Les victimes prises en charge par les secouristes (Photos PGHM de Corse)
L'alerte a été reçue jeudi soir vers 20h15. Elle faisait des difficultés rencontrées par un couple de nationalité allemande - un homme de 71 ans et une femme de 60 - incapable de progresser et de retrouver le tracé du GR 20 à 2 450 m d'altitude.
Le vent, le brouillard et la pluie n'ont guère facilité leur progression. Dès lors, malgré la barrière de la langue, le Peloton de gendarmerie de Haute-Montagne (PGHHM) de Corse avisé, parvenait à les situer et mettait, à bord de Dragon 2B, l'hélicoptère de la sécurité civile, le cap sur le Monte Cintu.
Sur place les sauveteurs entreprenaient d'extraire les 2 randonneurs de leur fâcheuse posture, mais ce fut peine perdue en raison de leur état d'épuisement.
Décision était prise de faire appel à des renforts - une caravane terrestre de la gendarmerie de montagne en l'occurrence - pour installer un premier bivouac dans des conditions météorologiques extrêmes, dans la neige, un terrain glissant, etc.
Malgré ce "point chaud" il a été impossible aux sauveteurs de récupérer aussi rapidement qu'ils l'auraient souhaité les randonneurs. La tentative de récupération par hélicoptère échouait elle aussi en raison de la météo.
Finalement après l'arrivée de nouveaux renforts et l'hélicoptère de la gendarmerie cette fois - 11 personnes ont été mobilisées sur cette opération - une seconde caravane, un second bivouac et une équipe de "descente" etc., venue prêter main forte, la femme de 60 ans a pu regagner Lozzi sur le coup de 12h30 ce jeudi. Quant à son compagnon de randonnée, il a été déposé à l'hôpital de Corte dans un état d'épuisement "très marqué".
Ce sauvetage qui a demandé un engagement exceptionnel de plusieurs heures des sauveteurs , dans des conditions difficiles, met, une fois encore, en lumière l'inconscience et de la légèreté de ces randonneurs qui s'aventurent en montagne comme s'il s'agissait d'une simple balade à la campagne.
Pendant toute la durée du sauvetage c'est le groupe montagne du SIS 2 B qui a pris le relais du PGHM
A noter qu'il y a quelques jours, un randonneur avait également été secouru sur le GR 20 après 2 jours de recherches.
Le vent, le brouillard et la pluie n'ont guère facilité leur progression. Dès lors, malgré la barrière de la langue, le Peloton de gendarmerie de Haute-Montagne (PGHHM) de Corse avisé, parvenait à les situer et mettait, à bord de Dragon 2B, l'hélicoptère de la sécurité civile, le cap sur le Monte Cintu.
Sur place les sauveteurs entreprenaient d'extraire les 2 randonneurs de leur fâcheuse posture, mais ce fut peine perdue en raison de leur état d'épuisement.
Décision était prise de faire appel à des renforts - une caravane terrestre de la gendarmerie de montagne en l'occurrence - pour installer un premier bivouac dans des conditions météorologiques extrêmes, dans la neige, un terrain glissant, etc.
Malgré ce "point chaud" il a été impossible aux sauveteurs de récupérer aussi rapidement qu'ils l'auraient souhaité les randonneurs. La tentative de récupération par hélicoptère échouait elle aussi en raison de la météo.
Finalement après l'arrivée de nouveaux renforts et l'hélicoptère de la gendarmerie cette fois - 11 personnes ont été mobilisées sur cette opération - une seconde caravane, un second bivouac et une équipe de "descente" etc., venue prêter main forte, la femme de 60 ans a pu regagner Lozzi sur le coup de 12h30 ce jeudi. Quant à son compagnon de randonnée, il a été déposé à l'hôpital de Corte dans un état d'épuisement "très marqué".
Ce sauvetage qui a demandé un engagement exceptionnel de plusieurs heures des sauveteurs , dans des conditions difficiles, met, une fois encore, en lumière l'inconscience et de la légèreté de ces randonneurs qui s'aventurent en montagne comme s'il s'agissait d'une simple balade à la campagne.
Pendant toute la durée du sauvetage c'est le groupe montagne du SIS 2 B qui a pris le relais du PGHM
A noter qu'il y a quelques jours, un randonneur avait également été secouru sur le GR 20 après 2 jours de recherches.
Cet homme de 53 ans qui s’était perdu, avait été retrouvé indemne à 3 00 m sous un sentier, coincé entre des rochers.
Des conditions météos extrêmes
Une progression difficile
Le bivouac utilisé à 2 450 m
Envoyer à un ami
Version imprimable
