Les syndicats dénoncent un retour au 19ème siècle. Pour la CGT avec cette réforme, « le patron pourra imposer des semaines à 48h et des heures supplémentaires bien moins payées qu’aujourd’hui ». Pour la Corse constituée très majoritairement de petites entreprises, c’est la promesse d’un enfer social tout au long de la vie, souligne encore la CGT qui donnait ce lundi une conférence de presse dans ses locaux de Bastia avec FO et la FSU.