Stade Armand Cesari
Bastia-Rennes 2-1 (0-1)
Buts : Ayité (50e), Kamano (69e) pour Bastia, Sio (39e) pour Rennes
Arbitre : M. Moreira assisté de MM Moreau, Ocak, Petit
Avertissements : Sio (92e) à Rennes
Expulsion : Brandao (78e) à Bastia
Les équipes
SC Bastia : Leca-Djiku, Modesto, Squillaci, Palmieri, Cahuzac, Fofana, Diallo puis Danic (70e), Ayité puis Maboulou (86e), Brandao, Kamano puis Coulibaly (90e+4)
Entraîneur : Ghislain Printant
Stade Rennais
Costil, Mexer, Mendes, Moreira, Armand, Baal puis Toivonen (74e), Fernandes, Doucouré puis Lenjani (13e), Henrique puis Grosicki (67e), Sylla, Sio
Entraîneur : Philippe Montanier
Le début de rencontre était plutôt timide des deux côtés. Les joueurs bastiais ne semblaient pas encore avoir pris leurs marques sur leur nouvelle pelouse. Entre approximations et déchets techniques, la partie manquait cruellement de saveur. Il faut dire qu’en face les Bretons, certes bien organisés, n’étaient pas dangereux pour autant. La première franche occasion était à mettre à l’actif du Sporting aux alentours de la 25e, c’est dire. Sur un centre de Floyd Ayité, Brandao contrôlait bien, mais sa frappe manquait la cible. Rennes répondait par Henrique d’une frappe lointaine sans danger pour Leca. Les joueurs commençaient à se lâcher sans pour autant être précis dans leurs passes, tirs et autres appuis. Fofana s’essayait de loin, mais le cuir volait au-dessus des buts de Costil, puis Ayité portait le danger dans le camp breton et au moment le plus propice glissait laissant le ballon à Henrique. Ce dernier partait comme une fusée vers le but bastiais, ouvrait pour Baal qui centrait sur Sio qui, libre de tout marquage, ouvrait le score (39e). L’ancien buteur bastiais avait la politesse de ne pas fêter son but, mais les hommes de Printant rentraient aux vestiaires avec un retard d’un goal. A la reprise, le coach bastiais modifiait son système de jeu en garnissant son milieu et découvrant ses ailes. Cette stratégie était rapidement payante puisque sur une première attaque Palmieri, en verve, semait la panique dans la défense rennaise. Ce coup pour rien était suivi par une belle action de Sadio Diallo, dont le centre au deuxième poteau trouvait Floyd Ayité qui d’une volée glissait le ballon entre les bras de Costil (50e). Revigoraient par cette égalisation, les bleus prenaient le jeu à leur compte et faisaient circuler le ballon de fort belle façon. Les hommes de Montanier avaient la tête sous l’eau et c’est François Kamano qui allait leur faire boire la tasse en reprenant de volée un corner de Floyd Ayité (69e). Les hommes de Printant avaient renversé la vapeur.
Le coach rennais effectuait les changements pour mettre du monde devant. Grosicki puis Toivonen prenaient place sur le rectangle vert, mais rien n’y faisait, Rennes restait embourbée dans ses élucubrations métaphysiques. Même le coup de pouce de l’arbitre, M. Moreira, ne changeait pas la donne. L’expulsion de Brandao à moins d’un quart d’heure du terme de la rencontre, pour une faute sur Mendes, ne permettait pas aux équipiers d’Armand de reprendre l’ascendant.
La partie se terminait avec un joli succès des bastiais qui laisse augurer d’autres belles soirées au cours de l’été.
M. M.
Bastia-Rennes 2-1 (0-1)
Buts : Ayité (50e), Kamano (69e) pour Bastia, Sio (39e) pour Rennes
Arbitre : M. Moreira assisté de MM Moreau, Ocak, Petit
Avertissements : Sio (92e) à Rennes
Expulsion : Brandao (78e) à Bastia
Les équipes
SC Bastia : Leca-Djiku, Modesto, Squillaci, Palmieri, Cahuzac, Fofana, Diallo puis Danic (70e), Ayité puis Maboulou (86e), Brandao, Kamano puis Coulibaly (90e+4)
Entraîneur : Ghislain Printant
Stade Rennais
Costil, Mexer, Mendes, Moreira, Armand, Baal puis Toivonen (74e), Fernandes, Doucouré puis Lenjani (13e), Henrique puis Grosicki (67e), Sylla, Sio
Entraîneur : Philippe Montanier
Le début de rencontre était plutôt timide des deux côtés. Les joueurs bastiais ne semblaient pas encore avoir pris leurs marques sur leur nouvelle pelouse. Entre approximations et déchets techniques, la partie manquait cruellement de saveur. Il faut dire qu’en face les Bretons, certes bien organisés, n’étaient pas dangereux pour autant. La première franche occasion était à mettre à l’actif du Sporting aux alentours de la 25e, c’est dire. Sur un centre de Floyd Ayité, Brandao contrôlait bien, mais sa frappe manquait la cible. Rennes répondait par Henrique d’une frappe lointaine sans danger pour Leca. Les joueurs commençaient à se lâcher sans pour autant être précis dans leurs passes, tirs et autres appuis. Fofana s’essayait de loin, mais le cuir volait au-dessus des buts de Costil, puis Ayité portait le danger dans le camp breton et au moment le plus propice glissait laissant le ballon à Henrique. Ce dernier partait comme une fusée vers le but bastiais, ouvrait pour Baal qui centrait sur Sio qui, libre de tout marquage, ouvrait le score (39e). L’ancien buteur bastiais avait la politesse de ne pas fêter son but, mais les hommes de Printant rentraient aux vestiaires avec un retard d’un goal. A la reprise, le coach bastiais modifiait son système de jeu en garnissant son milieu et découvrant ses ailes. Cette stratégie était rapidement payante puisque sur une première attaque Palmieri, en verve, semait la panique dans la défense rennaise. Ce coup pour rien était suivi par une belle action de Sadio Diallo, dont le centre au deuxième poteau trouvait Floyd Ayité qui d’une volée glissait le ballon entre les bras de Costil (50e). Revigoraient par cette égalisation, les bleus prenaient le jeu à leur compte et faisaient circuler le ballon de fort belle façon. Les hommes de Montanier avaient la tête sous l’eau et c’est François Kamano qui allait leur faire boire la tasse en reprenant de volée un corner de Floyd Ayité (69e). Les hommes de Printant avaient renversé la vapeur.
Le coach rennais effectuait les changements pour mettre du monde devant. Grosicki puis Toivonen prenaient place sur le rectangle vert, mais rien n’y faisait, Rennes restait embourbée dans ses élucubrations métaphysiques. Même le coup de pouce de l’arbitre, M. Moreira, ne changeait pas la donne. L’expulsion de Brandao à moins d’un quart d’heure du terme de la rencontre, pour une faute sur Mendes, ne permettait pas aux équipiers d’Armand de reprendre l’ascendant.
La partie se terminait avec un joli succès des bastiais qui laisse augurer d’autres belles soirées au cours de l’été.
M. M.