Les policiers de la DDSP se rendent sur les lieux du drame
Les faits tragiques se sont produits vers 8h15 au dernier étage du numéro 17 duboulevard Paoli où résidait le couple.
Selon les premiers éléments de l'enquête menée par la Direction départementale de la sécurité publique de la Haute-Corse c'est un différend d'ordre conjugal qui serait à l'origine de ce drame qui s'est achevé dans un bain de sang.
A l'heure où les secours se sont présentés c'est en effet un spectacle insoutenable qu'ont découvert les sapeurs-pompiers du centre de Bastia, le Samu de Haute-Corse et les policiers de la DDSP après que l'alerte a été donnée par le voisins du couple.
Les deux cadavres, affreusement mutilés, gisaient en effet dans une mare de sang.
Deux ou trois coups de fusil
C'est dans ces conditions qu'a démarré l'enquête qui devrait confirmer la thèse du différend conjugal envisagée immédiatement après les faits.
L'irréparable serait, en effet, survenu après une nouvelle dispute entre le couple. Une dispute à laquelle les voisins, inquiets par la violence des éclats de voix, auraient voulu s'interposer mais en vain.
Peu après éclataient les coups de feu. " Deux ou trois" selon les enquêteurs effectués au fusil de chasse de 12 mm par le l'occupant de l'appartement.
Les deux premiers sans doute pour ôter la vie à sa compagne. Le troisième pour mettre fin à la sienne.
Quand les secours sont arrivés, il était bien sûr trop tard.
Selon les premiers éléments de l'enquête menée par la Direction départementale de la sécurité publique de la Haute-Corse c'est un différend d'ordre conjugal qui serait à l'origine de ce drame qui s'est achevé dans un bain de sang.
A l'heure où les secours se sont présentés c'est en effet un spectacle insoutenable qu'ont découvert les sapeurs-pompiers du centre de Bastia, le Samu de Haute-Corse et les policiers de la DDSP après que l'alerte a été donnée par le voisins du couple.
Les deux cadavres, affreusement mutilés, gisaient en effet dans une mare de sang.
Deux ou trois coups de fusil
C'est dans ces conditions qu'a démarré l'enquête qui devrait confirmer la thèse du différend conjugal envisagée immédiatement après les faits.
L'irréparable serait, en effet, survenu après une nouvelle dispute entre le couple. Une dispute à laquelle les voisins, inquiets par la violence des éclats de voix, auraient voulu s'interposer mais en vain.
Peu après éclataient les coups de feu. " Deux ou trois" selon les enquêteurs effectués au fusil de chasse de 12 mm par le l'occupant de l'appartement.
Les deux premiers sans doute pour ôter la vie à sa compagne. Le troisième pour mettre fin à la sienne.
Quand les secours sont arrivés, il était bien sûr trop tard.
Ce fait divers tragique s'est déroulé au numéro 17 du boulevard Paoli