Victime de la tempête Adrian il y a tout juste 10 jours à son domicile de Monticellu, le commandant Jean-Paul Beneteau, pompier professionnel (er) âgé de 66 ans a reçu ce jeudi matin dans sa ville de L'Ile-Rousse un hommage à la hauteur de ce qu'il représentait pour la grande famille des pompiers et pour nous tous.
Oui Jean-Paul, tes amis, mon ami, nous sommes à la fois tristes de te voir partir ainsi, après toutes ces épreuves endurées, mais fiers de voir toute cette foule recueillie dans la communion pour la paix de ton âme ou encore de voir tous ces pompiers en grande tenue former une haie d'honneur avec les anciens de l'Amicale des pompiers emmenée par un de tes compagnons d'arme, le Colonel Louis Antoine Coque, les porte-drapeaux et bien d'autres, au passage de ton cercueil à l'entrée de l'église de l'Immaculée Conception pleine de fidèles venus t'accompagner jusqu'à ta dernière demeure.
Dans la foule, on notait de très nombreux élus, une délégation de militaires du 2e REP de Calvi, des pompiers de l'UIISC5 de Corte...
Au pied de l'autel, le cercueil, était recouvert du drapeau tricolore aux armes des pompiers, alors que sa petite fille déposait son képi alors que derrière Petru-Pà, jeune Sapeur-Pompier en grand uniforme, petit-fils de Jean-Paul Beneteau portait non sans fierté un coussinet de velours avec les médailles de son papy et assurant la relève.
La messe de requiem célébrée par l'abbé Marcin Monca était rehaussée par la présence de la chorale île-roussienne et des chantres issus du corps des sapeurs-pompiers et forestiers-sapeurs.
C'est sa nièce, Stéphanie Biancarelli, ancienne conseillère municipale, tout comme Jean-Paul Beneteau, qui ouvrait les nombreux hommages rendus au défunt. Tous t ont loué avec beaucoup d'émotion, d'affection et de tendresse ses qualités d'homme au grand cœur, mais aussi ses qualités professionnelles.
" Tonton, comme ils sont remontés en masse, inexorablement tous les souvenirs qui nous liaient depuis ces 9 jours intenables. Sur ce maudit lit de réanimation tu nous a encore montré cette combattivité que tu as assumé toute ta vie ".
Et de poursuivre en se remémorant les souvenirs partagés de son enfance, de son adolescence et de sa vie de jeune fille avec ce tonton aimant et protecteur " " Comment oublier à chaque fois que ru es rentré avec tes amis pompiers, les yeux rougis par les fumées, les sourcils brûlés par ces incendies qui ravageaient la Balagne, cette Balagne que tu chérissais tant et que tu as défendu au point de risquer ta vie comme sur celui de septembre 2000 (...)..
Avant-hier, je suis resté un très long moment seule avec toi pour te dire au-revoir, avant que l'on ne te revêtisse de ton uniforme de pompier pour ton dernier retour dans cette terre de l'Ile-Rousse que tu adorais. Tu étais imprégné de cette Balagne depuis ton adolescence et cette fusion qui ta mené a ta passion de secourisme c'est elle qui te l'a inspiré en la défendant (...)
Et de conclure : "Cette fierté, ce charisme qui te caractérisait ne t'enlevait pas cette âme serviable. Tu étais charmant mais pas charmeur. Quand à ton sourire, quel sourire, comme il va nous manquer..."
C'est ensuite sa filleule Lara qui devait lire un message plein d'amour et de tendresse: " Les années ont passé, tu m'a montré que tu étais le parrain le plus gentil, le plus combattant et plus fragile. Tu me manques déjà. A mon cher parrain que j'ai aimé et que j'aimerai toujours"L
L'hommage du corps des sapeurs pompiers
Il revenait, ensuite, au colonel Jean-Jacques Peraldi de rendre l'hommage officiel au nom de l'ensemble des pompiers.
Le directeur par interim du SIS retraçait la brillante carrière de Jean-Paul Beneteau que nous avons déjà l'occasion d'évoquer.
"En ce temps de deuil et de recueillement, je voudrais ici exprimer toute l'affection que nous portons envers notre camarade Jean-Paul Beneteau qui a porté haut les valeurs morales et humaines de notre institution.
Nous gardons de lui l'image d'une forte personnalité, alliant charisme, volontarisme et générosité. Toutes ces qualités humaines et morales étaient harmonieusement réunies dans la personnalité attachante du commandant Beneteau.
Son engagement sans faille ne manquait jamais de susciter l'admiration de ceux qui connaissaient, qui connaissent ses grands mérites et ces extraordinaires capacités à rebondir. Aussi, malgré la terrible épreuve de septembre 2000 à Palasca, il a toujours su faire face à l'adversité, même aux heures les plus sombres de son existence, avec la détermination et le caractère du combattant.
Il était de tous les combats, pour les secours aux personnes, le sauvetage en mer, la lutte contre les incendies de forêt qu'il a toujours combattus avec vaillance et courage (...).
Il rejoint à présent le Panthéon des grands serviteurs du service public".
Le Colonel Peraldi s'adressait ensuite à la famille de Jean-Paul Beneteau, à son épouse Josiane, sa fille Sandrine, son fils Jean-Luc: " En servant d'exemplarité, Jean-Paul a su leur transmettre les valeurs humaines auxquelles il était viscéralement attaché. Repose en paix Jean-Paul, que Sainte Barbe veille à jamais sur toi et prenne soin de tes proches. Nous veillerons avec bienveillance et respect à ta mémoire".
Gilles Simeoni : "C'est un honneur de l'avoir défendu et d'avoir été à ses côtés"
C'est en sa qualité de président de l'Exécutif de Corse, institution garante des intérêt matériels et moraux de cette île et de celles et ceux qui y vivent, mais aussi en tant qu'ami que Gilles siméoni s'est exprimé.
" C'est dans cette optique que notre institution doit défendre Jean-Paul Beneteau, pour ce qu'il a fait pendant des années et à travers lui à toutes celles et tous ceux du corps des sapeurs pompiers qui, de jour, comme de nuit et au quotidien, dans toutes les circonstances, tout comme récemment, s'engagent pour pour que nous vivions mieux et bien.
Je parle ici au nom de l'assemblée de Corse mais aussi parce que j'ai été l'avocat de Jean-Paul, et enfin, je l'espère, son ami et celui de sa famille".
Le président de l'Exécutif a connu Jean-Paul Beneteau et sa famille à travers ce tragique incendie du 17 septembre 2000 à Palasca qui a fait, rappelons-le, 2 morts et 5 pompiers grièvement brûlés, dont Jean-Paul Beneteau.
Et à travers ce dossier, fait de centaines et de centaines de pages de procédures, ce que Gilles Siméoni a retenu de plus fort ce sont ces quelques lignes d'un témoignage "qui racontait ce qu'il s'était passé ce 17 septembre 2000, qui racontait Jean-Paul arrivant en courant parce qu'il avait pris conscience du danger, allant vers l'incendie pour sauver celles et ceux dont il avait la responsabilité morale. C'est ce témoignage qui racontait que, alors que Jean-Paul était en chemise, à l'abri dans le camion et que la boule de feu était en train de parcourir à la vitesse de l'éclair les quelques dizaines de mètres qui la séparait encore des pompiers en action, il est sorti du camion et s'est mis à courir à la rencontre du brasier pour sauver ceux qui étaient ses hommes mais aussi ses enfants. Et de revenir avec un premier corps brûlé.
Rentré dans le camion, il aurait pu rester à l'abri mais il a fait le choix de repartir à nouveau malgré le feu qui a couru, qui a traversé, qui est passé au-dessus du camion. Et, celles et ceux qui étaient protégés peuvent raconter dans ce témoignage que j'ai encore en tête et encore plus aujourd'hui à l'esprit, dire que dans ce maquis encore fumant et noir il y avait un homme portant dans ses bras un homme que le témoin décrivait comme, je me rappelle ce mot, incandescent avait ses cheveux, ses cils, ses membres qui brûlaient.
Cet homme c'était Jean-Paul qui ramenait vers le camion le deuxième pompier qu'il avait cherché à sauver des flammes.
Voila l'homme que vous avez aimé que vous avez eu la chance d'avoir à vos côtés, vous l'épouse, vous les enfants, vous le frère, vous la famille. Voila l'homme que vous avez eu l'honneur d'avoir à vos côtés.
mon Colonel, vous les soldats du feu, voila l'homme que j'ai eu l'honneur de défendre et voila l'homme que cette terre a eu le privilège de connaître (...)
Et de conclure: "C'est un honneur de l'avoir connu, c'est un honneur de l'avoir défendu, c'est un honneur d'avoir été à ses côtés. Nous serons avec vous pour partager cette douleur infinie et nous ferons en sorte que l'homme qu'il a été, ce qu'il a dit, ce qu'il a fait ne soit jamais oublié ni à l'Ile-Rousse, ni en Balagne, ni en Corse, ni au-delà de la mer, là où des jeunes gens sont devenus aujourd'hui des hommes parce que il les a sauvés".
Outre les personnes déjà citées, nous avons noté la présence de Jérôme Seguy, sous-préfet de Calvi et Frédéric Guglielmi, secrétaire général de la sous-préfecture de Calvi, "Nanette" Maupertuis, Lionel Mortini et Savériu Luciani, membres de l'Exécutif de Corse et plusieurs conseillers territoriaux, Jean-Jo Allegrini-Simonetti, maire de l'Ile-Rousse, Guy Armanet, président du conseil d'administration du SIS 2B, du colonel Bruno Maestracci,du SIS2A, une délégation du 2e REP de Calvi et de la Gendarmerie, de nombreux maires et élus de Balagne....
En cette douloureuse circonstance, la rédaction de Corse Net Infos renouvelle à toute sa famille, à ces proches et à toutes les personnes que ce deuil afflige ses sincères condoléances.
Oui Jean-Paul, tes amis, mon ami, nous sommes à la fois tristes de te voir partir ainsi, après toutes ces épreuves endurées, mais fiers de voir toute cette foule recueillie dans la communion pour la paix de ton âme ou encore de voir tous ces pompiers en grande tenue former une haie d'honneur avec les anciens de l'Amicale des pompiers emmenée par un de tes compagnons d'arme, le Colonel Louis Antoine Coque, les porte-drapeaux et bien d'autres, au passage de ton cercueil à l'entrée de l'église de l'Immaculée Conception pleine de fidèles venus t'accompagner jusqu'à ta dernière demeure.
Dans la foule, on notait de très nombreux élus, une délégation de militaires du 2e REP de Calvi, des pompiers de l'UIISC5 de Corte...
Au pied de l'autel, le cercueil, était recouvert du drapeau tricolore aux armes des pompiers, alors que sa petite fille déposait son képi alors que derrière Petru-Pà, jeune Sapeur-Pompier en grand uniforme, petit-fils de Jean-Paul Beneteau portait non sans fierté un coussinet de velours avec les médailles de son papy et assurant la relève.
La messe de requiem célébrée par l'abbé Marcin Monca était rehaussée par la présence de la chorale île-roussienne et des chantres issus du corps des sapeurs-pompiers et forestiers-sapeurs.
C'est sa nièce, Stéphanie Biancarelli, ancienne conseillère municipale, tout comme Jean-Paul Beneteau, qui ouvrait les nombreux hommages rendus au défunt. Tous t ont loué avec beaucoup d'émotion, d'affection et de tendresse ses qualités d'homme au grand cœur, mais aussi ses qualités professionnelles.
" Tonton, comme ils sont remontés en masse, inexorablement tous les souvenirs qui nous liaient depuis ces 9 jours intenables. Sur ce maudit lit de réanimation tu nous a encore montré cette combattivité que tu as assumé toute ta vie ".
Et de poursuivre en se remémorant les souvenirs partagés de son enfance, de son adolescence et de sa vie de jeune fille avec ce tonton aimant et protecteur " " Comment oublier à chaque fois que ru es rentré avec tes amis pompiers, les yeux rougis par les fumées, les sourcils brûlés par ces incendies qui ravageaient la Balagne, cette Balagne que tu chérissais tant et que tu as défendu au point de risquer ta vie comme sur celui de septembre 2000 (...)..
Avant-hier, je suis resté un très long moment seule avec toi pour te dire au-revoir, avant que l'on ne te revêtisse de ton uniforme de pompier pour ton dernier retour dans cette terre de l'Ile-Rousse que tu adorais. Tu étais imprégné de cette Balagne depuis ton adolescence et cette fusion qui ta mené a ta passion de secourisme c'est elle qui te l'a inspiré en la défendant (...)
Et de conclure : "Cette fierté, ce charisme qui te caractérisait ne t'enlevait pas cette âme serviable. Tu étais charmant mais pas charmeur. Quand à ton sourire, quel sourire, comme il va nous manquer..."
C'est ensuite sa filleule Lara qui devait lire un message plein d'amour et de tendresse: " Les années ont passé, tu m'a montré que tu étais le parrain le plus gentil, le plus combattant et plus fragile. Tu me manques déjà. A mon cher parrain que j'ai aimé et que j'aimerai toujours"L
L'hommage du corps des sapeurs pompiers
Il revenait, ensuite, au colonel Jean-Jacques Peraldi de rendre l'hommage officiel au nom de l'ensemble des pompiers.
Le directeur par interim du SIS retraçait la brillante carrière de Jean-Paul Beneteau que nous avons déjà l'occasion d'évoquer.
"En ce temps de deuil et de recueillement, je voudrais ici exprimer toute l'affection que nous portons envers notre camarade Jean-Paul Beneteau qui a porté haut les valeurs morales et humaines de notre institution.
Nous gardons de lui l'image d'une forte personnalité, alliant charisme, volontarisme et générosité. Toutes ces qualités humaines et morales étaient harmonieusement réunies dans la personnalité attachante du commandant Beneteau.
Son engagement sans faille ne manquait jamais de susciter l'admiration de ceux qui connaissaient, qui connaissent ses grands mérites et ces extraordinaires capacités à rebondir. Aussi, malgré la terrible épreuve de septembre 2000 à Palasca, il a toujours su faire face à l'adversité, même aux heures les plus sombres de son existence, avec la détermination et le caractère du combattant.
Il était de tous les combats, pour les secours aux personnes, le sauvetage en mer, la lutte contre les incendies de forêt qu'il a toujours combattus avec vaillance et courage (...).
Il rejoint à présent le Panthéon des grands serviteurs du service public".
Le Colonel Peraldi s'adressait ensuite à la famille de Jean-Paul Beneteau, à son épouse Josiane, sa fille Sandrine, son fils Jean-Luc: " En servant d'exemplarité, Jean-Paul a su leur transmettre les valeurs humaines auxquelles il était viscéralement attaché. Repose en paix Jean-Paul, que Sainte Barbe veille à jamais sur toi et prenne soin de tes proches. Nous veillerons avec bienveillance et respect à ta mémoire".
Gilles Simeoni : "C'est un honneur de l'avoir défendu et d'avoir été à ses côtés"
C'est en sa qualité de président de l'Exécutif de Corse, institution garante des intérêt matériels et moraux de cette île et de celles et ceux qui y vivent, mais aussi en tant qu'ami que Gilles siméoni s'est exprimé.
" C'est dans cette optique que notre institution doit défendre Jean-Paul Beneteau, pour ce qu'il a fait pendant des années et à travers lui à toutes celles et tous ceux du corps des sapeurs pompiers qui, de jour, comme de nuit et au quotidien, dans toutes les circonstances, tout comme récemment, s'engagent pour pour que nous vivions mieux et bien.
Je parle ici au nom de l'assemblée de Corse mais aussi parce que j'ai été l'avocat de Jean-Paul, et enfin, je l'espère, son ami et celui de sa famille".
Le président de l'Exécutif a connu Jean-Paul Beneteau et sa famille à travers ce tragique incendie du 17 septembre 2000 à Palasca qui a fait, rappelons-le, 2 morts et 5 pompiers grièvement brûlés, dont Jean-Paul Beneteau.
Et à travers ce dossier, fait de centaines et de centaines de pages de procédures, ce que Gilles Siméoni a retenu de plus fort ce sont ces quelques lignes d'un témoignage "qui racontait ce qu'il s'était passé ce 17 septembre 2000, qui racontait Jean-Paul arrivant en courant parce qu'il avait pris conscience du danger, allant vers l'incendie pour sauver celles et ceux dont il avait la responsabilité morale. C'est ce témoignage qui racontait que, alors que Jean-Paul était en chemise, à l'abri dans le camion et que la boule de feu était en train de parcourir à la vitesse de l'éclair les quelques dizaines de mètres qui la séparait encore des pompiers en action, il est sorti du camion et s'est mis à courir à la rencontre du brasier pour sauver ceux qui étaient ses hommes mais aussi ses enfants. Et de revenir avec un premier corps brûlé.
Rentré dans le camion, il aurait pu rester à l'abri mais il a fait le choix de repartir à nouveau malgré le feu qui a couru, qui a traversé, qui est passé au-dessus du camion. Et, celles et ceux qui étaient protégés peuvent raconter dans ce témoignage que j'ai encore en tête et encore plus aujourd'hui à l'esprit, dire que dans ce maquis encore fumant et noir il y avait un homme portant dans ses bras un homme que le témoin décrivait comme, je me rappelle ce mot, incandescent avait ses cheveux, ses cils, ses membres qui brûlaient.
Cet homme c'était Jean-Paul qui ramenait vers le camion le deuxième pompier qu'il avait cherché à sauver des flammes.
Voila l'homme que vous avez aimé que vous avez eu la chance d'avoir à vos côtés, vous l'épouse, vous les enfants, vous le frère, vous la famille. Voila l'homme que vous avez eu l'honneur d'avoir à vos côtés.
mon Colonel, vous les soldats du feu, voila l'homme que j'ai eu l'honneur de défendre et voila l'homme que cette terre a eu le privilège de connaître (...)
Et de conclure: "C'est un honneur de l'avoir connu, c'est un honneur de l'avoir défendu, c'est un honneur d'avoir été à ses côtés. Nous serons avec vous pour partager cette douleur infinie et nous ferons en sorte que l'homme qu'il a été, ce qu'il a dit, ce qu'il a fait ne soit jamais oublié ni à l'Ile-Rousse, ni en Balagne, ni en Corse, ni au-delà de la mer, là où des jeunes gens sont devenus aujourd'hui des hommes parce que il les a sauvés".
Outre les personnes déjà citées, nous avons noté la présence de Jérôme Seguy, sous-préfet de Calvi et Frédéric Guglielmi, secrétaire général de la sous-préfecture de Calvi, "Nanette" Maupertuis, Lionel Mortini et Savériu Luciani, membres de l'Exécutif de Corse et plusieurs conseillers territoriaux, Jean-Jo Allegrini-Simonetti, maire de l'Ile-Rousse, Guy Armanet, président du conseil d'administration du SIS 2B, du colonel Bruno Maestracci,du SIS2A, une délégation du 2e REP de Calvi et de la Gendarmerie, de nombreux maires et élus de Balagne....
En cette douloureuse circonstance, la rédaction de Corse Net Infos renouvelle à toute sa famille, à ces proches et à toutes les personnes que ce deuil afflige ses sincères condoléances.