Pourquoi pas un trajet direct entre Giglio et Gênes ?
Jean-Baptiste Raffalli croit détenir la réponse.
"C'est fort simple, en tout cas parfaitement compréhensible si l'on se place du côté de Costa Croisières" indique le conseiller général de Bastia.
"Imaginez une seconde que vous êtes en croisière sur "l'autostrada delle crociere", au large des côtes italiennes et qu'à la faveur de celle-ci vous croisez l'épave du "Concordia" qui, en si piètre état, effectue son dernier voyage… Quelle opinion auriez-vous de la compagnie qui vous transporte ?" interroge Jean-Baptiste Raffalli.
"Dans ces conditions, et pour éviter le renvoi d'une image négative de la compagnie, mieux vaut emprunter des chemins détournés et d'autres eaux que celles de l'autostrada delle crociere, un parcours qui, pourtant, s'imposerait naturellement".
Le conseiller général de Bastia évoque aussi un danger qui, selon lui, semble avoir été mésestimé dans le cadre du remorquage du Concordia : le vent.
"Ils ont tablé sur un vent qui ne dépasserait pas les 30 km/h or, tout le monde sait que dans le Cap Corse la vitesse du vent se situe perpétuellement au-dessus. Qu'en sera t-il lorsque le Costa Concordia croisera entre Corse et Capraia ?"
Jean-Baptiste Raffalli croit détenir la réponse.
"C'est fort simple, en tout cas parfaitement compréhensible si l'on se place du côté de Costa Croisières" indique le conseiller général de Bastia.
"Imaginez une seconde que vous êtes en croisière sur "l'autostrada delle crociere", au large des côtes italiennes et qu'à la faveur de celle-ci vous croisez l'épave du "Concordia" qui, en si piètre état, effectue son dernier voyage… Quelle opinion auriez-vous de la compagnie qui vous transporte ?" interroge Jean-Baptiste Raffalli.
"Dans ces conditions, et pour éviter le renvoi d'une image négative de la compagnie, mieux vaut emprunter des chemins détournés et d'autres eaux que celles de l'autostrada delle crociere, un parcours qui, pourtant, s'imposerait naturellement".
Le conseiller général de Bastia évoque aussi un danger qui, selon lui, semble avoir été mésestimé dans le cadre du remorquage du Concordia : le vent.
"Ils ont tablé sur un vent qui ne dépasserait pas les 30 km/h or, tout le monde sait que dans le Cap Corse la vitesse du vent se situe perpétuellement au-dessus. Qu'en sera t-il lorsque le Costa Concordia croisera entre Corse et Capraia ?"