Toujours la même émotion au pied de la stèle…
"Aujourd'hui est le 23e anniversaire de la catastrophe de Furiani.
A nouveau, nous sommes là pour ne pas oublier, nous sommes là pour construire une histoire partagée qui restera dans la mémoire de tous afin de se porter garant des souvenirs de chacun.
Cet énorme élan de soutien nous démontrer que les victimes de la catastrophe demeureront car on ne les oublie pas et on ne les oubliera pas.
La mémoire concerne la marque, la trace, la cicatrice, la blessure. Elle dépasse largement le cadre de l'histoire personnelle engageant l'Autre, la tradition, la transmission.
Nous avons tous une volonté commune qui est le respect du devoir de mémoire, le respect de son histoire, de ses valeurs.
Comment tourner la page, comment soigner les cicatrices mémorielles, recoudre le tissu du temps, comprendre sans pour autant oublier.
Nous savons que le traumatisme est un témoignage: le témoignage, ce ce qui est arrivé à l'humain. Alors qui est mieux placé que le collectif, pour connaitre, à travers ce qu'il a vécu, ce qu'il convient le mieux à l'atténuation des blessures psychiques.
Je vous propose donc de nous recueillir et de faire 5 minutes de silence en mémoire des victimes de la catastrophe de Furiani.
N'oublions jamais ce qui s'est passé il y a aujourd'hui 23 ans, pour que les disparitions de Guy, Antoine, Marie-Pierre, André, Alexandra, Jean-Baptiste, Antoine, Thierry, Dominique, Santa, Pierre-Jean, Cédric, Lucien, Christian, Michel, Marie-Laure, Patrick, Michel et les souffrances de Karine et Paul et de tant d'autres servent au moins à éviter, à l'avenir, ici et ailleurs d'autres catastrophes autour du sport…
Il y a 23 ans, ici, le soleil déclinait et l'ambiance montait…
Un grand moment d'émotion a suivi.
Partagé devant la stèle. Et au-delà.
Sauf par la FFF Et la LFP qui, à notre connaissance, ne sont guère manifestées ce 5 Mai 2015...
A nouveau, nous sommes là pour ne pas oublier, nous sommes là pour construire une histoire partagée qui restera dans la mémoire de tous afin de se porter garant des souvenirs de chacun.
Cet énorme élan de soutien nous démontrer que les victimes de la catastrophe demeureront car on ne les oublie pas et on ne les oubliera pas.
La mémoire concerne la marque, la trace, la cicatrice, la blessure. Elle dépasse largement le cadre de l'histoire personnelle engageant l'Autre, la tradition, la transmission.
Nous avons tous une volonté commune qui est le respect du devoir de mémoire, le respect de son histoire, de ses valeurs.
Comment tourner la page, comment soigner les cicatrices mémorielles, recoudre le tissu du temps, comprendre sans pour autant oublier.
Nous savons que le traumatisme est un témoignage: le témoignage, ce ce qui est arrivé à l'humain. Alors qui est mieux placé que le collectif, pour connaitre, à travers ce qu'il a vécu, ce qu'il convient le mieux à l'atténuation des blessures psychiques.
Je vous propose donc de nous recueillir et de faire 5 minutes de silence en mémoire des victimes de la catastrophe de Furiani.
N'oublions jamais ce qui s'est passé il y a aujourd'hui 23 ans, pour que les disparitions de Guy, Antoine, Marie-Pierre, André, Alexandra, Jean-Baptiste, Antoine, Thierry, Dominique, Santa, Pierre-Jean, Cédric, Lucien, Christian, Michel, Marie-Laure, Patrick, Michel et les souffrances de Karine et Paul et de tant d'autres servent au moins à éviter, à l'avenir, ici et ailleurs d'autres catastrophes autour du sport…
Il y a 23 ans, ici, le soleil déclinait et l'ambiance montait…
Un grand moment d'émotion a suivi.
Partagé devant la stèle. Et au-delà.
Sauf par la FFF Et la LFP qui, à notre connaissance, ne sont guère manifestées ce 5 Mai 2015...