Stade de France SC Bastia : 0 PSG : 4 (0-2)
Buts pour le PSG : Ibrahimovic (21e sur penalty, 44e) Cavani (80e et 90+2)
Arbitre : M. Bastien
Avertissements : Cahuzac (25e), Peybernes (85e), Cioni (88e) au SCB, Lavezzi (44e) au PSG
Aréola - Cioni, Modesto, Squillaci, Marange - Cahuzac, Gillet - Danic puis Peybernes (22e), Boudebouz, Palmiéri puis Ayité (68e) - Sio puis Brandao
PSG
Douchez - Aurier, Marquinhos, T. Silva, Maxwell - Verratti, Rabiot, Matuidi - Lavezzi puis Cavani (64e) Ibrahimovic, Pastore puis Lucas (72e)
Le suspense n'aura pas excédé une vingtaine de minutes samedi soir au stade France, tout acquis à la cause du Sporting. En sifflant ce penalty et surtout en renvoyant Sébastien Squillaci aussitôt au vestiaire M. Sébastien a sans doute appliqué le règlement.
Mais dans le même temps il a fait de cette finale un beau gâchis.
On ne saura jamais ce qu'il serait advenu si le Sporting avait poursuivi au complet mais en sifflant une faute que Lavezzi a provoqué en se jetant sur la jambe en barrage de Squillaci M. Bastien a donné les moyens au PSG de faire la différence qu'il n'avait jamais réussi à réaliser jusque-là.
En effet une fois la pression évacuée le Sporting s'est montré plus pressant que son adversaire et même sans se créer de véritables occasions c'est lui qui a obtenu le premier corner de la partie.
Puis survenait cette action pour le moins litigieuse et la double sanction infligée au Sporting.
Une aubaine que ne laissait pas passer Ibrahimovic.
Face à Aréola le Suédois croisait, comme souvent, son tir mais le catapultait cette fois dans la lucarne d'Alphonse Aréola, pris à contre-pied !
La situation commandait alors à Ghislain Printant de revoir ses batteries. Une triple sanction en somme qui sacrifiait Gaël Danic cette fois. remplacé par Peybernes.
C'était le coup d'assommoir parfait pour le Sporting auquel il fallait un certain pour se remettre ce dont profitait alors le PSG pour faire courir son adversaire.
Mais malgé cela les Bastiais parvenaient à se créer quelques opportunités comme sur ce coup-franc pourtant bien placé mais bien mal exploité par Boudebouz.
Le contre qui suivait allait être, en effet, fatal au Sporting.
En tout cas Serge Aurier ne se faisait pas prier pour, après plusieurs bons échanges parisienns, et avoir éliminé Palmiéri, centrer dans l'axe de la défense bastiaise où Peybernes renvoyait comme il pouvait, mais dans les pieds de Ibrahimovic. Après un contrôle devant le même Peybernes, le Suédois, à l'entrée de la surface, enchaînait une frappe puissante au ras du poteau qui avait raison de Aréola, impuissant mais assez clairvoyant un peu plus tard pour sauver son équipe du 3 à 0 en se plantant devant Lavezzi en fin de première période.
A 2 à 0 à la pause et en infériorité numérique le SCB pouvait, déjà, faire une croix sur ses ambitions.
De fait même si à la reprise les joueurs de Printant tentaient comme ils le pouvaient de maintenir le cap, le PSG devnait rapidement un adversaire inaccessible et sans quelques interventions décisives de Areola la marque aurait certainement évolué plus vite.
Mais il est vrai aussi que le Sporting par Marange d'abord puis par Cahuzac, ensuite, à une dizaine de minutes de la fin avaient eu les moyens de faire revenir l'espoir dans leur camp.
Mais c'était sans compter avec Cavani et sa reprise de la tête décroisée qui consécutive à centre de Aurier venu de la droite, crucifiait Areola pour la troisième fois de la soirée. Puis avec ce même Cavani qui partait dans le dois de la défense bastiaise pour donner des allures de déroute à la défaite bastiaise.
La messe était, dès lors, bel et bien dire. Le Sporting de Bastia perdait sa troisième finale consécutive.
Mais cette fois c'est bien l'arbitre qui a contrarié ses plans bien plus qu'il ne l'a fait lui-même.
Buts pour le PSG : Ibrahimovic (21e sur penalty, 44e) Cavani (80e et 90+2)
Arbitre : M. Bastien
Avertissements : Cahuzac (25e), Peybernes (85e), Cioni (88e) au SCB, Lavezzi (44e) au PSG
Aréola - Cioni, Modesto, Squillaci, Marange - Cahuzac, Gillet - Danic puis Peybernes (22e), Boudebouz, Palmiéri puis Ayité (68e) - Sio puis Brandao
PSG
Douchez - Aurier, Marquinhos, T. Silva, Maxwell - Verratti, Rabiot, Matuidi - Lavezzi puis Cavani (64e) Ibrahimovic, Pastore puis Lucas (72e)
Le suspense n'aura pas excédé une vingtaine de minutes samedi soir au stade France, tout acquis à la cause du Sporting. En sifflant ce penalty et surtout en renvoyant Sébastien Squillaci aussitôt au vestiaire M. Sébastien a sans doute appliqué le règlement.
Mais dans le même temps il a fait de cette finale un beau gâchis.
On ne saura jamais ce qu'il serait advenu si le Sporting avait poursuivi au complet mais en sifflant une faute que Lavezzi a provoqué en se jetant sur la jambe en barrage de Squillaci M. Bastien a donné les moyens au PSG de faire la différence qu'il n'avait jamais réussi à réaliser jusque-là.
En effet une fois la pression évacuée le Sporting s'est montré plus pressant que son adversaire et même sans se créer de véritables occasions c'est lui qui a obtenu le premier corner de la partie.
Puis survenait cette action pour le moins litigieuse et la double sanction infligée au Sporting.
Une aubaine que ne laissait pas passer Ibrahimovic.
Face à Aréola le Suédois croisait, comme souvent, son tir mais le catapultait cette fois dans la lucarne d'Alphonse Aréola, pris à contre-pied !
La situation commandait alors à Ghislain Printant de revoir ses batteries. Une triple sanction en somme qui sacrifiait Gaël Danic cette fois. remplacé par Peybernes.
C'était le coup d'assommoir parfait pour le Sporting auquel il fallait un certain pour se remettre ce dont profitait alors le PSG pour faire courir son adversaire.
Mais malgé cela les Bastiais parvenaient à se créer quelques opportunités comme sur ce coup-franc pourtant bien placé mais bien mal exploité par Boudebouz.
Le contre qui suivait allait être, en effet, fatal au Sporting.
En tout cas Serge Aurier ne se faisait pas prier pour, après plusieurs bons échanges parisienns, et avoir éliminé Palmiéri, centrer dans l'axe de la défense bastiaise où Peybernes renvoyait comme il pouvait, mais dans les pieds de Ibrahimovic. Après un contrôle devant le même Peybernes, le Suédois, à l'entrée de la surface, enchaînait une frappe puissante au ras du poteau qui avait raison de Aréola, impuissant mais assez clairvoyant un peu plus tard pour sauver son équipe du 3 à 0 en se plantant devant Lavezzi en fin de première période.
A 2 à 0 à la pause et en infériorité numérique le SCB pouvait, déjà, faire une croix sur ses ambitions.
De fait même si à la reprise les joueurs de Printant tentaient comme ils le pouvaient de maintenir le cap, le PSG devnait rapidement un adversaire inaccessible et sans quelques interventions décisives de Areola la marque aurait certainement évolué plus vite.
Mais il est vrai aussi que le Sporting par Marange d'abord puis par Cahuzac, ensuite, à une dizaine de minutes de la fin avaient eu les moyens de faire revenir l'espoir dans leur camp.
Mais c'était sans compter avec Cavani et sa reprise de la tête décroisée qui consécutive à centre de Aurier venu de la droite, crucifiait Areola pour la troisième fois de la soirée. Puis avec ce même Cavani qui partait dans le dois de la défense bastiaise pour donner des allures de déroute à la défaite bastiaise.
La messe était, dès lors, bel et bien dire. Le Sporting de Bastia perdait sa troisième finale consécutive.
Mais cette fois c'est bien l'arbitre qui a contrarié ses plans bien plus qu'il ne l'a fait lui-même.