Fabriquer des couteaux c'est une passion, plus encore qu'un métier pour Jean-Dominique Susini qui, dans son atelier de Ville-di-Pietrabugno, donne vie à des pièces uniques comme on le fait depuis des temps immémoriaux.
Très jeune quand il fréquentait des ateliers de couteliers insulaires au contact desquels il a acquis des connaissances générales sur ce métier d’art, il a décidé de partir pur apprendre le métier de coutelier d’art. Formé au travail des orfèvres, artisans et ferronniers, il a gardé un respect et un attrait pour les techniques et pratiques ancestrales qu’il emploie toujours dans son atelier de Ville.
Avec patience, minutie et une technique impeccable, cet artisan est capable de former une lame brillante et parfaite à partir d'un barreau d'acier, brut de forge. La passion pour le mode de produire les couteaux de ses ancêtres l’a toujours passionné et quand il a décidé de faire de cet amour un métier il a commencé à étudier de plus près la métallurgie d'art.
L'acier, la forge, le feu, la précision et la maîtrise du temps et du geste, la transformation, la créativité... voilà ce qui anime celui qui est devenu coutelier par passion.
Couteaux professionnels, de poche, styles : pour vivre de sa passion jusqu’au bout, le coutelier travaille des pièces uniques car un vrai passionné ne réalise jamais deux couteaux identiques. Le bois d’olivier, la corne de bélier, le cuir ancien, l’argent font partie de ses inspirations qu’il transforme en véritables oeuvres d’art.
Des pièces uniques torsadées avec précision et martelées avec équilibre dans le respect des anciennes traditions. Même si Jean-Dominique donne naissance à des lames qui se rapprochent de la sensibilité des maîtres japonais son attirance pour l’histoire et l’art de la Corse, le portent à apprécier les objets bien faits. " Tout ce qui est authentique me plaît, j'aime travailler plusieurs matières."
Très jeune quand il fréquentait des ateliers de couteliers insulaires au contact desquels il a acquis des connaissances générales sur ce métier d’art, il a décidé de partir pur apprendre le métier de coutelier d’art. Formé au travail des orfèvres, artisans et ferronniers, il a gardé un respect et un attrait pour les techniques et pratiques ancestrales qu’il emploie toujours dans son atelier de Ville.
Avec patience, minutie et une technique impeccable, cet artisan est capable de former une lame brillante et parfaite à partir d'un barreau d'acier, brut de forge. La passion pour le mode de produire les couteaux de ses ancêtres l’a toujours passionné et quand il a décidé de faire de cet amour un métier il a commencé à étudier de plus près la métallurgie d'art.
L'acier, la forge, le feu, la précision et la maîtrise du temps et du geste, la transformation, la créativité... voilà ce qui anime celui qui est devenu coutelier par passion.
Couteaux professionnels, de poche, styles : pour vivre de sa passion jusqu’au bout, le coutelier travaille des pièces uniques car un vrai passionné ne réalise jamais deux couteaux identiques. Le bois d’olivier, la corne de bélier, le cuir ancien, l’argent font partie de ses inspirations qu’il transforme en véritables oeuvres d’art.
Des pièces uniques torsadées avec précision et martelées avec équilibre dans le respect des anciennes traditions. Même si Jean-Dominique donne naissance à des lames qui se rapprochent de la sensibilité des maîtres japonais son attirance pour l’histoire et l’art de la Corse, le portent à apprécier les objets bien faits. " Tout ce qui est authentique me plaît, j'aime travailler plusieurs matières."
Entre un jour et des mois de travail
"On travaille toutes les matières avec tous les éléments" - raconte Jean-Dominique Susini, dans son atelier qu'il a construit - L'air pour attiser le feu, la terre à travers le charbon, l'eau et les métaux sans oublier la main de l'homme."
Réaliser un couteau de bout en bout nécessite entre un jour à plusieurs mois de travail. "Certaines pièces peuvent demander beaucoup de temps de travail ! ". Un travail minutieux qui se fait beaucoup à l'œil et au toucher. Qu'il s'agisse des lames ou des manches, c'est l'artisan qui réalise l'ensemble. "J'assemble les différentes parties que j'ajuste au dixième de millimètre. C'est ça l'artisanat ! ".
Réaliser un couteau de bout en bout nécessite entre un jour à plusieurs mois de travail. "Certaines pièces peuvent demander beaucoup de temps de travail ! ". Un travail minutieux qui se fait beaucoup à l'œil et au toucher. Qu'il s'agisse des lames ou des manches, c'est l'artisan qui réalise l'ensemble. "J'assemble les différentes parties que j'ajuste au dixième de millimètre. C'est ça l'artisanat ! ".