L'ambiance
Petite chambrée, travées de plus en plus clairsemées malgré des prix de places défiant toute concurrence :Le Sporting ne fait plus recette à Furiani. Il est vrai que le stade Armand-Cesari n'aime que les gagnants et que sur ce plan il n'est plus guère gâté depuis le mois de Septembre ou bien encore parce que le SCB, avant de se mesurer face à Metz, est en position de barragiste, mais quand même...
Le match
Il mit du temps à démarrer. Il commença même mal pour le Sporting qui dès le premier quart d'heure de jeu perdait El Kaoutari sur blessure. Mais si jusque-là les deux équipes firent jeu égal avec des Messins venus pour obtenir un résultat et des Bastiais qui voulaient mettre un terme à leur interminable série d'insuccès, Furiani eut peu d'occasions de vibrer.
En effet, si de part et d'autre on fit preuve de beaucoup de bonne volonté on fit preuve aussi de beaucoup trop de maladresses pour mettre véritablement l'une ou l'autre défense en danger. Certes il y eut cette 14e minute et Enzo Crivelli stoppé à la limite de la surface de réparation qui fit crier tout son dépit à Furiani envers Olivier Thual qui était reste sans réaction. Et c'est tout.
La partie prit cependant une autre tournure à la 23e minute quand Saint-Maximin, décalé par Coulibaly, s'en allait à toute allure sur son côté droit puis centrait en retrait en pleine surface messine. Bisevac s'emmêlait un peu les pinceaux pour finalement servir Danic sur sa droite. Le numéro 8 bastiais, démarqué, n'avait plus, dès lors, qu'à placer le ballon entre Didillon et son poteau droit et ça faisait 1 à 0 pour le Sporting et chaud au cœur de Furiani.
Mais Metz n'abdiqua pas pour autant et il fallut sur cette frappe puissante de Mandjeck le poteau gauche puis le dos de Leca pour écarter le danger messin.
Un danger qui s'accentua au fur et mesure que le match avança et sans une fois de plus un excellent Jean-Louis Leca, le pire aurait pu arriver à Furiani où dans le camp opposé, à l'exception de Saint-Maximin le Sporting avait du mal à ordonner son jeu.
Jusqu'à ce coup de génie de Saint-Maximin, mis dans les meilleures dispositions par le rentrant Ngando. Un dribble, deux puis une frappe terrible au ras du sol qui transperçait la défense messine et abusait Didillon impuissant. Et le sort du match était scellé...
Petite chambrée, travées de plus en plus clairsemées malgré des prix de places défiant toute concurrence :Le Sporting ne fait plus recette à Furiani. Il est vrai que le stade Armand-Cesari n'aime que les gagnants et que sur ce plan il n'est plus guère gâté depuis le mois de Septembre ou bien encore parce que le SCB, avant de se mesurer face à Metz, est en position de barragiste, mais quand même...
Le match
Il mit du temps à démarrer. Il commença même mal pour le Sporting qui dès le premier quart d'heure de jeu perdait El Kaoutari sur blessure. Mais si jusque-là les deux équipes firent jeu égal avec des Messins venus pour obtenir un résultat et des Bastiais qui voulaient mettre un terme à leur interminable série d'insuccès, Furiani eut peu d'occasions de vibrer.
En effet, si de part et d'autre on fit preuve de beaucoup de bonne volonté on fit preuve aussi de beaucoup trop de maladresses pour mettre véritablement l'une ou l'autre défense en danger. Certes il y eut cette 14e minute et Enzo Crivelli stoppé à la limite de la surface de réparation qui fit crier tout son dépit à Furiani envers Olivier Thual qui était reste sans réaction. Et c'est tout.
La partie prit cependant une autre tournure à la 23e minute quand Saint-Maximin, décalé par Coulibaly, s'en allait à toute allure sur son côté droit puis centrait en retrait en pleine surface messine. Bisevac s'emmêlait un peu les pinceaux pour finalement servir Danic sur sa droite. Le numéro 8 bastiais, démarqué, n'avait plus, dès lors, qu'à placer le ballon entre Didillon et son poteau droit et ça faisait 1 à 0 pour le Sporting et chaud au cœur de Furiani.
Mais Metz n'abdiqua pas pour autant et il fallut sur cette frappe puissante de Mandjeck le poteau gauche puis le dos de Leca pour écarter le danger messin.
Un danger qui s'accentua au fur et mesure que le match avança et sans une fois de plus un excellent Jean-Louis Leca, le pire aurait pu arriver à Furiani où dans le camp opposé, à l'exception de Saint-Maximin le Sporting avait du mal à ordonner son jeu.
Jusqu'à ce coup de génie de Saint-Maximin, mis dans les meilleures dispositions par le rentrant Ngando. Un dribble, deux puis une frappe terrible au ras du sol qui transperçait la défense messine et abusait Didillon impuissant. Et le sort du match était scellé...
Le Sporting
La sérénité ne fut pas une affaire bastiaise en début de partie. Maladresses, hésitations, approximations ont caractérisé ce Sporting sans doute traumatisé par ses derniers résultats et l'appréhension de cette nouvelle sortie à Furiani après le cinglant 4 à 0 de Monaco.
Mais bientôt Saint-Maximian et Danic ont rallié leurs partenaires à leur panache bleu pour mettre le SCB sur la bonne voie.
Pourtant, alors que l'on s'attendait voir les Bastais poursuivre le mors aux dents, ce furent les visiteurs qui se montrèrent les plus percutants en trouvant le poteau de Leca et en n'hésitant jamais à aller provoquer une défense bastiaise pour le moins fébrile... Metz alors poussa et poussa jusqu'à ce qu'Allan survienne...
Du coup l'équipe de Ciccolini, qui avait retrouvé ses belles couleurs, pouvait respirer un grand coup.
L'adversaire
Le FC Metz de Philippe Hinschberger ne fait pas dans le génie, mais il a le tempérament de son entraîneur et fort des valeurs de ce dernier et celles cultivées en Ligue 2, qu'il fréquentait encore la saison dernière et où l'on apprend à jamais renoncer, il est à même de tout supporter. Et de tout tenter pour essayer de ne jamais perdre. Il en a fait une nouvelle preuve ce samedi soir en mettant, souvent le Sporting en danger.
Il n'a pas tiré profit de ces belles qualités mentales mais il est à même de sauver sa place en Ligue 1.
Le bilan
La jonction avec le 24 Septembre - dernière victoire du Sporting face à Guingamp - est faite : Le SCB a retrouvé le chemin du succès. Et peut-être des nouvelles raisons d'espérer avant d'aller à Rennes et de recevoir l'OM..
La sérénité ne fut pas une affaire bastiaise en début de partie. Maladresses, hésitations, approximations ont caractérisé ce Sporting sans doute traumatisé par ses derniers résultats et l'appréhension de cette nouvelle sortie à Furiani après le cinglant 4 à 0 de Monaco.
Mais bientôt Saint-Maximian et Danic ont rallié leurs partenaires à leur panache bleu pour mettre le SCB sur la bonne voie.
Pourtant, alors que l'on s'attendait voir les Bastais poursuivre le mors aux dents, ce furent les visiteurs qui se montrèrent les plus percutants en trouvant le poteau de Leca et en n'hésitant jamais à aller provoquer une défense bastiaise pour le moins fébrile... Metz alors poussa et poussa jusqu'à ce qu'Allan survienne...
Du coup l'équipe de Ciccolini, qui avait retrouvé ses belles couleurs, pouvait respirer un grand coup.
L'adversaire
Le FC Metz de Philippe Hinschberger ne fait pas dans le génie, mais il a le tempérament de son entraîneur et fort des valeurs de ce dernier et celles cultivées en Ligue 2, qu'il fréquentait encore la saison dernière et où l'on apprend à jamais renoncer, il est à même de tout supporter. Et de tout tenter pour essayer de ne jamais perdre. Il en a fait une nouvelle preuve ce samedi soir en mettant, souvent le Sporting en danger.
Il n'a pas tiré profit de ces belles qualités mentales mais il est à même de sauver sa place en Ligue 1.
Le bilan
La jonction avec le 24 Septembre - dernière victoire du Sporting face à Guingamp - est faite : Le SCB a retrouvé le chemin du succès. Et peut-être des nouvelles raisons d'espérer avant d'aller à Rennes et de recevoir l'OM..
La fiche technique
A Furiani, SC Bastia : 2 FC Metz : 0 (1-0)
Buts pour le SC Bastia : Danic (23e) Saint-Maximin (75e)
Arbitre : Olivier Thual
Avertissements : Coulibaly (22e), Danic (83e) au SC Bastia; Cohade (45e), N'Guette (52e) au FC Metz
SC Bastia
Leca, Djiku, El Kaoutari puis Marange (16e), Peybernes, Bengtsson, Mostefa, Diallo puis Ngando (67e), Coulibaly, Danic, Crivelli puis Nangis (84e), Saint-Maximin (Vincensini, Cioni, Keita, Raspentino)
FC Metz
Didillon, Assou-Ekotto, Riviere, Bisevac, Rivierez, Hein puis Sarr (63e), Doukouré, Cohade, Mandjeck, N'Guette puis Mollet (82e), Diallo (Oberhauser, Signorino, Balliu, Philips, Vion)
Buts pour le SC Bastia : Danic (23e) Saint-Maximin (75e)
Arbitre : Olivier Thual
Avertissements : Coulibaly (22e), Danic (83e) au SC Bastia; Cohade (45e), N'Guette (52e) au FC Metz
SC Bastia
Leca, Djiku, El Kaoutari puis Marange (16e), Peybernes, Bengtsson, Mostefa, Diallo puis Ngando (67e), Coulibaly, Danic, Crivelli puis Nangis (84e), Saint-Maximin (Vincensini, Cioni, Keita, Raspentino)
FC Metz
Didillon, Assou-Ekotto, Riviere, Bisevac, Rivierez, Hein puis Sarr (63e), Doukouré, Cohade, Mandjeck, N'Guette puis Mollet (82e), Diallo (Oberhauser, Signorino, Balliu, Philips, Vion)