Les quatre personnes ont été présentées samedi devant le juge du pôle économique et financier de Bastia.
Au terme de leur audition le maire de Sant'Andria di U Cotone, Stéphane Domarchi, et le maire de Perelli, Jean-Hyacinthe Vinciguerra, auxquels il est reproché d'occuper des emplois fictifs à la collectivité départementale de la Haute-Corse, ont été mis en examen pour "recel de détournement de fonds publics".
Jean-François Leoni, directeur des interventions sanitaires et social du Conseil départemental et Marie-Hélène Djivas, directrice générale de la même assemblée, ont été, pour leur part, mis en examen pour "détournement de fonds publics".
Conséquence de de qui précède : la directrice générale des services et le directeur des interventions sanitaires et sociales ne peuvent plus avoir d'activités au Conseil départemental. Il leur est, aussi, interdit de se rendre dans les locaux de la collectivité.
La justice estime que les deux fonctionnaires "ont couvert le comportement de M. Vinciguerra et trouvé pour M. Domarchi un emploi sur mesure".
Les quatre personnes, qui nient les faits qu'on leur reproche, sont, pour l'heure, présumées innocentes.
Au terme de leur audition le maire de Sant'Andria di U Cotone, Stéphane Domarchi, et le maire de Perelli, Jean-Hyacinthe Vinciguerra, auxquels il est reproché d'occuper des emplois fictifs à la collectivité départementale de la Haute-Corse, ont été mis en examen pour "recel de détournement de fonds publics".
Jean-François Leoni, directeur des interventions sanitaires et social du Conseil départemental et Marie-Hélène Djivas, directrice générale de la même assemblée, ont été, pour leur part, mis en examen pour "détournement de fonds publics".
Conséquence de de qui précède : la directrice générale des services et le directeur des interventions sanitaires et sociales ne peuvent plus avoir d'activités au Conseil départemental. Il leur est, aussi, interdit de se rendre dans les locaux de la collectivité.
La justice estime que les deux fonctionnaires "ont couvert le comportement de M. Vinciguerra et trouvé pour M. Domarchi un emploi sur mesure".
Les quatre personnes, qui nient les faits qu'on leur reproche, sont, pour l'heure, présumées innocentes.