Le contentieux opposant les propriétaires de trois résidences familiales à Coti-Chiavari, sur le domaine de Saparella, aux associations de défense de l'environnement U Levante et Le Garde, s'est récemment conclu par une décision de la Cour d'appel de Bastia qui le 17 septembre dernier a ordonné la démolition desdites maisons. Face à cette décision de justice, la famille Peretti qui y habite depuis plusieurs générations. a lancé un appel désespéré à la Collectivité de Corse pour réexaminer cette décision, "qui menace leur patrimoine et leur mode de vie."
Dans une lettre ouverte adressée au président de l'Exécutif et à la présidente de l'Assemblée de Corse, les Peretti a indiquent que les trois maisons sont occupées par la famille de Julien et Laetitia Peretti, son frère, ainsi que leur mère, handicapée à 80 %, "sont enracinées dans l'histoire corse." Présentes sur le cadastre depuis le XIXe siècle et habitées par les Peretti depuis le XVIIe siècle, "ces maisons sont une partie essentielle du patrimoine de la famille. D'ailleurs, l'emplacement comprend également le cimetière familial datant de 1850, un témoignage historique supplémentaire de leur attachement à cette terre."
La lettre ouverte, signée par dix membres de la famille, défend fermement la légitimité de ces propriétés et rappelle que leur état actuel résulte de décennies de labeur acharné réalisé avec un souci constant de préserver l'environnement. Les Peretti soulignent également que les rénovations effectuées sur les maisons ont été réalisées conformément aux normes, bénéficiant d'un permis de construire accordé en 2011, validé par deux préfets successifs.
Dans une lettre ouverte adressée au président de l'Exécutif et à la présidente de l'Assemblée de Corse, les Peretti a indiquent que les trois maisons sont occupées par la famille de Julien et Laetitia Peretti, son frère, ainsi que leur mère, handicapée à 80 %, "sont enracinées dans l'histoire corse." Présentes sur le cadastre depuis le XIXe siècle et habitées par les Peretti depuis le XVIIe siècle, "ces maisons sont une partie essentielle du patrimoine de la famille. D'ailleurs, l'emplacement comprend également le cimetière familial datant de 1850, un témoignage historique supplémentaire de leur attachement à cette terre."
La lettre ouverte, signée par dix membres de la famille, défend fermement la légitimité de ces propriétés et rappelle que leur état actuel résulte de décennies de labeur acharné réalisé avec un souci constant de préserver l'environnement. Les Peretti soulignent également que les rénovations effectuées sur les maisons ont été réalisées conformément aux normes, bénéficiant d'un permis de construire accordé en 2011, validé par deux préfets successifs.
La famille interpelle directement Gilles Simeoni et Marie-Antoinette Maupertuis, remettant en question la justice des actions entreprises par ces associations environnementales envers leur famille. Le courrier dénonce l'incohérence des actions de ces associations par rapport à la réalité du développement immobilier en Corse, mettant en avant l'attitude plus indulgente de ces associations envers d'autres propriétaires dans des situations similaires, tout en les traitant avec une inflexibilité impitoyable.
Les auteures la lettre sollicitent un soutien actif de la Collectivité de Corse et appellent ses représentants à prendre position dans cette affaire. Ils s'adressent également aux différents groupes représentés à l'Assemblée, exhortant une intervention en faveur de leur cause. Ils concluent leur lettre en réitérant leur demande d'aide et de soutien à l'ensemble de la communauté corse.