Skhiri marque contre son camp
L'ambiance
Assistance clairsemée samedi soir au stade Armand-Cesari mais si le nombre, une fois encore, n'y était pas les présents ont su se faire entendre. Et apprécier la tonitruante entrée en matière du Sporting qui, accablé par le sort et les décisions des arbitres, entendait prouver ballon au pied qu'il méritait mieux que le sort qui lui a fait actuellement...
Le match
Il ne fallait pas être en retard ce samedi soir à Furiani.
5 minutes ne s'étaient pas en effet écoulées à la vitesse de l'éclair Coulibaly s'enfonçait sur le côté gauche de la défense héraultaise, puis parvenait, en force, à solliciter Saint-Maximin sur sa gauche qui reprenait en pleine course mais alors de Furiani s'apprêtait à applaudir au premier but de la soirée Pionnier dans un extraordinaire réflexe parvenait à détourner en corner.
Mais ce n'était que partie remise pour les "bleus". Sur le coup de pied qui suivait Florian Marange, démarqué au second poteau, pressait Skhiri : la suite vous la connaissez. C'était le but parfait contre son camp que Pionnier, surpris, ne pouvait éviter.
Cette fois Furiani pouvait laisser éclater sa joie. D'autant que les petits lutins "bleus" en faisaient voir de toutes le couleurs aux défenseurs de Frédéric Hantz sollicités de tous les côtés. A la limite du KO.
Le KO?
Il aurait pu survenir dès la 20e minute si Crivelli n'avait pas expédié en tribune Petrignani ce ballon en or que lui remit en retrait l'insaisissable Nangis.
C'est ce qui incita sans doute Montpellier à s'appliquer à aller de l'avant. Le Sporting connut alors quelques alertes comme à la demi-heure quand Sessegnon, idéalement placé au cœur de la défense bastiaise décida de prendre sa chance, mais comme Vincensini veillait bien au grain...
Cela confortait le Sporting dans ses belles intentions.
Un Sporting qui atteignait la pause à 100 à l'heure sans pour autant, et c'est ce que l'on regrettait à ce moment là, de ne pas avoir su faire la différence...
Assistance clairsemée samedi soir au stade Armand-Cesari mais si le nombre, une fois encore, n'y était pas les présents ont su se faire entendre. Et apprécier la tonitruante entrée en matière du Sporting qui, accablé par le sort et les décisions des arbitres, entendait prouver ballon au pied qu'il méritait mieux que le sort qui lui a fait actuellement...
Le match
Il ne fallait pas être en retard ce samedi soir à Furiani.
5 minutes ne s'étaient pas en effet écoulées à la vitesse de l'éclair Coulibaly s'enfonçait sur le côté gauche de la défense héraultaise, puis parvenait, en force, à solliciter Saint-Maximin sur sa gauche qui reprenait en pleine course mais alors de Furiani s'apprêtait à applaudir au premier but de la soirée Pionnier dans un extraordinaire réflexe parvenait à détourner en corner.
Mais ce n'était que partie remise pour les "bleus". Sur le coup de pied qui suivait Florian Marange, démarqué au second poteau, pressait Skhiri : la suite vous la connaissez. C'était le but parfait contre son camp que Pionnier, surpris, ne pouvait éviter.
Cette fois Furiani pouvait laisser éclater sa joie. D'autant que les petits lutins "bleus" en faisaient voir de toutes le couleurs aux défenseurs de Frédéric Hantz sollicités de tous les côtés. A la limite du KO.
Le KO?
Il aurait pu survenir dès la 20e minute si Crivelli n'avait pas expédié en tribune Petrignani ce ballon en or que lui remit en retrait l'insaisissable Nangis.
C'est ce qui incita sans doute Montpellier à s'appliquer à aller de l'avant. Le Sporting connut alors quelques alertes comme à la demi-heure quand Sessegnon, idéalement placé au cœur de la défense bastiaise décida de prendre sa chance, mais comme Vincensini veillait bien au grain...
Cela confortait le Sporting dans ses belles intentions.
Un Sporting qui atteignait la pause à 100 à l'heure sans pour autant, et c'est ce que l'on regrettait à ce moment là, de ne pas avoir su faire la différence...
Et on le regretta véritablement à la reprise quand Camara s'en allait sur le côté droit pour offrir ce ballon de l'égalisation à Mounié.
Pour le Sporting était à refaire.
Restait alors à savoir s'il allait avoir les moyens d'élever le rythme de la rencontre pour distancer une fois encore son adversaire.
On sait ce qu'il advenu avec cette seconde période plutôt ratée, il faut bien en convenir.
Le Sporting
Quel punch ! Quelle envie d'aller de l'avant ! Animé d'une incontestable de lauriers le Sporting a entamé ce match comme il le fallait : en faisant feu de tout bois dans le camp adverse. A ce jeu le petit Nangis et un à un degré moindre Saint-Maximim et Coulibaly se sont montrés les meilleurs. "Il faudra faire un match d'hommes si on veut le gagner" disait la veille François Ciccolini. Sur ce plan il a été parfaitement entendu. Cahuzac n'était pas là. Leca et Squillaci pas davantage. Mais qu'importe leur esprit, qui a inspiré ce Sporting, a soufflé sur Furiani.
Dommage qu'il n'ait pas eu les moyens de ses ambitions. Et que pour la cinquième fois consécutive il n'ait pas réussi à arracher les 3 points du succès, ce qui le condamne à demeurer dans les profondeurs du classement à portée de points du premier relégable.
Et au calendrier se profilent Nice, Bordeaux et Monaco.
L'adversaire
Le Montpellier de Frédéric Hantz a incontestablement souffert durant la première période de jeu et l'allant du SCB. Mais le coach Héraultais, condamné à suivre le match depuis les tribunes, a su rectifier le tir à la pause.
C'est une toute autre équipe, en tout cas, que Furiani a vu évoluer. Bien plus décidée en tout cas qu'elle ne l'avait été en première période à ramener un résultat positif de Furiani. Le Sporting a connu alors, à son tour, de chaudes alertes mais à l'image de Vincensini, qui suppléait Leca, il a su, fort heureusement, tenir le choc.
Le bilan
Cinq matches de rang sans victoire et la 17e place au classement avec seulement 2 points d'avance sur le premier relégable : Le Sporting fait un inquiétant sur place depuis plusieurs semaines. Saura t-il et pourra t-il réagir à Nice, face à Bordeaux à Furiani puis ensuite à Monaco ?
C'est indispensable !
Pour le Sporting était à refaire.
Restait alors à savoir s'il allait avoir les moyens d'élever le rythme de la rencontre pour distancer une fois encore son adversaire.
On sait ce qu'il advenu avec cette seconde période plutôt ratée, il faut bien en convenir.
Le Sporting
Quel punch ! Quelle envie d'aller de l'avant ! Animé d'une incontestable de lauriers le Sporting a entamé ce match comme il le fallait : en faisant feu de tout bois dans le camp adverse. A ce jeu le petit Nangis et un à un degré moindre Saint-Maximim et Coulibaly se sont montrés les meilleurs. "Il faudra faire un match d'hommes si on veut le gagner" disait la veille François Ciccolini. Sur ce plan il a été parfaitement entendu. Cahuzac n'était pas là. Leca et Squillaci pas davantage. Mais qu'importe leur esprit, qui a inspiré ce Sporting, a soufflé sur Furiani.
Dommage qu'il n'ait pas eu les moyens de ses ambitions. Et que pour la cinquième fois consécutive il n'ait pas réussi à arracher les 3 points du succès, ce qui le condamne à demeurer dans les profondeurs du classement à portée de points du premier relégable.
Et au calendrier se profilent Nice, Bordeaux et Monaco.
L'adversaire
Le Montpellier de Frédéric Hantz a incontestablement souffert durant la première période de jeu et l'allant du SCB. Mais le coach Héraultais, condamné à suivre le match depuis les tribunes, a su rectifier le tir à la pause.
C'est une toute autre équipe, en tout cas, que Furiani a vu évoluer. Bien plus décidée en tout cas qu'elle ne l'avait été en première période à ramener un résultat positif de Furiani. Le Sporting a connu alors, à son tour, de chaudes alertes mais à l'image de Vincensini, qui suppléait Leca, il a su, fort heureusement, tenir le choc.
Le bilan
Cinq matches de rang sans victoire et la 17e place au classement avec seulement 2 points d'avance sur le premier relégable : Le Sporting fait un inquiétant sur place depuis plusieurs semaines. Saura t-il et pourra t-il réagir à Nice, face à Bordeaux à Furiani puis ensuite à Monaco ?
C'est indispensable !
La fiche technique
A Furiani, SC Bastia : 1 Montpellier : 1 (1-0)
Buts pour le SC Bastia : Skhiri (CSC, 5e)
Pour Montpellier : Mounie (56e)
Arbitre : M. Moreira
Avertissements : Cioni (49e), Nangis (55e) au SC Bastia
SC Bastia
Vincensini, Cioni, Marange, Peybernes, Bengtsson, Mostefa, Diallo puis Cabral (87e), Coulibaly puis Keita (66e) Nangis, Crivelli, Saint-Maximin
Montpellier
Pionnier, Saint Ruf, Roussillon puis Congre (85e), Hilton, Deplagne, Sanson, Boudebouz, Skhiri, Sessegon, Camara puis Berigaud (72e), Mounié
Buts pour le SC Bastia : Skhiri (CSC, 5e)
Pour Montpellier : Mounie (56e)
Arbitre : M. Moreira
Avertissements : Cioni (49e), Nangis (55e) au SC Bastia
SC Bastia
Vincensini, Cioni, Marange, Peybernes, Bengtsson, Mostefa, Diallo puis Cabral (87e), Coulibaly puis Keita (66e) Nangis, Crivelli, Saint-Maximin
Montpellier
Pionnier, Saint Ruf, Roussillon puis Congre (85e), Hilton, Deplagne, Sanson, Boudebouz, Skhiri, Sessegon, Camara puis Berigaud (72e), Mounié
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