Les salariés étaient appelés ce jeudi 14 à faire la grève pour dénoncer une nouvelle fois la politique du gouvernement qui prévoit la suppression de 120 000 emplois dans la fonction publique dans les années à venir, suppressions aussi de perceptions dans le rural.
« Le gouvernement doit respecter la loi montagne et répondre à notre demande relayée par les élus et aussi les préfets de Corse sur un moratoire sur les suppressions d'emplois et l'ouverture d'un dialogue sur les services publics en Corse avec les personnels et l'exécutif de la CTC » soulignait JP Battestini, secrétaire général de l’UD CGT 2 B. « On sait que le président Macron doit venir très prochainement en Corse et on souhaite qu’il reçoive une délégation pour écouter nos doléances. Si nous ne bougeons pas dans quelques temps le public ne pourra plus être reçu par des agents des finances publics, ou dans des conditions inacceptables».
Pour l’intersyndical, le gouvernement doit abandonner son plan de suppression des implantations des Finances publiques. « Il faut stopper les suppressions d’emplois et donner les moyens aux finances publiques d’exercer correctement leurs missions de service public » pouvait-on lire sur un tract distribué ce matin.
Les 3 syndicats qui réclament aussi :
- l’ouverture de véritables discussions sur le devenir des missions, des implantations territoriales et le maintien des garanties individuelles et collectives dans le cadre des CAP sur la base de règles de gestion transparentes et négociées au niveau national
- la mise en place d’un recrutement ambitieux de personnels titulaires à la hauteur des besoins
- Une opération massive de repyramidage des emplois par une amélioration des volumes de promotions de grade au sein de chaque catégorie et un large plan de promotions de C eb B et de B en A
- L’augmentation de la valeur du point d’indice
- La revalorisation immédiate des régimes indemnitaires de 200 € brut par mois
« Le gouvernement doit respecter la loi montagne et répondre à notre demande relayée par les élus et aussi les préfets de Corse sur un moratoire sur les suppressions d'emplois et l'ouverture d'un dialogue sur les services publics en Corse avec les personnels et l'exécutif de la CTC » soulignait JP Battestini, secrétaire général de l’UD CGT 2 B. « On sait que le président Macron doit venir très prochainement en Corse et on souhaite qu’il reçoive une délégation pour écouter nos doléances. Si nous ne bougeons pas dans quelques temps le public ne pourra plus être reçu par des agents des finances publics, ou dans des conditions inacceptables».
Pour l’intersyndical, le gouvernement doit abandonner son plan de suppression des implantations des Finances publiques. « Il faut stopper les suppressions d’emplois et donner les moyens aux finances publiques d’exercer correctement leurs missions de service public » pouvait-on lire sur un tract distribué ce matin.
Les 3 syndicats qui réclament aussi :
- l’ouverture de véritables discussions sur le devenir des missions, des implantations territoriales et le maintien des garanties individuelles et collectives dans le cadre des CAP sur la base de règles de gestion transparentes et négociées au niveau national
- la mise en place d’un recrutement ambitieux de personnels titulaires à la hauteur des besoins
- Une opération massive de repyramidage des emplois par une amélioration des volumes de promotions de grade au sein de chaque catégorie et un large plan de promotions de C eb B et de B en A
- L’augmentation de la valeur du point d’indice
- La revalorisation immédiate des régimes indemnitaires de 200 € brut par mois