Laurent Baly (Saat) et Nicolas Antoniotti (Inizià) : une alliance qui vise à aller plus loin dans le travail commun.
Booster la création d’entreprises innovantes à partir de la recherche publique. C’est l’objectif de la convention de partenariat que l’incubateur Inizià a signé le 7 juillet dernier avec la Société de Transfert de Technologies (SATT) Sud-Est qui accompagne tout au long de l’année les entreprises de toutes tailles à innover par le transfert de technologies issues d’un établissement de recherches publiques. Matérialisation d’une collaboration de plusieurs années, cette alliance vise à aller plus loin dans le travail commun entre les deux structures, afin de conduire l’entrée en incubation de projets entrainant la création et le développement d’entreprises innovantes.
« La recherche publique et l’innovation existent en Corse même si beaucoup de gens sont encore sceptiques. Pour convaincre, il faut montrer des illustrations et des gens qui portent les discours sur le terrain. Mais la grande difficulté, qui n’est pas spécifique à la Corse, est d’avoir une recherche qui a du mal à entrer dans le domaine d’application économique », explique Jean-Nicolas Antoniotti, le président de l’incubateur Inizià en ajoutant : « Nous avons beaucoup d’efforts à faire, mais aujourd’hui nous avons des moyens qui se mettent en œuvre. Nous faisons de l’accompagnement et la SATT va faire du transfert de technologie », ajoute-t-il.
« Le rôle de la SATT est de transférer les innovations de la recherche publique en direction du monde socio-économique », précise de son côté Laurent Baly, le président de la SATT Sud-Est. « Nous sommes très attachés au territoire corse où il existe une université extrêmement dynamique et de grande qualité. En collaboration avec Inizià, nous souhaitons vraiment accélérer et renforcer la sensibilisation à la fois auprès du secteur public, donc des chercheurs, des jeunes docteurs, des doctorants, mais aussi du monde de l’entreprise et les créateurs pour montrer qu’il y a une belle dynamique sur ce territoire avec de très bons projets qui méritent d’être valorisés et développés », souligne-t-il aux côtés d’Aria Firefighting, W4I et Stepsol, trois start-ups insulaires prometteuses qui s’appuient sur la recherche publique de l’Université de Corse.
Dans ce droit fil, la SATT Sud-Est travaillera désormais en étroite collaboration avec l’incubateur Inizià dès l’élaboration des projets afin d’identifier et de renforcer leur futur potentiel économique sur le territoire de la Corse. Les experts de la SATT Sud-Est pourront en outre identifier les technologies issues des laboratoires de recherche publique qui pourraient avoir des applications commerciales concrète et répondre aux besoins des porteurs de projets accompagnés par l’incubateur Inizià. Pour sa part, l’accompagnement de ces derniers pourra aider à la construction des projets d’entreprise, dans les phases de démarrage d’activité et dans la structuration de leur stratégie de développement de la startup. Enfin, les deux structures travailleront en concertation afin d’aider le porteur de projet et l’équipe de recherches à identifier les leviers financiers nécessaires, à monter en compétences et à gagner en autonomie afin de l’accompagner au mieux dans la construction d’une entreprise innovante. De quoi permettre aux projets de favoriser leurs chances de succès, d’amorcer une croissance viable et solidement ancrée dans l’innovation grâce à des actifs technologiques robustes.
« La recherche publique et l’innovation existent en Corse même si beaucoup de gens sont encore sceptiques. Pour convaincre, il faut montrer des illustrations et des gens qui portent les discours sur le terrain. Mais la grande difficulté, qui n’est pas spécifique à la Corse, est d’avoir une recherche qui a du mal à entrer dans le domaine d’application économique », explique Jean-Nicolas Antoniotti, le président de l’incubateur Inizià en ajoutant : « Nous avons beaucoup d’efforts à faire, mais aujourd’hui nous avons des moyens qui se mettent en œuvre. Nous faisons de l’accompagnement et la SATT va faire du transfert de technologie », ajoute-t-il.
« Le rôle de la SATT est de transférer les innovations de la recherche publique en direction du monde socio-économique », précise de son côté Laurent Baly, le président de la SATT Sud-Est. « Nous sommes très attachés au territoire corse où il existe une université extrêmement dynamique et de grande qualité. En collaboration avec Inizià, nous souhaitons vraiment accélérer et renforcer la sensibilisation à la fois auprès du secteur public, donc des chercheurs, des jeunes docteurs, des doctorants, mais aussi du monde de l’entreprise et les créateurs pour montrer qu’il y a une belle dynamique sur ce territoire avec de très bons projets qui méritent d’être valorisés et développés », souligne-t-il aux côtés d’Aria Firefighting, W4I et Stepsol, trois start-ups insulaires prometteuses qui s’appuient sur la recherche publique de l’Université de Corse.
Dans ce droit fil, la SATT Sud-Est travaillera désormais en étroite collaboration avec l’incubateur Inizià dès l’élaboration des projets afin d’identifier et de renforcer leur futur potentiel économique sur le territoire de la Corse. Les experts de la SATT Sud-Est pourront en outre identifier les technologies issues des laboratoires de recherche publique qui pourraient avoir des applications commerciales concrète et répondre aux besoins des porteurs de projets accompagnés par l’incubateur Inizià. Pour sa part, l’accompagnement de ces derniers pourra aider à la construction des projets d’entreprise, dans les phases de démarrage d’activité et dans la structuration de leur stratégie de développement de la startup. Enfin, les deux structures travailleront en concertation afin d’aider le porteur de projet et l’équipe de recherches à identifier les leviers financiers nécessaires, à monter en compétences et à gagner en autonomie afin de l’accompagner au mieux dans la construction d’une entreprise innovante. De quoi permettre aux projets de favoriser leurs chances de succès, d’amorcer une croissance viable et solidement ancrée dans l’innovation grâce à des actifs technologiques robustes.