La scène vécue par les employés des services techniques de la communauté de communes de Calvi-Balagne, en charge du ramassage des ordures ménagères est insoutenable : deux chevrettes gisent à même le sol, gueules bâillonnées, pattes attachées. Ont-elles été déposées là morte ou vivante?
Qui a bien faire une chose aussi abominable, digne d'un temps que l'on croyait révolu?
Des questions que se posent de nombreux adeptes des réseaux sociaux qui ont découvert cette image qui tourne en boucle.. Les commentaires qui suivent témoignent de l'horreur d'un tel acte et du dégoût envers le ou les auteurs de tel acte de barbarie.
Gilles Brun, président de la communauté de communes de Calvi-Balagne ne cache pas sa colère: " C'est proprement scandaleux d'en arriver à un tel acte. Il y a des sociétés d'équarrissage pour cela, il suffit simplement de faire appel à eux. Je tiens à rappeler à celui, ou ceux, qui ont agi de la sorte que pour le code civil, depuis le 15 avril 2014, les animaux ne sont pas considérés comme des meubles, mais bien comme des êtres vivants et sensibles.
Le fait que ces deux chevrettes aient la gueule bâillonnée et les pattes attachées peut laisser à penser que celles-ci n'étaient pas mortes au moment de leur transport.
J'ai chargé notre directeur des services techniques de déposer une plainte auprès des services de gendarmerie".
Les services de la communauté de communes ont chargé une société d'équarrissage de procéder à l'enlèvement des deux chevrettes.
Qui a bien faire une chose aussi abominable, digne d'un temps que l'on croyait révolu?
Des questions que se posent de nombreux adeptes des réseaux sociaux qui ont découvert cette image qui tourne en boucle.. Les commentaires qui suivent témoignent de l'horreur d'un tel acte et du dégoût envers le ou les auteurs de tel acte de barbarie.
Gilles Brun, président de la communauté de communes de Calvi-Balagne ne cache pas sa colère: " C'est proprement scandaleux d'en arriver à un tel acte. Il y a des sociétés d'équarrissage pour cela, il suffit simplement de faire appel à eux. Je tiens à rappeler à celui, ou ceux, qui ont agi de la sorte que pour le code civil, depuis le 15 avril 2014, les animaux ne sont pas considérés comme des meubles, mais bien comme des êtres vivants et sensibles.
Le fait que ces deux chevrettes aient la gueule bâillonnée et les pattes attachées peut laisser à penser que celles-ci n'étaient pas mortes au moment de leur transport.
J'ai chargé notre directeur des services techniques de déposer une plainte auprès des services de gendarmerie".
Les services de la communauté de communes ont chargé une société d'équarrissage de procéder à l'enlèvement des deux chevrettes.