« J’aime ma mer est un projet alliant éducation scolaire et défi sportif » explique Loïc Paris, fondateur de l’association éponyme. « L’objectif est de sensibiliser les enfants et le grand public à la pollution plastique en Méditerranée ». Pour cela Loïc Paris a réalisé il y a deux ans la traversée de la Méditerranée à la rame, entre Nice et St Florent, et organise régulièrement des journées de nettoyage de plages avec des élèves d’établissements scolaires ou des bénévoles. «L’idée est partie d’un constat que la mer et les plages étaient vraiment de plus en plus sales », souligne Loïc Paris. « Le but est donc de sensibiliser les enfants dans les écoles, le grand public. Le projet actuel consiste à installer sur les plages de Corse des bacs de la mer. Cela existe déjà sur le continent et ça marche très bien ».
Loïc Paris est parti aussi d’un autre constat que celui que souvent les gens ne savent que faire de ce qu’ils trouvent sur une plage. « Avec ces bacs, les gens peuvent le savoir et ne pas mettre n’importe quoi dedans comme par exemple les restes d’un pique-nique. Le projet est d’implanter une trentaine de bacs en Corse ».
Pour ce projet, «J’aime ma mer » a reçu le soutien du laboratoire NUTERGIA qui a mis au point le concept de Nutrition cellulaire Active. « Le laboratoire finance à 80% ces bacs en bois», précise L. Paris. « Le reste, c’est l’association qui le finance à travers des actions diverses. L’affiche apposée sur les bacs a été réalisée par les écodélégués du Collège de Lucciana ».
Un système de QR code
Les classes de collèges et de lycées élisent chaque année des écodélégués pour participer activement à la mise en œuvre du développement durable dans leurs établissements. À travers ces élections et les projets écoresponsables menés toute l'année, les élèves deviennent acteurs à part entière pour contribuer à faire des collèges et lycées des espaces plus favorables à la biodiversité et davantage engagés dans l’atténuation et l’adaptation au changement climatique
Enseignante spécialisée, Salomé Pontet chapeaute ces écodélégués. « Le collège de Lucciana réalise chaque année de nombreuses actions écologiques. On a notamment participé au Trophée du développement durable qui a rapport notamment à l’économie de l’eau, à la lutte contre le gaspillage de l’eau que ce soit au collège ou dans les domiciles. Ce projet de Loïc Paris a été très b éponyme ien accueilli par nos écodélégués qui ont souhaité réaliser eux-mêmes l’affiche apposée sur les bacs et qui explique que jeter et ne pas jeter dedans ». Lorsque ces bacs de 1m3 sont pleins, un malin système de QR code avertit l’association qui peut donc procéder au vidage de celui-ci. L’association forte de 80 adhérents multiplie les initiatives comme par exemple celle de remplacer les heures de colle au collège de St Florent par des heures de dépollution.
Ce vendredi les élèves de Lucciana ont inauguré ce premier bac de la mer en présence du maire de la ville, José Galletti, de représentants de la Communauté de communes Marana-Golo et des bénévoles de l’association. «On ne peut que saluer cette initiative qui tend à essayer de maintenir nos plages, très fréquentées, dans un état de propreté. J’espère que l’association va pouvoir multiplier ces points de collectes. À l’Interco, qui gère les plages, on est prêt à suivre le mouvement et faire en sorte qu’on puisse progresser dans ces démarches », souligne le 1er magistrat de Lucciana.
Loïc Paris est parti aussi d’un autre constat que celui que souvent les gens ne savent que faire de ce qu’ils trouvent sur une plage. « Avec ces bacs, les gens peuvent le savoir et ne pas mettre n’importe quoi dedans comme par exemple les restes d’un pique-nique. Le projet est d’implanter une trentaine de bacs en Corse ».
Pour ce projet, «J’aime ma mer » a reçu le soutien du laboratoire NUTERGIA qui a mis au point le concept de Nutrition cellulaire Active. « Le laboratoire finance à 80% ces bacs en bois», précise L. Paris. « Le reste, c’est l’association qui le finance à travers des actions diverses. L’affiche apposée sur les bacs a été réalisée par les écodélégués du Collège de Lucciana ».
Un système de QR code
Les classes de collèges et de lycées élisent chaque année des écodélégués pour participer activement à la mise en œuvre du développement durable dans leurs établissements. À travers ces élections et les projets écoresponsables menés toute l'année, les élèves deviennent acteurs à part entière pour contribuer à faire des collèges et lycées des espaces plus favorables à la biodiversité et davantage engagés dans l’atténuation et l’adaptation au changement climatique
Enseignante spécialisée, Salomé Pontet chapeaute ces écodélégués. « Le collège de Lucciana réalise chaque année de nombreuses actions écologiques. On a notamment participé au Trophée du développement durable qui a rapport notamment à l’économie de l’eau, à la lutte contre le gaspillage de l’eau que ce soit au collège ou dans les domiciles. Ce projet de Loïc Paris a été très b éponyme ien accueilli par nos écodélégués qui ont souhaité réaliser eux-mêmes l’affiche apposée sur les bacs et qui explique que jeter et ne pas jeter dedans ». Lorsque ces bacs de 1m3 sont pleins, un malin système de QR code avertit l’association qui peut donc procéder au vidage de celui-ci. L’association forte de 80 adhérents multiplie les initiatives comme par exemple celle de remplacer les heures de colle au collège de St Florent par des heures de dépollution.
Ce vendredi les élèves de Lucciana ont inauguré ce premier bac de la mer en présence du maire de la ville, José Galletti, de représentants de la Communauté de communes Marana-Golo et des bénévoles de l’association. «On ne peut que saluer cette initiative qui tend à essayer de maintenir nos plages, très fréquentées, dans un état de propreté. J’espère que l’association va pouvoir multiplier ces points de collectes. À l’Interco, qui gère les plages, on est prêt à suivre le mouvement et faire en sorte qu’on puisse progresser dans ces démarches », souligne le 1er magistrat de Lucciana.