Photos : Popularte
Faire venir l’art urbain dans les villages, c’est la vocation du festival Popularte qui, en ce début juin, a proposé une 3e édition haute en couleur. Grâce au succès des deux premiers volets, Fabien Flori l’organisateur de la manifestation a réussi à ramener à Lozzi dans le Niolu et à Luri dans le Cap Corse, des artistes de renommée internationale, que le monde entier s’arrache.
Parmi les réalisations de cette troisième édition, on compte par exemple celle de Jan Vormann, unsculpteur et artiste urbain franco-allemand connu pour les « réparations » de murs urbains qu'il réalise en Lego. L’homme de 39 ans a laissé une belle trace de son passage en Corse en travaillant sur une colonne de Lozzi, grâce à un mélange de pierres bleues (petra sigalina) et de briques de LEGO (c) avec de multiples incrustations faisant référence au village.
L’artiste, plasticien italien, Bifido, a réalisé deux collages. Un premier reprenant le thème de la mélancolie et de l’espièglerie de l’enfance (photo de la une) et un second célébrant l’énergie de l’enfant sur la maison d’A Costa à Lozzi.
Pour la deuxième fois dans la courte histoire de ce festival, l'artiste polonaise NeSpoon, véritable icône de l'art urbain au féminin s’est emparé des murs d’un bâtiment corse. Cette fois-ci, elle a recouvert une façade de la mairie de Santa Severa en s’inspirant d'un détail de broderie du Cap Corse du milieu du 19e siècle dont les motifs ont été collectés dans l'ouvrage "Histoire du vêtement en Corse" de Rennie Pecqueux-Barboni paru aux éditions Albiana en 2008. (Photo : façade ocre dentelle blanche)
Le peintre espagnol Taquen a signé deux murs à Lozzi, l’un à l’Acquale et l’autre au Poghju. Dans ces peintures, l’artiste veut montrer l’errance, le voyage, les frontières, qui sont sans aucun doute, l’ADN de son travail.
Olivia Paroldi, artiste française s’est emparée de plusieurs portes et de murs de Lozzi pour exprimer son art. Parmi sesréalisations, les lâchers de gypaètes (oiseaux) auxquels les enfants de l'École de Calacuccia sont associés, mais aussi, des portraits de poètes ou d’une vieille dame corse sur des portes en bois.
Pour profiter de ces images en grand, cliquez dessus !
Parmi les réalisations de cette troisième édition, on compte par exemple celle de Jan Vormann, unsculpteur et artiste urbain franco-allemand connu pour les « réparations » de murs urbains qu'il réalise en Lego. L’homme de 39 ans a laissé une belle trace de son passage en Corse en travaillant sur une colonne de Lozzi, grâce à un mélange de pierres bleues (petra sigalina) et de briques de LEGO (c) avec de multiples incrustations faisant référence au village.
L’artiste, plasticien italien, Bifido, a réalisé deux collages. Un premier reprenant le thème de la mélancolie et de l’espièglerie de l’enfance (photo de la une) et un second célébrant l’énergie de l’enfant sur la maison d’A Costa à Lozzi.
Pour la deuxième fois dans la courte histoire de ce festival, l'artiste polonaise NeSpoon, véritable icône de l'art urbain au féminin s’est emparé des murs d’un bâtiment corse. Cette fois-ci, elle a recouvert une façade de la mairie de Santa Severa en s’inspirant d'un détail de broderie du Cap Corse du milieu du 19e siècle dont les motifs ont été collectés dans l'ouvrage "Histoire du vêtement en Corse" de Rennie Pecqueux-Barboni paru aux éditions Albiana en 2008. (Photo : façade ocre dentelle blanche)
Le peintre espagnol Taquen a signé deux murs à Lozzi, l’un à l’Acquale et l’autre au Poghju. Dans ces peintures, l’artiste veut montrer l’errance, le voyage, les frontières, qui sont sans aucun doute, l’ADN de son travail.
Olivia Paroldi, artiste française s’est emparée de plusieurs portes et de murs de Lozzi pour exprimer son art. Parmi sesréalisations, les lâchers de gypaètes (oiseaux) auxquels les enfants de l'École de Calacuccia sont associés, mais aussi, des portraits de poètes ou d’une vieille dame corse sur des portes en bois.
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