Les passants avaient de quoi être étonnés ce dimanche matin 11 avril du côté de la place Saint Nicolas ou de celle du marché où au son d’une « fausse » voix gouvernementale une dizaine de personnes, tout de blanc vêtues, défilaient. « Le virus est très contagieux, évitez tout contact humain, faites-vous vacciner, pas de masque pas de liberté, écoutez vos ministres, etc. » répétait en boucle une voix lancinante et quelque peu métallique, au rythme d’un son de cloche. Cette voix qui fait beaucoup d’effet sur les passants et les spectateurs a été enregistrée par Barbara Désirant, une militante belge.
De mauvais augure ?
Si on remonte à l’origine de ces manifestations, ce sont des mouvements qui « regroupent des membres de l’extrême gauche, des adeptes des théories du complot, des détracteurs de la vaccination ainsi que des partisans de l’extrême droite », comme l’expliquait le journal Le Monde il y a trois semaines (lire ici). Un collectif qui se revendique de ces « Masques blancs » a d'ailleurs défilé le 6 avril dernier du côté de Beauvais. Les membres ont distribué à des volontaires ces fameuses combinaisons et masques blancs avant de se rendre sur le parvis de la mairie avec en fond sonore le message audio dénonçant les mesures sanitaires liées à l’épidémie de Covid-19. Ils étaient accompagnés de Florian Philipot, sans masque, et des partisans des Patriotes, ce parti d’extrême droite qu’il a créé depuis son départ du RN. Ils ont également manifesté ce samedi 10 avril dans la capitale contre « la dictature sanitaire » que les « covidistes veulent [leurs] imposer » (lire ici).
Apolitique
A l’opposé, semble-t-il, de ces idées extrêmes, plusieurs défilés identiques dans la forme ont depuis eu lieu en France, à Nantes comme à Montpellier. Ils sont, cette fois, revendiqué par un mouvement qui se dit apolitique et qui a même édité une charte dans ce sens. Elle précise que ces manifestations sont « libres et affiliées à aucun mouvement politique, syndical ou religieux. » Regroupés sous aucune bannière, ces “autres” « Masques Blancs » s’avèrent tout de même particulièrement critiques envers la politique du gouvernement menée depuis le début de l’épidémie de Covid-19.
Un groupe corse a également rejoint ce mouvement et a réalisé son premier happening ce dimanche matin dans les rues de Bastia sous le regard éberlué des passants. Largement diffusé sur les réseaux sociaux, cette manifestation a déjà déclenché de nombreuses réactions. Affaire à suivre.
De mauvais augure ?
Si on remonte à l’origine de ces manifestations, ce sont des mouvements qui « regroupent des membres de l’extrême gauche, des adeptes des théories du complot, des détracteurs de la vaccination ainsi que des partisans de l’extrême droite », comme l’expliquait le journal Le Monde il y a trois semaines (lire ici). Un collectif qui se revendique de ces « Masques blancs » a d'ailleurs défilé le 6 avril dernier du côté de Beauvais. Les membres ont distribué à des volontaires ces fameuses combinaisons et masques blancs avant de se rendre sur le parvis de la mairie avec en fond sonore le message audio dénonçant les mesures sanitaires liées à l’épidémie de Covid-19. Ils étaient accompagnés de Florian Philipot, sans masque, et des partisans des Patriotes, ce parti d’extrême droite qu’il a créé depuis son départ du RN. Ils ont également manifesté ce samedi 10 avril dans la capitale contre « la dictature sanitaire » que les « covidistes veulent [leurs] imposer » (lire ici).
Apolitique
A l’opposé, semble-t-il, de ces idées extrêmes, plusieurs défilés identiques dans la forme ont depuis eu lieu en France, à Nantes comme à Montpellier. Ils sont, cette fois, revendiqué par un mouvement qui se dit apolitique et qui a même édité une charte dans ce sens. Elle précise que ces manifestations sont « libres et affiliées à aucun mouvement politique, syndical ou religieux. » Regroupés sous aucune bannière, ces “autres” « Masques Blancs » s’avèrent tout de même particulièrement critiques envers la politique du gouvernement menée depuis le début de l’épidémie de Covid-19.
Un groupe corse a également rejoint ce mouvement et a réalisé son premier happening ce dimanche matin dans les rues de Bastia sous le regard éberlué des passants. Largement diffusé sur les réseaux sociaux, cette manifestation a déjà déclenché de nombreuses réactions. Affaire à suivre.