On a beau se pencher sur les divers classements : Le SCB, qui il y a quelques semaines encore se frottait à l'élite du football national, a complètement disparu du paysage du football français !
On pense alors que l'on va se réveiller et que le club, relégué à l'intersaison en Ligue 2, va rebondir et repartir de plus belle vers les sommets avec Reginald Ray, qui a pris les commandes du staff technique, après la malheureuse expérience Almeida.
C'est la promesse faite à l'heure de la reprise.
Mais depuis plus rien. Le mauvais rêve se poursuit : le SCB a disparu des contrôles radars des divers championnats.
Pas de Ligue 1, ça on le savait.
Mais, toujours ce cauchemar : pas davantage de Ligue 2. Ni de National.
Fini le statut pro.
Resterait alors le championnat régional.
Hé ! Mais là il faut se réveiller : il n'est pas possible d'imaginer une telle chute aux enfers. On ne peut laisser aller le Sporting indéfiniment de la sorte, lui qui se mesurait, il y a quelques semaines encore, à l'élite de la Ligue 1.
Hélas, le retour à la réalité est brutal.
Le Sporting pro, emporté par des dettes abyssales, n'est plus. Dès lors plus de Ligue 2. Ni de National.
L'effectif du club a fondu. Tous les joueurs sont partis sous d'autre cieux. Le centre de formation a fermé.
Et il reste une somme de problèmes à régler dans le sillage de son enterrement de première classe !
Mais qu'allons nous faire de nos samedis soir et des spectacles permanents qui se déroulaient certes toujours dans le même cadre, mais avec chaque dois des scenarii différents ?
Quand retrouverons-nous ces soirées passionnantes, ces joueurs d'exception, et ce public, parfois trop turbulent, qui ont fait la réputation du Sporting et de Furiani par-delà les limites étroites de l'Île de Beauté ?
Aujourd'hui nous pensons à tous ceux qui depuis 1965, dans le sillage de Victor Lorenzi, président durant 40 ans, ont maintenu le club à flot, l'ont conduit victorieusement sur les chemins de l'Europe du football et au sommet du football français.
A ceux qui ont été emportés - ou qui le seront inévitablement - avec lui.
Tous doivent faire le même, et unanime, constat de gâchis !
Non, ce n'est pas un cauchemar éveillé que sont en train de vivre tous ceux qui ont fait du Sporting leur religion,. C'est, hélas, la triste réalité.
Une triste réalité à vivre pour nous, aussi, qui avons suivi, presque sans interruption, le Sporting depuis son second retour en CFA dans les années 60 jusqu'à sa chute aujourd'hui.
Chi scumpientu !
On pense alors que l'on va se réveiller et que le club, relégué à l'intersaison en Ligue 2, va rebondir et repartir de plus belle vers les sommets avec Reginald Ray, qui a pris les commandes du staff technique, après la malheureuse expérience Almeida.
C'est la promesse faite à l'heure de la reprise.
Mais depuis plus rien. Le mauvais rêve se poursuit : le SCB a disparu des contrôles radars des divers championnats.
Pas de Ligue 1, ça on le savait.
Mais, toujours ce cauchemar : pas davantage de Ligue 2. Ni de National.
Fini le statut pro.
Resterait alors le championnat régional.
Hé ! Mais là il faut se réveiller : il n'est pas possible d'imaginer une telle chute aux enfers. On ne peut laisser aller le Sporting indéfiniment de la sorte, lui qui se mesurait, il y a quelques semaines encore, à l'élite de la Ligue 1.
Hélas, le retour à la réalité est brutal.
Le Sporting pro, emporté par des dettes abyssales, n'est plus. Dès lors plus de Ligue 2. Ni de National.
L'effectif du club a fondu. Tous les joueurs sont partis sous d'autre cieux. Le centre de formation a fermé.
Et il reste une somme de problèmes à régler dans le sillage de son enterrement de première classe !
Mais qu'allons nous faire de nos samedis soir et des spectacles permanents qui se déroulaient certes toujours dans le même cadre, mais avec chaque dois des scenarii différents ?
Quand retrouverons-nous ces soirées passionnantes, ces joueurs d'exception, et ce public, parfois trop turbulent, qui ont fait la réputation du Sporting et de Furiani par-delà les limites étroites de l'Île de Beauté ?
Aujourd'hui nous pensons à tous ceux qui depuis 1965, dans le sillage de Victor Lorenzi, président durant 40 ans, ont maintenu le club à flot, l'ont conduit victorieusement sur les chemins de l'Europe du football et au sommet du football français.
A ceux qui ont été emportés - ou qui le seront inévitablement - avec lui.
Tous doivent faire le même, et unanime, constat de gâchis !
Non, ce n'est pas un cauchemar éveillé que sont en train de vivre tous ceux qui ont fait du Sporting leur religion,. C'est, hélas, la triste réalité.
Une triste réalité à vivre pour nous, aussi, qui avons suivi, presque sans interruption, le Sporting depuis son second retour en CFA dans les années 60 jusqu'à sa chute aujourd'hui.
Chi scumpientu !
Le 16 avril : Sporting-Lyon. La feuille de match (la dernière) d'une rencontre qui ne s'est jamais achevée à Furiani
Assemblée générale extraordinaire jeudi
Les dirigeants du Sporting Club de Bastia tiendront une assemblée générale extraordinaire ce jeudi 17 août afin de laisser place à une nouvelle équipe de repreneurs constituée dans un premier temps des groupes Ferrandi et Oscaro.
Cette démarche de refondation du Sporting Club de Bastia a d’ores et déjà reçu le soutien de la Collectivité Territoriale de Corse et a vocation à s’ouvrir à d’autres partenariats.
Par ailleurs, le Club a officiellement saisi la Fédération Française de Football afin d’obtenir un report des premières journées du championnat de National 3.
Cette démarche de refondation du Sporting Club de Bastia a d’ores et déjà reçu le soutien de la Collectivité Territoriale de Corse et a vocation à s’ouvrir à d’autres partenariats.
Par ailleurs, le Club a officiellement saisi la Fédération Française de Football afin d’obtenir un report des premières journées du championnat de National 3.