La perquisition qui s'est effectuée hors la présence du militant nationaliste, contraint de consulter pour des soins médicaux, aurait permis de découvrir selon le procès-verbal établi à ce moment-là "trois armes de poing, un fusil de chasse, des munitions et un gilet pare-balles".
Or, les deux militaires de Sari-Solenzara, qui ont accepté de suppléer l'absence de Charles Pieri durant la perquisition, contesteraient aujourd'hui le contenu de ce PV.
Selon Le Monde "ils affirment ne pas avoir vu l'arsenal décrit dans le procès-verbal, ce qui l'entache d'irrégularité", et éviterait à Charles Pieri d'être poursuivi pour "détention d'armes".
Toujours selon Le Monde, la procureure de la République de Bastia aurait saisi l'inspection générale de la police nationale (IGPN)
Or, les deux militaires de Sari-Solenzara, qui ont accepté de suppléer l'absence de Charles Pieri durant la perquisition, contesteraient aujourd'hui le contenu de ce PV.
Selon Le Monde "ils affirment ne pas avoir vu l'arsenal décrit dans le procès-verbal, ce qui l'entache d'irrégularité", et éviterait à Charles Pieri d'être poursuivi pour "détention d'armes".
Toujours selon Le Monde, la procureure de la République de Bastia aurait saisi l'inspection générale de la police nationale (IGPN)