Pour les spécialistes du cinéma français, Karim Leklou fait partie de la vague montante des acteurs français. « Je pense avoir cette passion du cinéma par mon père qui possédait des centaines de vidéocassettes. J’avais aussi un oncle qui nous ramenait très souvent des cassettes. Ma passion du cinéma me vient du magnétoscope». Ses débuts au cinéma se font à la fin des années 2000 dans un film au fort accent … corse : « Un prophète » de Jacques Audiard. Il y incarne le rôle d’un détenu aux côtés de la révélation Tahar Rahim. On le retrouve ensuite à l'affiche de la comédie « Sans queue ni tête » de Jeanne Labrune, donnant la réplique à Isabelle Huppert.
En 2011, au Festival de Cannes, Karim Leklou figure sur la liste des « Talents Cannes Adami ». Il y présenter deux films : « La Source des femmes » de Radu Mihaileanu et « Les Géants » de Bouli Lanners. On le voit aussi à la télévision dans des téléfilms comme « L'Affaire Gordji ».
En 2013 pour son rôle principal du moyen métrage « Marseille la nuit » il reçoit plusieurs prix d'interprétation dans différents Festivals. En cette même année, il est à l'affiche de trois autres films au cinéma : « 11.6 » de Philippe Godeau, « Grand Central » de Rebecca Zlotowski et « Suzanne » de Katell Quillévéré. Où il retrouve Sara Forestier.
Sa carrière s’étoffe encore en 2015 et en 2018, le comédien est distingué par une nomination au César du meilleur espoir masculin. Parallèlement il s'illustre à la télévision dans la série médicale « Hippocrate ».
Le film projeté dans le cadre d’Arte Mare, «Vincent doit mourir », est l’un de ses derniers films.
« Du jour au lendemain, Vincent est agressé par des gens sans raison apparente qui essaient de le tuer. Il tente de poursuivre une vie normale mais lorsque le phénomène s’amplifie, il doit fuir et changer totalement de mode de vie » explique le jeune homme. « J’ai tout de suite adhéré au scénario car ce film est un mélange des genres. Il est à la fois noir, burlesque et sentimental. Et puis, même si je n’ai pas le physique de Jason Statham, j’aime les films d’action. Ce film est riche en thématiques avec une histoire d’amour dans un monde violent. Ce n’est pas un film moralisateur mais il est jouissif ».
La Corse vous l’avez découverte dans votre premier film, « Un prophète », qui parle d'un groupe de prisonniers corses qui fait régner sa loi dans une prison ?
« Pour être tout à fait sincère, j’ai deux passions dans la vie : le cinéma et le football. Et mes premiers rapports avec la Corse, je les ai eus par le Sporting de Bastia. J’adorais notamment Lubomir Moravcik ou encore Drobnjak. Et puis il y a l’ambiance au stade ! Bastia est une des rares villes qui s’est retrouvée en finale de la Coupe d’Europe. Le foot à Bastia c’est une institution, la 1ère image de Bastia c’est le Sporting. Avec peu de moyen le club a toujours réussi à rester parmi l’élite et j’espère qu’il retrouvera vite la Ligue 1. Ensuite c’est vrai que ma deuxième accroche avec la Corse s’est faite dans ce film Un prophète. Je connaissais d’ailleurs des acteurs corses car je suivais avec eux des cours du soir de théâtre. J’ai sympathisé avec Cédric Appietto, Jean-Philippe Ricci, Jean-Emmanuel Pagni ou encore Gray Orsatelli ou Ange Basterga ».
Les projets ?
« Un film avec les frères Larrieu, « Le roman de Jim » adapté du livre de Pierric Bailly. C’est un film sur la paternité, les rapports d’un père non biologique avec son fils ».
En 2011, au Festival de Cannes, Karim Leklou figure sur la liste des « Talents Cannes Adami ». Il y présenter deux films : « La Source des femmes » de Radu Mihaileanu et « Les Géants » de Bouli Lanners. On le voit aussi à la télévision dans des téléfilms comme « L'Affaire Gordji ».
En 2013 pour son rôle principal du moyen métrage « Marseille la nuit » il reçoit plusieurs prix d'interprétation dans différents Festivals. En cette même année, il est à l'affiche de trois autres films au cinéma : « 11.6 » de Philippe Godeau, « Grand Central » de Rebecca Zlotowski et « Suzanne » de Katell Quillévéré. Où il retrouve Sara Forestier.
Sa carrière s’étoffe encore en 2015 et en 2018, le comédien est distingué par une nomination au César du meilleur espoir masculin. Parallèlement il s'illustre à la télévision dans la série médicale « Hippocrate ».
Le film projeté dans le cadre d’Arte Mare, «Vincent doit mourir », est l’un de ses derniers films.
« Du jour au lendemain, Vincent est agressé par des gens sans raison apparente qui essaient de le tuer. Il tente de poursuivre une vie normale mais lorsque le phénomène s’amplifie, il doit fuir et changer totalement de mode de vie » explique le jeune homme. « J’ai tout de suite adhéré au scénario car ce film est un mélange des genres. Il est à la fois noir, burlesque et sentimental. Et puis, même si je n’ai pas le physique de Jason Statham, j’aime les films d’action. Ce film est riche en thématiques avec une histoire d’amour dans un monde violent. Ce n’est pas un film moralisateur mais il est jouissif ».
La Corse vous l’avez découverte dans votre premier film, « Un prophète », qui parle d'un groupe de prisonniers corses qui fait régner sa loi dans une prison ?
« Pour être tout à fait sincère, j’ai deux passions dans la vie : le cinéma et le football. Et mes premiers rapports avec la Corse, je les ai eus par le Sporting de Bastia. J’adorais notamment Lubomir Moravcik ou encore Drobnjak. Et puis il y a l’ambiance au stade ! Bastia est une des rares villes qui s’est retrouvée en finale de la Coupe d’Europe. Le foot à Bastia c’est une institution, la 1ère image de Bastia c’est le Sporting. Avec peu de moyen le club a toujours réussi à rester parmi l’élite et j’espère qu’il retrouvera vite la Ligue 1. Ensuite c’est vrai que ma deuxième accroche avec la Corse s’est faite dans ce film Un prophète. Je connaissais d’ailleurs des acteurs corses car je suivais avec eux des cours du soir de théâtre. J’ai sympathisé avec Cédric Appietto, Jean-Philippe Ricci, Jean-Emmanuel Pagni ou encore Gray Orsatelli ou Ange Basterga ».
Les projets ?
« Un film avec les frères Larrieu, « Le roman de Jim » adapté du livre de Pierric Bailly. C’est un film sur la paternité, les rapports d’un père non biologique avec son fils ».