Mais est-ce seulement envisageable.
Les sorties des dernières semaines ne plaident guère en faveur des porteurs d'un maillot bleu devenu trop pale pour que l'on n'exige pas une réaction de la part de tous ceux qui le porte plus qu'il ne le défende !
Certes il y a eu les blessures, les suspensions, le mercato d'hiver raté.
Mais avant tout cela, mis à part quelques matches que l'on pensait de référence face à Monaco, Nice et Marseille mais qui en réalité ne l'ont jamais été, le comportement du Sporting n'a jamais été cité en exemple ni à Furiani et encore moins à l'extérieur à l'exception de ce succès-surprise de Rennes.
Depuis de contre-performance en non-match et de non-match en contre-performance, le Sporting a glissé tout doucement vers le bas du tableau, le remplacement de Ciccolini par Almeida ne changeant rien à l'affaire : le SCB ne sait pas toujours pas ce que gagner veut dire depuis le début de l'année.
Bref, tous les voyants sont au rouge et le Sporting est bon dernier, mais l'espoir qu'entretient à toutes ses conférences de presse Rui Almeida, est toujours là.
Lorient et Nancy n'ont que trois points de plus que le Sporting et l'adversaire du jours Dijon, 4.
Et si l'entraîneur portugais peut, au plan mathématique, tenir ce raisonnement la réalité, on l'a vu à plusieurs reprises, est toute autre sur le terrain.
A moins que…
Que la moutarde monte, enfin, au nez des partenaires de Cahuzac et que le vent de la révolte, que tout le monde attend, se mette à souffler sur la mer, noire, des résultats.
Les temps et les hommes ont certes changé, le Sporting aussi, mais l'histoire est là pour nous rappeler que les "bleus", quand la situation l'imposait, avaient toujours su se surpasser pour atteindre l'objectif fixé.
Celui-ci tient en 8 lettres : m-a-i-n-t-i-e-n pour lesquelles on aimerait voir les partenaires de Yannick Cahuzac se battre comme s'il s'agissait d'une finale de coupe du Monde.
Le contraire, dans leur position, serait pour le moins fâcheux…
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Les deux groupes
SC Bastia
Leca, Vincensini, Thébaux - Cioni, Djiku, El Kaoutari, Rose, Bengtsson, Diallo - Cahuzac, Mostefa, Keita, Oniangué, Coulibaly, Ngando, Diallo - Raspentino, Crivelli, Saint-Maximin, Nangis, Acheampong
DFCO Dijon
Leroy, Reynet - Chafik, Lang, Lotiès, Haddadi, Varrault - Abeid, Amalfitano, Belmonte, Kwon, Lees-Melou, Marié, Martin, Sammaritano - Bela, Diony, Rivière, Tavares
Les sorties des dernières semaines ne plaident guère en faveur des porteurs d'un maillot bleu devenu trop pale pour que l'on n'exige pas une réaction de la part de tous ceux qui le porte plus qu'il ne le défende !
Certes il y a eu les blessures, les suspensions, le mercato d'hiver raté.
Mais avant tout cela, mis à part quelques matches que l'on pensait de référence face à Monaco, Nice et Marseille mais qui en réalité ne l'ont jamais été, le comportement du Sporting n'a jamais été cité en exemple ni à Furiani et encore moins à l'extérieur à l'exception de ce succès-surprise de Rennes.
Depuis de contre-performance en non-match et de non-match en contre-performance, le Sporting a glissé tout doucement vers le bas du tableau, le remplacement de Ciccolini par Almeida ne changeant rien à l'affaire : le SCB ne sait pas toujours pas ce que gagner veut dire depuis le début de l'année.
Bref, tous les voyants sont au rouge et le Sporting est bon dernier, mais l'espoir qu'entretient à toutes ses conférences de presse Rui Almeida, est toujours là.
Lorient et Nancy n'ont que trois points de plus que le Sporting et l'adversaire du jours Dijon, 4.
Et si l'entraîneur portugais peut, au plan mathématique, tenir ce raisonnement la réalité, on l'a vu à plusieurs reprises, est toute autre sur le terrain.
A moins que…
Que la moutarde monte, enfin, au nez des partenaires de Cahuzac et que le vent de la révolte, que tout le monde attend, se mette à souffler sur la mer, noire, des résultats.
Les temps et les hommes ont certes changé, le Sporting aussi, mais l'histoire est là pour nous rappeler que les "bleus", quand la situation l'imposait, avaient toujours su se surpasser pour atteindre l'objectif fixé.
Celui-ci tient en 8 lettres : m-a-i-n-t-i-e-n pour lesquelles on aimerait voir les partenaires de Yannick Cahuzac se battre comme s'il s'agissait d'une finale de coupe du Monde.
Le contraire, dans leur position, serait pour le moins fâcheux…
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Les deux groupes
SC Bastia
Leca, Vincensini, Thébaux - Cioni, Djiku, El Kaoutari, Rose, Bengtsson, Diallo - Cahuzac, Mostefa, Keita, Oniangué, Coulibaly, Ngando, Diallo - Raspentino, Crivelli, Saint-Maximin, Nangis, Acheampong
DFCO Dijon
Leroy, Reynet - Chafik, Lang, Lotiès, Haddadi, Varrault - Abeid, Amalfitano, Belmonte, Kwon, Lees-Melou, Marié, Martin, Sammaritano - Bela, Diony, Rivière, Tavares
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