Une dizaine d’artistes se sont relayés sur scène pour manifester leur engagement pour une société corse apaisée et exprimer « l’inquiétude face aux processus de criminalisation qui travaillent dangereusement notre société » comme résumait André Paccou.
Le collectif initié en juin dernier par 11 personnalités de la société civile a réuni une belle affiche : l’humoriste Guy Bedos, le groupe A Filetta et le trio féminin Soledonna se sont relayés sur la scène du théâtre municipal, entrecoupés par des interventions de militants associatifs. « Ce n’est qu’un tout petit départ mais nous espérons un grand point de ralliement » lance Jean Claude Acquaviva, le chanteur d’A Filetta.
« Nous nous sommes dit qu’il fallait ouvrir un espace pour que chaque citoyen puisse s’exprimer, qu’il puisse dire non à cette fatalité de la violence, des armes et des deuils » a déclaré Linda Pipperi, en présentant la démarche du collectif.
Voix et paroles
De Jean Claude Acquaviva lisant un texte d’Albert Jacquard à la revue de presse de Guy Bedos et son hommage à Nelson Mandela, de la parole juste du père Gaston Pietri aux voix enivrantes de Patrizia Gattaceca, et de Patrizia et Lydia Poli, des interventions des représentants du collectif Aitone à la beauté des mélodies d’A Filleta, des convaincus de l’importance de la lutte contre les violences et l’arbitraire se sont exprimés par le chant ou la parole.
Maître-mot de la soirée, la « parole » aura été partagée avec des représentants du collectif Aîtone, autre collectif contre la violence créé après les incendies de l’entreprise Ceccaldi à Evisa : « Nous n’avons pas l’intention de donner des leçons, nous sommes des citoyens mais nous voulons donner la voix aux gens et pouvoir la partager. Et on va dire non, il faut dire non ! » Et André Paccou d’insister « notre objectif est l’interpellation des consciences pour dire qu’il n’y a pas de fatalité. »
Grâce à la générosité des artistes, les bénéfices de la soirée serviront pour le collectif à la préparation de nouvelles actions. D’autres manifestations publiques et un clip vidéo sont en préparation pour les mois à venir.
Le collectif initié en juin dernier par 11 personnalités de la société civile a réuni une belle affiche : l’humoriste Guy Bedos, le groupe A Filetta et le trio féminin Soledonna se sont relayés sur la scène du théâtre municipal, entrecoupés par des interventions de militants associatifs. « Ce n’est qu’un tout petit départ mais nous espérons un grand point de ralliement » lance Jean Claude Acquaviva, le chanteur d’A Filetta.
« Nous nous sommes dit qu’il fallait ouvrir un espace pour que chaque citoyen puisse s’exprimer, qu’il puisse dire non à cette fatalité de la violence, des armes et des deuils » a déclaré Linda Pipperi, en présentant la démarche du collectif.
Voix et paroles
De Jean Claude Acquaviva lisant un texte d’Albert Jacquard à la revue de presse de Guy Bedos et son hommage à Nelson Mandela, de la parole juste du père Gaston Pietri aux voix enivrantes de Patrizia Gattaceca, et de Patrizia et Lydia Poli, des interventions des représentants du collectif Aitone à la beauté des mélodies d’A Filleta, des convaincus de l’importance de la lutte contre les violences et l’arbitraire se sont exprimés par le chant ou la parole.
Maître-mot de la soirée, la « parole » aura été partagée avec des représentants du collectif Aîtone, autre collectif contre la violence créé après les incendies de l’entreprise Ceccaldi à Evisa : « Nous n’avons pas l’intention de donner des leçons, nous sommes des citoyens mais nous voulons donner la voix aux gens et pouvoir la partager. Et on va dire non, il faut dire non ! » Et André Paccou d’insister « notre objectif est l’interpellation des consciences pour dire qu’il n’y a pas de fatalité. »
Grâce à la générosité des artistes, les bénéfices de la soirée serviront pour le collectif à la préparation de nouvelles actions. D’autres manifestations publiques et un clip vidéo sont en préparation pour les mois à venir.