" L’UNESCO pointe également du doigt les conséquences de la surfréquentation touristique, notamment les répercussions de la recrudescence de mouillages à l’ancre sur l’herbier de posidonie.
Il est d’une impérieuse nécessité de voir ce site préservé et maintenu dans le classement du patrimoine mondial.
C’est pourquoi j’ai interpelé par courrier le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, afin que des mesures immédiates soient prises pour interdire tout forage exploratoire d’hydrocarbures en Méditerranée occidentale susceptible d’affecter le bien ou son environnement. Je lui ai également fait des propositions visant à protéger les fonds marins des mouillages à l’ancre.
Par ailleurs, j’ai porté le dossier devant l’Assemblée de Corse par le biais d’une motion qui apporte des réponses concrètes visant à assurer la préservation, la conservation et le classement du site.
Inscrit au Patrimoine Mondial de l’Humanité depuis 1983, c’est le seul site de Corse à y figurer, et le premier espace français à y avoir été classé en tant que bien naturel. Son massif de porphyre aux formes tourmentées plongeant dans la Méditerranée abrite une riche vie animale et végétale, tant dans les fonds marins qu’à la surface. S’étendant sur près de 12 000 hectares et traversant les Calanche de Piana, le Golfe de Girolata et la Réserve de Scandola, le Golfe de Porto est un véritable écrin naturel, fleuron de notre patrimoine environnemental, qu’il nous faut impérativement préserver.»
Une motion avec demande d'examen prioritaire sera déposée dès jeudi à la session de l'assemblée de Corse.
Il est d’une impérieuse nécessité de voir ce site préservé et maintenu dans le classement du patrimoine mondial.
C’est pourquoi j’ai interpelé par courrier le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, afin que des mesures immédiates soient prises pour interdire tout forage exploratoire d’hydrocarbures en Méditerranée occidentale susceptible d’affecter le bien ou son environnement. Je lui ai également fait des propositions visant à protéger les fonds marins des mouillages à l’ancre.
Par ailleurs, j’ai porté le dossier devant l’Assemblée de Corse par le biais d’une motion qui apporte des réponses concrètes visant à assurer la préservation, la conservation et le classement du site.
Inscrit au Patrimoine Mondial de l’Humanité depuis 1983, c’est le seul site de Corse à y figurer, et le premier espace français à y avoir été classé en tant que bien naturel. Son massif de porphyre aux formes tourmentées plongeant dans la Méditerranée abrite une riche vie animale et végétale, tant dans les fonds marins qu’à la surface. S’étendant sur près de 12 000 hectares et traversant les Calanche de Piana, le Golfe de Girolata et la Réserve de Scandola, le Golfe de Porto est un véritable écrin naturel, fleuron de notre patrimoine environnemental, qu’il nous faut impérativement préserver.»
Une motion avec demande d'examen prioritaire sera déposée dès jeudi à la session de l'assemblée de Corse.