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Au Parc des Princes, PSG : 5 SC Bastia : 0 (2-0)
Buts pour le PSG : Lucas (32e) , Verratti (35e), Cavani (76e, 89e), Marquinhos( 82e)
Arbitre : François Letexier
Avertissements : au Meunier (74e) PSG; Leca (33e), Mostefa (59e) au SC Bastia
PSG
Trapp, Meunier, Marquinhos, Thiago Silva, Maxwell, Verratti puis Lo Celso (82e), Rabiot, Matuidi puis Matuidi ((83e), Lucas puis Guedes (75e), Cavani, Draxler
SCB
Leca, Keita, Djiku, El Kaoutari, Bengtsson, Mostefa, Coulibaly, Oniangué, Ngando puis Nangis (73e), Coulibaly, Saint-Maximin puis Danic (58e), Crivelli puis Diallo (88e)
Le PSG, c'est entendu pour tout le monde, ne joue pas le même championnat que le SC Bastia.
Cela s'est d'ailleurs vu ce samedi au Parc des Princes au cours de la première période de jeu. Les Parisiens, dominateurs, ont monopolisé le ballon et quelques belles occasions comme cette superbe frappe de Lucas sur la barre, et sans ces interventions, décisives, de Leca, leur match face au SC Bastia, qui lutte pour son maintien, aurait pu être plié en quelques minutes.
Ils n'avaient donc pas besoin, quand bien même n'y aurait-il rien à redire sur l'action qui a abouti au but contesté par Leca et les Bastiais, de cette phase de jeu de la 32e minute pour mettre la tête du SC Bastia un peu plus sous l'eau.
En tout cas en s'inquiétant du sort de Blaise Matuidi, au sol à quelques mètres de sa cage, le gardien bastiais a payé au prix fort le sens du fair-play qui le caractérise depuis toujours.
Et comme un peu avant Lucas avait fait parler, victorieusement, la foudre, le Sporting club de Bastia, tout de noir vêtu en hommage aux victimes du 5 Mai 1992, qui avait tenu jusque-là non seulement parfaitement le coup , mais aussi placé quelques banderilles face à l'ogre parisien, voyait tous ses espoirs de faire un résultats au Parc s'envoler.
Le plan de Rui Almeida, échafaudé sans Yannick Cahuzac blessé de dernière minute, ne résistait pas davantage à ces trois minutes de jeu qui ont fait basculer le match du côté parisien.
En effet avec ce 2 à 0 à la pause on voyait mal ce Sporting, pourtant appliqué mais naïf, à l'image de Saint-Maximin, qui derrière ses défenseurs, a permis à Paris de matérialiser une première fois sa supériorité, ou dans l'esprit du jeu, à l'image de Leca; abusé par Verratti qui ne connait rien aux règles du fair-play, renverser la vapeur face auPSG.
De fait malgré les changements opérés par Almeida - Saint-Maximin par Danic et Ngando par Nangis ! - Paris poursuivait sa marche en avant par l'intermédiaire de l'inévitable Cavani, sollicité par Guedes, par Marquinhos puis encore par Cavani qui signait pour la circonstance son septième double de la saison.
Certes, entre temps Jean-Louis, qui a encore mis quelques arrêts spectaculaires à son actif avait réussi, et la performance est à souligner, à détourner un penalty de même Cavani.
Maigre consolation, d'une journée, qui s'est avérée, une fois encore, cauchemardesque pour le Sporting à Paris !
Buts pour le PSG : Lucas (32e) , Verratti (35e), Cavani (76e, 89e), Marquinhos( 82e)
Arbitre : François Letexier
Avertissements : au Meunier (74e) PSG; Leca (33e), Mostefa (59e) au SC Bastia
PSG
Trapp, Meunier, Marquinhos, Thiago Silva, Maxwell, Verratti puis Lo Celso (82e), Rabiot, Matuidi puis Matuidi ((83e), Lucas puis Guedes (75e), Cavani, Draxler
SCB
Leca, Keita, Djiku, El Kaoutari, Bengtsson, Mostefa, Coulibaly, Oniangué, Ngando puis Nangis (73e), Coulibaly, Saint-Maximin puis Danic (58e), Crivelli puis Diallo (88e)
Le PSG, c'est entendu pour tout le monde, ne joue pas le même championnat que le SC Bastia.
Cela s'est d'ailleurs vu ce samedi au Parc des Princes au cours de la première période de jeu. Les Parisiens, dominateurs, ont monopolisé le ballon et quelques belles occasions comme cette superbe frappe de Lucas sur la barre, et sans ces interventions, décisives, de Leca, leur match face au SC Bastia, qui lutte pour son maintien, aurait pu être plié en quelques minutes.
Ils n'avaient donc pas besoin, quand bien même n'y aurait-il rien à redire sur l'action qui a abouti au but contesté par Leca et les Bastiais, de cette phase de jeu de la 32e minute pour mettre la tête du SC Bastia un peu plus sous l'eau.
En tout cas en s'inquiétant du sort de Blaise Matuidi, au sol à quelques mètres de sa cage, le gardien bastiais a payé au prix fort le sens du fair-play qui le caractérise depuis toujours.
Et comme un peu avant Lucas avait fait parler, victorieusement, la foudre, le Sporting club de Bastia, tout de noir vêtu en hommage aux victimes du 5 Mai 1992, qui avait tenu jusque-là non seulement parfaitement le coup , mais aussi placé quelques banderilles face à l'ogre parisien, voyait tous ses espoirs de faire un résultats au Parc s'envoler.
Le plan de Rui Almeida, échafaudé sans Yannick Cahuzac blessé de dernière minute, ne résistait pas davantage à ces trois minutes de jeu qui ont fait basculer le match du côté parisien.
En effet avec ce 2 à 0 à la pause on voyait mal ce Sporting, pourtant appliqué mais naïf, à l'image de Saint-Maximin, qui derrière ses défenseurs, a permis à Paris de matérialiser une première fois sa supériorité, ou dans l'esprit du jeu, à l'image de Leca; abusé par Verratti qui ne connait rien aux règles du fair-play, renverser la vapeur face auPSG.
De fait malgré les changements opérés par Almeida - Saint-Maximin par Danic et Ngando par Nangis ! - Paris poursuivait sa marche en avant par l'intermédiaire de l'inévitable Cavani, sollicité par Guedes, par Marquinhos puis encore par Cavani qui signait pour la circonstance son septième double de la saison.
Certes, entre temps Jean-Louis, qui a encore mis quelques arrêts spectaculaires à son actif avait réussi, et la performance est à souligner, à détourner un penalty de même Cavani.
Maigre consolation, d'une journée, qui s'est avérée, une fois encore, cauchemardesque pour le Sporting à Paris !
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