas avoir de mots à dire sur ce sujet.
- Quelles sont vos priorités au niveau administratif ?
- C’est encore trop tôt pour vous le dire. Ma priorité aujourd’hui c’est de connaître les équipes, les dossiers, les finances, la masse salariale. Je reprends en main une entreprise qui a déjà fonctionné pendant très longtemps sans moi. Je dois comprendre comment elle marche dans ses subtilités et après établir avec l’équipe administrative des priorités pour les années à venir.
- Même s’il n’y pas de projet défini, il y a encore cette volonté de faire grandir le club ?
- Évidemment. La définition d’un projet c’est quelque chose de compliqué. Je ne veux pas vous annoncer des choses qu’on ne va pas faire ou qu’on ne va pas poursuivre. Après en termes de direction du club, l’idée c’est de rester dans la ligue professionnelle dans laquelle nous sommes aujourd’hui et de nous améliorer là où nous pourrons le faire..
- Quels sont les chantiers de l’ACA ?
- C’est peut-être un peu tôt pour le dire. Je pense que dans l’idée, les premières discussions qu’on va avoir avec le staff vont nous aider à comprendre quels sont les grands chantiers sur lesquels on va travailler. Je reviendrai vous voir très prochainement avec un projet un peu plus construit.
- Avec votre avènement à la présidence, l’ACA tourne une nouvelle page de son histoire : comment voudriez-vous qu’elle soit ?
- Aussi bien que celles que le club a tourné depuis 25 ans. C’est notre objectif minimum.
- Serez-vous présent au stade et en déplacement ?
- J’essayerai d’être présent le plus possible. La présence sur place est importante, pour les équipes, pour le staff technique.