Il est 15h30 lorsque nous rencontrons le capitaine Olivier Martin. L’aérogare d’Ajaccio est bondée en ce premier weekend de vacances. Beaucoup de départ vers le Continent mais également de nombreuses arrivées. Et c’est dans ce secteur qu’interviennent le capitaine et ses hommes, à la recherche de toute personne pouvant être suspectée de « marauder ».
La maraude ?
Il s’agit de ce marchandage que l’on peut observer dans tous les aéroports, qui consiste en la recherche de clients pour des taxis non habilités, qui n’ont donc pas à venir chercher les éventuels clients dans le hall de l’aérogare au détriment des chauffeurs de taxi habilités qui attendent à la sortie aux emplacements qui leur sont réservés.
Il s’agit la plupart du temps de personnes ayant une activité régulière mais qui la gèrent de façon illégale. Un chauffeur qui amène un client à l’aéroport, par exemple, doit repartir à vide sur sa zone d’affectation et non pas solliciter les passagers en provenance. Un chauffeur qui attend à la sortie de l’avion avec une pancarte « Propriano » ou « Porto » ou toute autre ville, n’est pas habilité. Seul un passager qui a sollicité sa prise en charge dès l’aéroport en réservant son séjour peut être attendu avec une pancarte. Mais cette prise en charge doit être nominative avec des données précises sur le client.
A l’image des contrôles réguliers effectués tout au long de l’année, aucune infraction n’a été détectée. Comme le souligne le capitaine Martin c’est une pratique peu courante sur l’île. Ce qui n’empêchera pas ses contrôles d’être poursuivis tout l’été, et même amplifiés sur les jours chargés en arrivées.
Un moyen de soutenir les chauffeurs de taxi habilités dans cette période de chaos pour cette profession, sur thème de concurrence déloyale.
La maraude ?
Il s’agit de ce marchandage que l’on peut observer dans tous les aéroports, qui consiste en la recherche de clients pour des taxis non habilités, qui n’ont donc pas à venir chercher les éventuels clients dans le hall de l’aérogare au détriment des chauffeurs de taxi habilités qui attendent à la sortie aux emplacements qui leur sont réservés.
Il s’agit la plupart du temps de personnes ayant une activité régulière mais qui la gèrent de façon illégale. Un chauffeur qui amène un client à l’aéroport, par exemple, doit repartir à vide sur sa zone d’affectation et non pas solliciter les passagers en provenance. Un chauffeur qui attend à la sortie de l’avion avec une pancarte « Propriano » ou « Porto » ou toute autre ville, n’est pas habilité. Seul un passager qui a sollicité sa prise en charge dès l’aéroport en réservant son séjour peut être attendu avec une pancarte. Mais cette prise en charge doit être nominative avec des données précises sur le client.
A l’image des contrôles réguliers effectués tout au long de l’année, aucune infraction n’a été détectée. Comme le souligne le capitaine Martin c’est une pratique peu courante sur l’île. Ce qui n’empêchera pas ses contrôles d’être poursuivis tout l’été, et même amplifiés sur les jours chargés en arrivées.
Un moyen de soutenir les chauffeurs de taxi habilités dans cette période de chaos pour cette profession, sur thème de concurrence déloyale.