Depuis le 19 décembre, les voyageurs souhaitant se rendre en Corse doivent avoir réalisé un test PCR ou antigénique moins de 72 heures avant leur départ, et ce, jusqu’au vendredi 8 janvier. Depuis l’entrée en vigueur du dispositif, 58 000 personnes ont été contrôlées individuellement par les forces de l’ordre : « Nous n’avons pas fait tous les vols et les bateaux mais l’essentiel » précise le préfet de Corse Pascal Lelarge. Parmi ces voyageurs, 750 n’ont pas été en mesure de présenter le test demandé, et ont donc été testés à leur arrivée, et 39 ont été verbalisés. Des chiffres dont se réjouit le préfet : « 1,5% de non conformité c’était inespéré, c’est un grand succès » souligne t-il.
Le variant britannique détecté en Corse
« Ce filet de sécurité à l’arrivée a permis de limiter le risque dans des proportions importantes » indique la directrice de l’ARS Marie-Hélène Lecenne. Grâce à cette politique de tests, « une quinzaine » de cas positifs a été détectée sur l’île. Ils ont été placés à l'isolement. Un voyageur porteur du variant britannique du virus, venant de Londres, a également été identifié. « Cette personne a été isolée à son domicile, conformément au protocole » précise la directrice de l’ARS.
La circulation virale augmente sur l’île
Malgré ces précautions, la circulation virale augmente : « C’est lié à nos pratiques festives de fin d’année » explique Marie-Hélène Lecenne. Si les chiffres ne sont pour l’heure pas consolidés, le taux d’incidence est bel et bien en augmentation : « La semaine dernière il était de 63 pour 100 000, alors que la semaine d’avant nous étions à 42 pour 100 000 » sur l’ensemble de l’île. « On va surveiller les résultats de cette semaine » prévient la directrice de l’ARS, car ce sont eux qui seront révélateurs de l’impact des réveillons.
Par ailleurs, l'unité COVID a été réouverte au Centre hospitalier d'Ajaccio car, la demande en hospitalisations conventionnelles a augmenté depuis ce week-end.
Une politique de tests qui va se poursuivre
Pour ce début d’année, le message est clair : « Si on a le moindre doute, il faut se faire tester, même pour ceux qui n’ont pas voyagé » insiste Marie-Hélène Lecenne. L’offre insulaire a donc été adaptée : l’ensemble des capacités de tests seront mobilisées sur l’île, complétées par deux barnums sur l’agglomération d’Ajaccio et le centre hospitalier pour ce qui est de Bastia. L’amplitude horaire des laboratoires et pharmacies sera augmentée, afin que toutes les personnes qui le souhaitent puissent réaliser un test. « C’est du civisme et c’est ce qui permettra de limiter la propagation » conclut la directrice de l’ARS.
Le variant britannique détecté en Corse
« Ce filet de sécurité à l’arrivée a permis de limiter le risque dans des proportions importantes » indique la directrice de l’ARS Marie-Hélène Lecenne. Grâce à cette politique de tests, « une quinzaine » de cas positifs a été détectée sur l’île. Ils ont été placés à l'isolement. Un voyageur porteur du variant britannique du virus, venant de Londres, a également été identifié. « Cette personne a été isolée à son domicile, conformément au protocole » précise la directrice de l’ARS.
La circulation virale augmente sur l’île
Malgré ces précautions, la circulation virale augmente : « C’est lié à nos pratiques festives de fin d’année » explique Marie-Hélène Lecenne. Si les chiffres ne sont pour l’heure pas consolidés, le taux d’incidence est bel et bien en augmentation : « La semaine dernière il était de 63 pour 100 000, alors que la semaine d’avant nous étions à 42 pour 100 000 » sur l’ensemble de l’île. « On va surveiller les résultats de cette semaine » prévient la directrice de l’ARS, car ce sont eux qui seront révélateurs de l’impact des réveillons.
Par ailleurs, l'unité COVID a été réouverte au Centre hospitalier d'Ajaccio car, la demande en hospitalisations conventionnelles a augmenté depuis ce week-end.
Une politique de tests qui va se poursuivre
Pour ce début d’année, le message est clair : « Si on a le moindre doute, il faut se faire tester, même pour ceux qui n’ont pas voyagé » insiste Marie-Hélène Lecenne. L’offre insulaire a donc été adaptée : l’ensemble des capacités de tests seront mobilisées sur l’île, complétées par deux barnums sur l’agglomération d’Ajaccio et le centre hospitalier pour ce qui est de Bastia. L’amplitude horaire des laboratoires et pharmacies sera augmentée, afin que toutes les personnes qui le souhaitent puissent réaliser un test. « C’est du civisme et c’est ce qui permettra de limiter la propagation » conclut la directrice de l’ARS.