Depuis sa création puis son installation, l’Assemblea di a Giuventù s’implique particulièrement sur la politique en faveur de la jeunesse corse mais aussi européenne. Après avoir engagé des échanges en avril dernier avec le conseil d’administration du Conseil des Jeunes Valdôtains, puis en juin dernier avec l’euro député Brando Benifei, l’Assemblea di a Giuventù a été invitée à rencontrer les jeunes sardes réunis en meeting.
« Nous avons été convié à présenter le travail et le fonctionnement de l’Assemblea di a Giuventù, comme le rapporte Camille Martelli, Vice-Présidente de l’Assemblea di a Giuventù. Nous avons échangé sur les contextes politiques de nos régions et sur les différentes problématiques rencontrées au quotidien. Par ailleurs, les sardes sont particulièrement intéressés par le fonctionnement de notre jeune assemblée. En effet, ils ont près de 200 conseils municipaux de jeunes mais aucune assemblée régionale telle que la nôtre. Nous avons grand intérêt pour les différents contacts que nous avons pu trouver au gré de nos déplacements. Nous espérons que ces nombreuses discussions pourraient aboutir à la constitution d’une commission internationale qui pourrait traiter des thématiques autour de la jeunesse en Europe ».
Si les sardes s’intéressent particulièrement au modèle corse de notre Assemblea di a Giuventù ils partagent certaines problématiques comme par exemple les transports.
« Nous avons proposé dernièrement un rapport présentant un dispositif sur la réduction des tarifs de transports internes et externes, a expliqué Pierre-Joseph Paganelli, président de la commission du développement économique, des transports et des affaires européennes. Ce rapport a été adopté par notre assemblée et sera présenté à l’Assemblée de Corse prochainement. Les frais de transports demeurent trop élevés et entravent la jeunesse au niveau de la mobilité pour les études, les formations et les carrières professionnelles. Les sardes se heurtent à la même problématique liée entre autres à notre insularité. Au-delà de cela nous garderons bien sur le contact avec les sardes mais aussi les jeunes Balkans et Valdôtains pour ne travailler pourquoi pas ensemble. Concernant notre assemblée nous restons sur nos valeurs fondamentales en défendant une Europe davantage démocratique qui respecte l’autodétermination et une politique agricole et de cohésion sociale ».
« Nous avons été convié à présenter le travail et le fonctionnement de l’Assemblea di a Giuventù, comme le rapporte Camille Martelli, Vice-Présidente de l’Assemblea di a Giuventù. Nous avons échangé sur les contextes politiques de nos régions et sur les différentes problématiques rencontrées au quotidien. Par ailleurs, les sardes sont particulièrement intéressés par le fonctionnement de notre jeune assemblée. En effet, ils ont près de 200 conseils municipaux de jeunes mais aucune assemblée régionale telle que la nôtre. Nous avons grand intérêt pour les différents contacts que nous avons pu trouver au gré de nos déplacements. Nous espérons que ces nombreuses discussions pourraient aboutir à la constitution d’une commission internationale qui pourrait traiter des thématiques autour de la jeunesse en Europe ».
Si les sardes s’intéressent particulièrement au modèle corse de notre Assemblea di a Giuventù ils partagent certaines problématiques comme par exemple les transports.
« Nous avons proposé dernièrement un rapport présentant un dispositif sur la réduction des tarifs de transports internes et externes, a expliqué Pierre-Joseph Paganelli, président de la commission du développement économique, des transports et des affaires européennes. Ce rapport a été adopté par notre assemblée et sera présenté à l’Assemblée de Corse prochainement. Les frais de transports demeurent trop élevés et entravent la jeunesse au niveau de la mobilité pour les études, les formations et les carrières professionnelles. Les sardes se heurtent à la même problématique liée entre autres à notre insularité. Au-delà de cela nous garderons bien sur le contact avec les sardes mais aussi les jeunes Balkans et Valdôtains pour ne travailler pourquoi pas ensemble. Concernant notre assemblée nous restons sur nos valeurs fondamentales en défendant une Europe davantage démocratique qui respecte l’autodétermination et une politique agricole et de cohésion sociale ».
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