(Photo Christian Franceschi)
Il ne se passe pas en effet un jour sans que ce type de petite délinquance, qui commence à gangrèner la ville, ne se manifeste.
On ne compte plus les incendies de voitures qui, au moins une fois par semaine, viennent défrayer la chronique des faits divers. Depuis mercredi les deux-roues sont, eux aussi, dans le collimateur des adeptes des brasiers nocturnes, œuvres de quelques individus en mal d'amusement. Plusieurs d'entre eux ont, en tout cas, été détruits par le feu rue César-Campinchi
Et l'escalade continue.
A présent, l'on s'attaque aussi aux femmes seules dans les rues de la ville pour quelques euros. Comme ce fut le cas l'autre soir quand une automobiliste qui venait de se garer sur le boulevard Paoli fut agressée par deux hommes armés qui, après avoir fouillé son véhicule, lui intimèrent l'ordre de lui remettre l'argent qu'elle avait sur elle dans un… porte-monnaie !
Des faits presque similaires à ceux qui se sont déroulés quelques soirs avant à la sortie d'une grande surface du Nord de la Ville et qui visaient l'un des cadres féminins de l'entreprise.
Qui ne manquent ni d'interpeller. Ni d'inquiéter. Parce qu'ils ont tendance, hélas, à croître et à se multiplier…
Oui, il y a vraiment des coups de pied quelque part qui se perdent !
Ça va durer encore longtemps ?
On ne compte plus les incendies de voitures qui, au moins une fois par semaine, viennent défrayer la chronique des faits divers. Depuis mercredi les deux-roues sont, eux aussi, dans le collimateur des adeptes des brasiers nocturnes, œuvres de quelques individus en mal d'amusement. Plusieurs d'entre eux ont, en tout cas, été détruits par le feu rue César-Campinchi
Et l'escalade continue.
A présent, l'on s'attaque aussi aux femmes seules dans les rues de la ville pour quelques euros. Comme ce fut le cas l'autre soir quand une automobiliste qui venait de se garer sur le boulevard Paoli fut agressée par deux hommes armés qui, après avoir fouillé son véhicule, lui intimèrent l'ordre de lui remettre l'argent qu'elle avait sur elle dans un… porte-monnaie !
Des faits presque similaires à ceux qui se sont déroulés quelques soirs avant à la sortie d'une grande surface du Nord de la Ville et qui visaient l'un des cadres féminins de l'entreprise.
Qui ne manquent ni d'interpeller. Ni d'inquiéter. Parce qu'ils ont tendance, hélas, à croître et à se multiplier…
Oui, il y a vraiment des coups de pied quelque part qui se perdent !
Ça va durer encore longtemps ?