C'est un premier pas mais il pourrait faire tâche d'huile sur les principaux réseaux sociaux. Désormais, les 250.000 utilisateurs et 10.000 organisations sur Whaller pourront illustrer leurs publications et leurs échanges avec le drapeau corse.
"Cette histoire d’emojis n’est pas anodine. Il ne faut pas croire que ces petites icones relèvent du gadget. Elles émaillent chaque jour des millions de messages sur des réseaux mondialisés, qui sont, de fait, coupés des racines et des valeurs de leurs utilisateurs. Aussi, il ne faut pas s’étonner qu’un emoji aux couleurs du drapeau corse constitue le cadet des soucis des réseaux américains, bien plus occupés à exploiter les données de leurs utilisateurs » explique Whaller.
« Mais il ne faut pas se tromper de combat pour autant. Ça n’est pas en obtenant de Monsieur Zuckerberg qu’il ‘reconnaisse’ la Corse ou la Bretagne que nous ferons avancer les choses. C’est bien plutôt en incitant les Européens, les entreprises et institutions d’Europe à peupler massivement des plateformes souveraines établies en Europe et prêtes à conquérir le monde, c’est-à-dire à servir son aspiration à l’échange.
Pour quelles raisons?
D’abord parce que ces plateformes, au premier rang desquelles figure Whaller, sont, dans leur dessein même, porteuses d’une vision de l’Homme qui n’a absolument rien à voir avec ce que nous proposent les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) " souligne encore le réseau social.
"Cette histoire d’emojis n’est pas anodine. Il ne faut pas croire que ces petites icones relèvent du gadget. Elles émaillent chaque jour des millions de messages sur des réseaux mondialisés, qui sont, de fait, coupés des racines et des valeurs de leurs utilisateurs. Aussi, il ne faut pas s’étonner qu’un emoji aux couleurs du drapeau corse constitue le cadet des soucis des réseaux américains, bien plus occupés à exploiter les données de leurs utilisateurs » explique Whaller.
« Mais il ne faut pas se tromper de combat pour autant. Ça n’est pas en obtenant de Monsieur Zuckerberg qu’il ‘reconnaisse’ la Corse ou la Bretagne que nous ferons avancer les choses. C’est bien plutôt en incitant les Européens, les entreprises et institutions d’Europe à peupler massivement des plateformes souveraines établies en Europe et prêtes à conquérir le monde, c’est-à-dire à servir son aspiration à l’échange.
Pour quelles raisons?
D’abord parce que ces plateformes, au premier rang desquelles figure Whaller, sont, dans leur dessein même, porteuses d’une vision de l’Homme qui n’a absolument rien à voir avec ce que nous proposent les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) " souligne encore le réseau social.