L'association ADMD, créée en 1985 se bat pour que chacun puisse disposer, de façon libre et réfléchie, de sa propre fin, et pour cela elle fait connaître la loi actuelle, contribue à son application et se bat pour la faire évoluer. A ce jour, personne ne peut choisir de mourir, elle subit parfois et peut-être victime d’acharnement thérapeutique.
Les 2 principes fondamentaux pour en disposer sont la liberté de choix pour le patient et le corps médical, et l'euthanasie sur la demande expresse du patient. Pour cela, il faut la légaliser, et donc exiger une loi sur la légalisation de l'euthanasie, du suicide assisté et de l'accès universel aux soins palliatifs
Par ces réunions, l’association mobilise les militants, mais fait aussi appel aux politiques et aux législateurs pour qu'une nouvelle loi puisse être votée. Dans le groupe majoritaire au parlement, 200 députés ont signé une proposition de loi pour légaliser l’euthanasie et le suicide assisté.
« Elle permettrait d’éviter l’acharnement thérapeutique, la fin de vie difficile pour chacun et son entourage, permettre au médecin qui pratique l'euthanasie de ne plus risquer la cour d'assise, de faire disparaître l'inégalité entre les personnes, (les gens aisés ou les personnes ayant une certaine notoriété pouvant aller à l'étranger), d'être en adéquation avec l'opinion publique. Tous les français pourraient alors, comme leurs voisins belges, néerlandais et luxembourgeois, finir leur vie comme il le souhaite Depuis 1987 plus de 85 % des Français sont favorables ou très favorables à la dépénalisation de l'euthanasie (Sondage IFOP du 18 mars 2017 90 % favorable au suicide assisté 95 % favorable à l'euthanasie active). »
L'association compte sur le plan national près de 70.000 membres et 130 délégations régionales. La Corse compte plus de 260 adhérents dont 160 en Corse du Sud.
Durant l’année, l’association multiplie l'information par des réunions ou des rencontres avec différents acteurs associatifs, culturels, ou professionnel (IFSI, établissements de santé, rencontre des personnes lors d'opération sur les marchés ou le forum des associations, manifestation lors de la journée mondiale le 2 novembre.
Elle représente aussi les usagers dans les différentes instances sur la santé qui permet de faire respecter leurs droits, en particulier sur la lutte contre la douleur et la fin de vie.
Les 2 principes fondamentaux pour en disposer sont la liberté de choix pour le patient et le corps médical, et l'euthanasie sur la demande expresse du patient. Pour cela, il faut la légaliser, et donc exiger une loi sur la légalisation de l'euthanasie, du suicide assisté et de l'accès universel aux soins palliatifs
Par ces réunions, l’association mobilise les militants, mais fait aussi appel aux politiques et aux législateurs pour qu'une nouvelle loi puisse être votée. Dans le groupe majoritaire au parlement, 200 députés ont signé une proposition de loi pour légaliser l’euthanasie et le suicide assisté.
« Elle permettrait d’éviter l’acharnement thérapeutique, la fin de vie difficile pour chacun et son entourage, permettre au médecin qui pratique l'euthanasie de ne plus risquer la cour d'assise, de faire disparaître l'inégalité entre les personnes, (les gens aisés ou les personnes ayant une certaine notoriété pouvant aller à l'étranger), d'être en adéquation avec l'opinion publique. Tous les français pourraient alors, comme leurs voisins belges, néerlandais et luxembourgeois, finir leur vie comme il le souhaite Depuis 1987 plus de 85 % des Français sont favorables ou très favorables à la dépénalisation de l'euthanasie (Sondage IFOP du 18 mars 2017 90 % favorable au suicide assisté 95 % favorable à l'euthanasie active). »
L'association compte sur le plan national près de 70.000 membres et 130 délégations régionales. La Corse compte plus de 260 adhérents dont 160 en Corse du Sud.
Durant l’année, l’association multiplie l'information par des réunions ou des rencontres avec différents acteurs associatifs, culturels, ou professionnel (IFSI, établissements de santé, rencontre des personnes lors d'opération sur les marchés ou le forum des associations, manifestation lors de la journée mondiale le 2 novembre.
Elle représente aussi les usagers dans les différentes instances sur la santé qui permet de faire respecter leurs droits, en particulier sur la lutte contre la douleur et la fin de vie.