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Le CAB encore battu à Orléans


le Samedi 6 Avril 2013 à 15:42

Les déplacements se suivent et ont malheureusement tendance à se ressembler pour le CAB. Après Fréjus-Saint-Raphaël Mardi, les joueurs de Stéphane Rossi étaient samedi soir à Orléans. Et comme à Saint-Raphaël, ils doivent regretter d'être rentrés si tard dans le match. Un match qui aurait pu en fin de compter s'avérer positif si Renault n,'avait détourné en fin de partie un pénalty de Pastorelli.



Le CAB encore battu à Orléans
Orléans : 1 CAB : 0 (1-0)
But de Sala (5e)
Spectateurs : 1 249
Orléans :
Renault - Tomas - Delonglee - Brillault - Coelho - Darcy - Elisalde - F.Traoré - Mangione - Sala - Belvito 

CAB :
Lombard - Moretti - Monfray - Lamberti - Truchet - Salls - Marty - Oswald - Fourtier - Le Mat - M.Traoré  

Il ne fallait pas être en retard Samedi à Orléans où devant une petite chambrée l'US locale recevait le CAB et Le Mat, un ancien Orléanais.
Les choses n'ont pas, en effet, traîné sur la pelouse où à la 4e minute Moretti commettait une méchante faute sur N'Doumbou. La sanction était immédiate. Et le coup-franc tiré parTomas était dévié par Sala, le buteur local qui avait raison de la vigilance de Lombard.
Ce but donna des ailes aux locaux mais la marque n'évolua pas, le CAB campé sur ses bases ne laissait rien passer mais ne semblait pas avoir davantage les moyens de faire mieux.
Mais au fil du match les Bastias sortirent de leur réserve pour sur la deuxième partie de la rencontre poser mille et un problèmes à l'US Orléans.
Durant cette période les locaux ne surent plus trop où donner de la tête tant la pression des visiteurs étaient forte. On crut que l'égalisation, méritée, surviendrait à la 85e minute quand sur un corner dévié au premier poteau, Pastorelli, qui avait remplacé Le Mat, tenta le ciseau au second, mais trop croisée. Une grosse frayeur venait de passer dans la défense locale. 
Elle ne fut rien comparée à celle de la fin du match quand Traoré, fauché par Brillaut, obtenait le penalty, celui dont on aurait penser qu'il serait synonyme d'égalisation pour le CAB.
Pastorelli frappait en force sur la droite, mais Renault détournait d'une superbe parade !
Les corses regretteront longtemps ce pénalty, mais pourquoi n'ont-ils pas été aussi vaillants et inspirés en première période, face à des Orléanais qui , c'est incontestable, étaient, comme l'on dit, " bons à prendre" ?