« Je ressens énormément d’émotion dans un cadre comme celui-ci, j’ai encore la voix qui tremble ». Arthur Pieto, designer, qui avait été désigné comme premier relayeur de la flamme olympique à son arrivée en Corse, n’en revient toujours pas.
Autour de lui, des dizaines de personnes se pressent pour immortaliser l’évènement dans un cadre majestueux : celui du Grand Site de la Parata, avec sa tour génoise en fond de décor. Gilles Simeoni, le président de la Collectivité de Corse et Stéphane Sbraggia, le maire d’Ajaccio, et Président de la CAPA, l’entoure alors que la flamme s’embrase devant les crépitements des appareils photo. Les premières foulées débutent alors, le service de sécurité se met en place. Une vingtaine de « runners » assurent la sécurité tout autour du premier porteur de flamme, qui effectuent à petits pas les premières centaines de mètres le long de la Parata.
Autour de lui, des dizaines de personnes se pressent pour immortaliser l’évènement dans un cadre majestueux : celui du Grand Site de la Parata, avec sa tour génoise en fond de décor. Gilles Simeoni, le président de la Collectivité de Corse et Stéphane Sbraggia, le maire d’Ajaccio, et Président de la CAPA, l’entoure alors que la flamme s’embrase devant les crépitements des appareils photo. Les premières foulées débutent alors, le service de sécurité se met en place. Une vingtaine de « runners » assurent la sécurité tout autour du premier porteur de flamme, qui effectuent à petits pas les premières centaines de mètres le long de la Parata.
Sauveur Nicolas, un 3e relayeur très ému
Trois porteurs se sont ensuite relayés du bas de la tour génoise jusqu’au parking du Grand-Site, avec comme dernier porteur, Sauveur Nicolas, sportif émérite, président du CTCA, organisateur de multiple triathlon dans la région ajaccienne, très ému, en laissant la flamme, prendre le chemin du centre-ville d’Ajaccio : « C’est indescriptible. C’est court, mais en même temps, on a le temps de penser à beaucoup de choses, beaucoup de gens. J’ai essayé, durant ces 300 mètres, toutes les personnes, qui ont facilité mon parcours de sportif depuis 40 ans, bien avant que je sois dans le triathlon. J’ai pensé à ma famille, qui m’a toujours soutenu. J’espère qu’ils ont vu. C’est particulier de l’avoir fait à la Parata et je remercie les organisateurs de m’avoir permis de faire ce relais ici. Je ne m’entraînerais plus jamais de la même façon ici. Si un jour, je trouve qu’une côte est trop dure, je me dirais que ce n’est pas grave, car j’ai porté la flamme ici ! ».
Trois porteurs se sont ensuite relayés du bas de la tour génoise jusqu’au parking du Grand-Site, avec comme dernier porteur, Sauveur Nicolas, sportif émérite, président du CTCA, organisateur de multiple triathlon dans la région ajaccienne, très ému, en laissant la flamme, prendre le chemin du centre-ville d’Ajaccio : « C’est indescriptible. C’est court, mais en même temps, on a le temps de penser à beaucoup de choses, beaucoup de gens. J’ai essayé, durant ces 300 mètres, toutes les personnes, qui ont facilité mon parcours de sportif depuis 40 ans, bien avant que je sois dans le triathlon. J’ai pensé à ma famille, qui m’a toujours soutenu. J’espère qu’ils ont vu. C’est particulier de l’avoir fait à la Parata et je remercie les organisateurs de m’avoir permis de faire ce relais ici. Je ne m’entraînerais plus jamais de la même façon ici. Si un jour, je trouve qu’une côte est trop dure, je me dirais que ce n’est pas grave, car j’ai porté la flamme ici ! ».
La flamme a ensuite rejoint l’imposant convoi olympique, composé d’un service de sécurité très impressionnant, en direction du Casone et du centre-ville d’Ajaccio. Tout au long de son passage, un public nombreux assistait à la scène le long de la route des Sanguinaires. Henri, la cinquantaine, en vacances en Corse, pour l’occasion n’en revenait toujours pas : « Nous sommes ici quelques jours, dans un hôtel des Sanguinaires et nous avons appris hier soir que la flamme olympique était de passage à Ajaccio, à quelques mètres de notre logement. C’est incroyable le destin ! Du coup, nous sommes là depuis 6 heures pour voir ce spectacle grandiose. La voir ici dans ce cadre extraordinaire a une saveur particulière ! ».
Mais, ce n’est rien à côté de la foule, qui était déjà massée sur la place du Casone où Alexandra Feracci, la championne de Karaté, attendait de prendre le relais, d’une journée qui s’annonce effrénée d’Ajaccio à Bastia, en passant par Corte, Bavella ou encore Ile Rousse. La fête ne fait que commencer.
Mais, ce n’est rien à côté de la foule, qui était déjà massée sur la place du Casone où Alexandra Feracci, la championne de Karaté, attendait de prendre le relais, d’une journée qui s’annonce effrénée d’Ajaccio à Bastia, en passant par Corte, Bavella ou encore Ile Rousse. La fête ne fait que commencer.