Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, en mars dernier à la Collectivité de Corse à Aaicciu, entouré de la Présidente de l’Assemblée de Corse, Nanette Maupertuis, et du président du Conseil exécutif de la Collectivité de Corse, Gilles Simeoni.
Le président du Conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, aura ce mardi 22 novembre 2022, deux entretiens à Paris : l’un avec le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, Gérald Darmanin, l'autre avec avec la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet.
Dans un communiqué diffusé ce lundi soir, la présidence de l'exécutif de Corse précise que le principe de cette rencontre avec Gérald Darmanin "a été arrêté dès après l’arrêt rendu le 29 septembre dernier par la chambre d’application des peines de Paris concernant le refus de libération conditionnelle de Pierre Alessandri, et la prise de position unanime de la Conférence des Présidents qui s’en est suivie."
L'Exécutif ajoute que "le principe de ce tête-à-tête, visant à faire un point sur la situation politique globale, a été confirmé au lendemain de la déclaration commune de la délégation des élus de la Corse en date du 7 octobre, et de la résolution solennelle du 27 octobre, demandant à l’Etat « des actes politiques de façon à créer les conditions de la reprise du processus en cours ».
Pour ce qui est de la seconde réunion avec la présidente de l’Assemblée nationale, l'Exécutif de Corse précise qu'elle sera "l’occasion d’un large tour d’horizon sur les relations entre la Corse et l’Etat, incluant la question de la commission d’enquête parlementaire sur les circonstances de l’assassinat d’Yvan Colonna."
"La conférence des présidents de l’Assemblée de Corse sera informée de la teneur générale de ces entretiens à l’issue de ceux-ci" indique la présidence du Conseil exécutif.
Dans un communiqué diffusé ce lundi soir, la présidence de l'exécutif de Corse précise que le principe de cette rencontre avec Gérald Darmanin "a été arrêté dès après l’arrêt rendu le 29 septembre dernier par la chambre d’application des peines de Paris concernant le refus de libération conditionnelle de Pierre Alessandri, et la prise de position unanime de la Conférence des Présidents qui s’en est suivie."
L'Exécutif ajoute que "le principe de ce tête-à-tête, visant à faire un point sur la situation politique globale, a été confirmé au lendemain de la déclaration commune de la délégation des élus de la Corse en date du 7 octobre, et de la résolution solennelle du 27 octobre, demandant à l’Etat « des actes politiques de façon à créer les conditions de la reprise du processus en cours ».
Pour ce qui est de la seconde réunion avec la présidente de l’Assemblée nationale, l'Exécutif de Corse précise qu'elle sera "l’occasion d’un large tour d’horizon sur les relations entre la Corse et l’Etat, incluant la question de la commission d’enquête parlementaire sur les circonstances de l’assassinat d’Yvan Colonna."
"La conférence des présidents de l’Assemblée de Corse sera informée de la teneur générale de ces entretiens à l’issue de ceux-ci" indique la présidence du Conseil exécutif.