- Comment rencontre t-on le Pape ?
- Nous avons effectué le déplacement de Rome avec la délégation de la paroisse de Porto-Vecchio à laquelle l'abbé Frédéric Constant nous a convié pour chanter. C'est ce que nous avons fait dès mercredi matin à Saint-Pierre de Rome lors de la messe célébrée par Dominique Mamberti. Jamais groupe corse n'avait chanté de messe ici… Un peu plus tard, toujours avec la délégation corse, nous avons été placés, place Saint-Pierre, parmi les personnes que le Saint-Père doit rencontrer. C'est ce qu'il est advenu.
- Que lui dit-on ?
- Nous avons commencé par nous présenter. Et nous lui avons dit que nous allions chanter l'hymne de la Corse, le "Diu vi salvi Regina".. Il nous a écouté. Religieusement. A la fin du Diu, il nous a confié que c'était la première fois qu'il entendait un chant de l'Île de… Napoléon. Nous lui avons dit que c'était aussi celle de Pasquale Paoli. Il a souri à notre remarque.
- Ensuite ?
- Nous lui avons offert une sacoche rappelant cet instant avec, bien sûr, un CD de Arapà…
- Comment vit-on une telle rencontre ?
- C'est un moment exceptionnel. Unique. Incroyable. Tant que l'on n'est pas en face du Pape on a du mal à croire que la rencontre va avoir lieu. Imaginez vous : chanter le "Diu" place Saint-Pierre où sont rassemblées 5 000 personnes devant le Pape François, les cardinaux ...Ce fut un moment très fort que nous ne sommes pas prêts d'oublier. Et comment oublier l'homélie papale qui a suivi sur les dérives politiques financières du monde actuel et qui, elle aussi, a été reçue de manière très forte par nous tous.
- Nous avons effectué le déplacement de Rome avec la délégation de la paroisse de Porto-Vecchio à laquelle l'abbé Frédéric Constant nous a convié pour chanter. C'est ce que nous avons fait dès mercredi matin à Saint-Pierre de Rome lors de la messe célébrée par Dominique Mamberti. Jamais groupe corse n'avait chanté de messe ici… Un peu plus tard, toujours avec la délégation corse, nous avons été placés, place Saint-Pierre, parmi les personnes que le Saint-Père doit rencontrer. C'est ce qu'il est advenu.
- Que lui dit-on ?
- Nous avons commencé par nous présenter. Et nous lui avons dit que nous allions chanter l'hymne de la Corse, le "Diu vi salvi Regina".. Il nous a écouté. Religieusement. A la fin du Diu, il nous a confié que c'était la première fois qu'il entendait un chant de l'Île de… Napoléon. Nous lui avons dit que c'était aussi celle de Pasquale Paoli. Il a souri à notre remarque.
- Ensuite ?
- Nous lui avons offert une sacoche rappelant cet instant avec, bien sûr, un CD de Arapà…
- Comment vit-on une telle rencontre ?
- C'est un moment exceptionnel. Unique. Incroyable. Tant que l'on n'est pas en face du Pape on a du mal à croire que la rencontre va avoir lieu. Imaginez vous : chanter le "Diu" place Saint-Pierre où sont rassemblées 5 000 personnes devant le Pape François, les cardinaux ...Ce fut un moment très fort que nous ne sommes pas prêts d'oublier. Et comment oublier l'homélie papale qui a suivi sur les dérives politiques financières du monde actuel et qui, elle aussi, a été reçue de manière très forte par nous tous.