Noëlle au centre lors du dernier mercatu di Natale de Bastia
Jeudi matin elle va ouvrir, comme à son habitude, son atelier. Et surprise Noëlle constate qu'une où plusieurs personnes ont fait sauter au pied de biche la serrure de cet atelier ! Et que toute sa production a disparu.
Une vingtaine de paniers en châtaignier, des paniers en myrte : il n'y a pratiquement plus rien du travail réalisé par Noëlle Figarella.
" Voilà. Quoi vous dire? Rien ou presque! " disait-elle dépité jeudi.
"Je suis dégoûtée de ces gens qui ont " violé" mon univers et m'ont tout pris" ajoutait-elle amère. "So appena in rabbia ! Je n'ai nulle envie de faire de commentaires".
Mais ceux qui la connaissent savent que son sempiternel optimisme reprend toujours le dessus.
"Demain sera un autre jour" dit-elle non sans ajouter à propos de la microrégion dans laquelle elle vit : "La Castagniccia ... Le paradis. Oui. Mais, il y a des jours où c'est aussi l'enfer!"
Il n'en demeure pas moins que celui ou ceux qui ont volé la production de la vannière de Silvareccio n'ont pas mis à leur actif un acte très glorieux.
Il y a vraiment des coups de pied quelque part qui se perdent !
Une vingtaine de paniers en châtaignier, des paniers en myrte : il n'y a pratiquement plus rien du travail réalisé par Noëlle Figarella.
" Voilà. Quoi vous dire? Rien ou presque! " disait-elle dépité jeudi.
"Je suis dégoûtée de ces gens qui ont " violé" mon univers et m'ont tout pris" ajoutait-elle amère. "So appena in rabbia ! Je n'ai nulle envie de faire de commentaires".
Mais ceux qui la connaissent savent que son sempiternel optimisme reprend toujours le dessus.
"Demain sera un autre jour" dit-elle non sans ajouter à propos de la microrégion dans laquelle elle vit : "La Castagniccia ... Le paradis. Oui. Mais, il y a des jours où c'est aussi l'enfer!"
Il n'en demeure pas moins que celui ou ceux qui ont volé la production de la vannière de Silvareccio n'ont pas mis à leur actif un acte très glorieux.
Il y a vraiment des coups de pied quelque part qui se perdent !