Lucie Gaspari c’est le plaisir de l’archet, le plaisir de marcher. Originaire de Saint-Florent, toute jeune, elle accompagne très souvent sa maman, une randonneuse avertie. Le virus est attrapé, il ne quittera plus les pieds de Lucie. "Ma mère m’emmenait de partout, notamment sur les crêtes. Et je continue d’ailleurs aujourd’hui à me balader avec elle".
Quant au violon, Lucie explique en riant que personne ne sait exactement d'où lui vient cette passion. "Dès l'âge de trois ans, j'ai voulu jouer du violon. Peut-être ai-je entendu cet instrument quelque part, mais je suis trop jeune pour m'en rappeler aujourd'hui", confie-t-elle. Finalement, à l'âge de 5 ans, elle a commencé son apprentissage avec Max Morandi, un professeur de violon à Bastia, qui a accepté de l'enseigner malgré son jeune âge. Lucie a poursuivi son parcours au conservatoire jusqu'à devenir elle-même professeure de violon, principalement au Centre Culturel Una volta à Bastia.
Aujourd'hui, Lucie concilie ses deux passions : la randonnée et la musique. Les amateurs peuvent d'ailleurs la suivre sur sa page Facebook. "Pour moi, la randonnée représente avant tout la liberté. Jouer du violon au sommet des montagnes apporte une sérénité et une liberté incomparables. C'est être en harmonie avec la nature, s'élever au-dessus du monde réel et jouer en toute liberté. De plus, j'apprécie cette part d'improvisation qu'offre la nature avec sa météo changeante et ses éléments. La randonnée m'apporte une immense sérénité et bien-être dans ce monde moderne", confie-t-elle.
D'ailleurs, la professeure de musique nourrit le désir de faire de la randonnée une autre facette de sa carrière. "Il y a quelques années, cela ne me serait même pas venu à l'esprit. Mais plus les jours passent, et avec tous les événements récents, les changements dans le monde, le stress et les problèmes divers, la randonnée et la musique m'apaisent énormément. Elles me procurent beaucoup de bonheur personnel, et j'aimerais pouvoir partager ce bien-être avec d'autres personnes. Pour moi, la randonnée n'est pas une question de performance ou de dépassement de soi, mais plutôt une source de bien-être. Ce serait formidable de pouvoir offrir cet épanouissement à des personnes en difficulté, qui n'ont pas forcément un niveau sportif élevé, et les aider à trouver un mieux-être dans ce monde, à retrouver la sérénité, et leur apporter du bonheur et du bien-être", explique-t-elle. Lucie s'est donc lancée dans de nouvelles études, autres que celles des Mozart, Vivaldi, Bach, Bartók et autres Boulez, pour suivre des cours de formation de guide au sein de la Ligue Corse de Montagne. Nul doute que d’ici quelques mois, elle aura son diplôme en poche. La passion, la foi déplaçant souvent des … montagnes.
Quant au violon, Lucie explique en riant que personne ne sait exactement d'où lui vient cette passion. "Dès l'âge de trois ans, j'ai voulu jouer du violon. Peut-être ai-je entendu cet instrument quelque part, mais je suis trop jeune pour m'en rappeler aujourd'hui", confie-t-elle. Finalement, à l'âge de 5 ans, elle a commencé son apprentissage avec Max Morandi, un professeur de violon à Bastia, qui a accepté de l'enseigner malgré son jeune âge. Lucie a poursuivi son parcours au conservatoire jusqu'à devenir elle-même professeure de violon, principalement au Centre Culturel Una volta à Bastia.
Aujourd'hui, Lucie concilie ses deux passions : la randonnée et la musique. Les amateurs peuvent d'ailleurs la suivre sur sa page Facebook. "Pour moi, la randonnée représente avant tout la liberté. Jouer du violon au sommet des montagnes apporte une sérénité et une liberté incomparables. C'est être en harmonie avec la nature, s'élever au-dessus du monde réel et jouer en toute liberté. De plus, j'apprécie cette part d'improvisation qu'offre la nature avec sa météo changeante et ses éléments. La randonnée m'apporte une immense sérénité et bien-être dans ce monde moderne", confie-t-elle.
D'ailleurs, la professeure de musique nourrit le désir de faire de la randonnée une autre facette de sa carrière. "Il y a quelques années, cela ne me serait même pas venu à l'esprit. Mais plus les jours passent, et avec tous les événements récents, les changements dans le monde, le stress et les problèmes divers, la randonnée et la musique m'apaisent énormément. Elles me procurent beaucoup de bonheur personnel, et j'aimerais pouvoir partager ce bien-être avec d'autres personnes. Pour moi, la randonnée n'est pas une question de performance ou de dépassement de soi, mais plutôt une source de bien-être. Ce serait formidable de pouvoir offrir cet épanouissement à des personnes en difficulté, qui n'ont pas forcément un niveau sportif élevé, et les aider à trouver un mieux-être dans ce monde, à retrouver la sérénité, et leur apporter du bonheur et du bien-être", explique-t-elle. Lucie s'est donc lancée dans de nouvelles études, autres que celles des Mozart, Vivaldi, Bach, Bartók et autres Boulez, pour suivre des cours de formation de guide au sein de la Ligue Corse de Montagne. Nul doute que d’ici quelques mois, elle aura son diplôme en poche. La passion, la foi déplaçant souvent des … montagnes.