Pour le docteur Faure "cette affirmation est totalement inexacte. En effet, avec plus de 850 procédures d’angioplastie coronaire (implantation de ressorts dans les artères lors d’un infarctus) par an, nous sommes un centre à haut volume d’activité.
La limite des 600 angioplasties coronaires par an, qualifiant un centre à haut volume d’activité, est atteinte par seulement 25% des centres de cardiologie interventionnelle en France.
Notre activité est en constante innovation et accroissement avec, par exemple, une implantation de pacemakers, défibrillateurs et procédure d’ablation ayant doublé en 1 an.
Le service de cardiologie de l'hôpital de Bastia n'est absolument pas menacé de fermeture et il s'enrichira par ailleurs prochainement d'un centre de réadaptation cardiaque.
L’objectif du service de cardiologie de l’hôpital de Bastia est de répondre à la problématique de sur-mortalité de 25% par cardiopathie ischémique chez les moins de 65 ans en Corse (données ARS 2008) par rapport à la France continentale.
Les difficultés évoquées de la cardiologie sont imputables uniquement à un problème de démographie médicale pour faire face et cette activité importante et sans cesse croissante.
Compte tenu du niveau d’activité, le double de praticiens serait nécessaire pour maintenir et pérenniser les soins.
L'équipe soignante de ce service se dédie 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, avec compétence et dévouement, aux patients, nombreux, qui relèvent de cette spécialité. "
La limite des 600 angioplasties coronaires par an, qualifiant un centre à haut volume d’activité, est atteinte par seulement 25% des centres de cardiologie interventionnelle en France.
Notre activité est en constante innovation et accroissement avec, par exemple, une implantation de pacemakers, défibrillateurs et procédure d’ablation ayant doublé en 1 an.
Le service de cardiologie de l'hôpital de Bastia n'est absolument pas menacé de fermeture et il s'enrichira par ailleurs prochainement d'un centre de réadaptation cardiaque.
L’objectif du service de cardiologie de l’hôpital de Bastia est de répondre à la problématique de sur-mortalité de 25% par cardiopathie ischémique chez les moins de 65 ans en Corse (données ARS 2008) par rapport à la France continentale.
Les difficultés évoquées de la cardiologie sont imputables uniquement à un problème de démographie médicale pour faire face et cette activité importante et sans cesse croissante.
Compte tenu du niveau d’activité, le double de praticiens serait nécessaire pour maintenir et pérenniser les soins.
L'équipe soignante de ce service se dédie 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, avec compétence et dévouement, aux patients, nombreux, qui relèvent de cette spécialité. "