Dès lundi matin la police a convoqué la victime et ses amies afin d'essayer de reconnaître à partir d'une série de photos les quatre protagonistes de cette fin de soirée pour le moins mouvementée. En vain.
Les policiers en charge de l'enquête vont donc procéder, sur requête du procureur de la République, au visionnage des caméras vidéos qui permettront de retracer les faits et, peut être, d'identifier le ou les agresseurs.
Mais, déjà, un témoin s'est présenté lundi au commissariat d'Ajaccio pour dire de ce qu'il avait vu.
Quant à la victime qui a, depuis les faits, subi des examens complémentaires, elle s'en tire, pour sa part, avec une ITT de moins de huit jours et... une belle bosse sur la tête.
Mais le préjudice psychologique est énorme
Les policiers en charge de l'enquête vont donc procéder, sur requête du procureur de la République, au visionnage des caméras vidéos qui permettront de retracer les faits et, peut être, d'identifier le ou les agresseurs.
Mais, déjà, un témoin s'est présenté lundi au commissariat d'Ajaccio pour dire de ce qu'il avait vu.
Quant à la victime qui a, depuis les faits, subi des examens complémentaires, elle s'en tire, pour sa part, avec une ITT de moins de huit jours et... une belle bosse sur la tête.
Mais le préjudice psychologique est énorme
Une marche blanche contre la violence
Les réactions ont été nombreuses sur les réseaux sociaux. Et la victime et sa famille ont reçu d'innombrables marques de soutien.
Cependant la mère tient a préciser à la lecture des commentaires reçus "qu'il ne s'agit pas de mener une chasse aux sorcières !"
"Peu importe l'origine de l'agresseur, nous devons nous battre contre la violence, contre toutes les formes de violence. Nous devons nous positionner clairement et dans le calme pour retrouver la tranquillité qui était la nôtre avant en Corse" ajoute t-elle.
"Les choses ont changé et nous devons réagir, pour que nos enfants puissent grandir ici en sécurité."
Dès lors décision a été prise de passer concrètement aux actes.
"Nous avons décidé de créer un collectif dont nous devons définir l'objet. Il s'agit de se battre contre la violence, un collectif apolitique, dans lequel tous les citoyens pourraient s'engager, s'ils le souhaitent, pour essayer de se battre pour retrouver nos valeurs."
Déjà le principe de l'organisation d'une marche blanche a été arrêté. Elle devrait être organisée dans quelques jours.
Cependant la mère tient a préciser à la lecture des commentaires reçus "qu'il ne s'agit pas de mener une chasse aux sorcières !"
"Peu importe l'origine de l'agresseur, nous devons nous battre contre la violence, contre toutes les formes de violence. Nous devons nous positionner clairement et dans le calme pour retrouver la tranquillité qui était la nôtre avant en Corse" ajoute t-elle.
"Les choses ont changé et nous devons réagir, pour que nos enfants puissent grandir ici en sécurité."
Dès lors décision a été prise de passer concrètement aux actes.
"Nous avons décidé de créer un collectif dont nous devons définir l'objet. Il s'agit de se battre contre la violence, un collectif apolitique, dans lequel tous les citoyens pourraient s'engager, s'ils le souhaitent, pour essayer de se battre pour retrouver nos valeurs."
Déjà le principe de l'organisation d'une marche blanche a été arrêté. Elle devrait être organisée dans quelques jours.