Le 6 juin 1808, alors que la Corse est sous régime napoléonien et placée hors constitution, 192 hommes , âgés de 15 a 80 ans furent victimes d'une terrible répression à la suite de l’attaque du casernement de Prunelli-di-Fium’orbu par une poignée de fiumurbacci.
Le général Morand, comandant de la 23e division militaire, arrive a Isulacciu et donne l’ordre de rassembler les villageois dans l’église paroissiale. A leur sortie il seront arrêtes. 9 sont fusillés le 4 août a Bastia, les autres déportés, sans aucun procès, à la prison d’Embrun située dans les Hautes-Alpes où la plupart y mourront victimes de condition de détention inhumaines, et seront inhumes sommairement dans un terrain a proximité de la maison d’arrêt.
Ce samedi, comme il le fait maintenant depuis plusieurs années, l'associu, présidé par Jean-François Vinciguerra, a organisé une journée toute dédiée à la mémoire des victimes de ce terrible 6 Juin 1808.
Cette énième journée du souvenir a débuté par des informations généalogiques délivrées par l'associu à destination des personnes qui désiraient retrouver l’identité de leurs ancêtres victimes de cette répression.
Vesr 17 heures l’abée Renucci a présidé une messe chantée par les jeune du Fium’orbu tous descendants des
déportés. La cérémonie s'est poursuivie par l'hommage et un dépôt de gerbe devant le monument dédié a la mémoire 192 hommes, qui ne sont jamais revenus à Isulacciu.
Cette journée du souvenir s'est poursuivie à 19 heures avec la conférence de Jeannie Paoli sur les conditions de vie des déportés dans la prison d’embrun, ainsi que sur le cimetière dit "des corses", qui aujourd’hui est devenu une propriété privée, et pour lequel une pétition prônant le respect de ce lieu a été présentée aux participants de la journée.
Le film de Dumè Gambini sur la vie de Pasquale Paoli a mis un terme à la manifestation.
Le général Morand, comandant de la 23e division militaire, arrive a Isulacciu et donne l’ordre de rassembler les villageois dans l’église paroissiale. A leur sortie il seront arrêtes. 9 sont fusillés le 4 août a Bastia, les autres déportés, sans aucun procès, à la prison d’Embrun située dans les Hautes-Alpes où la plupart y mourront victimes de condition de détention inhumaines, et seront inhumes sommairement dans un terrain a proximité de la maison d’arrêt.
Ce samedi, comme il le fait maintenant depuis plusieurs années, l'associu, présidé par Jean-François Vinciguerra, a organisé une journée toute dédiée à la mémoire des victimes de ce terrible 6 Juin 1808.
Cette énième journée du souvenir a débuté par des informations généalogiques délivrées par l'associu à destination des personnes qui désiraient retrouver l’identité de leurs ancêtres victimes de cette répression.
Vesr 17 heures l’abée Renucci a présidé une messe chantée par les jeune du Fium’orbu tous descendants des
déportés. La cérémonie s'est poursuivie par l'hommage et un dépôt de gerbe devant le monument dédié a la mémoire 192 hommes, qui ne sont jamais revenus à Isulacciu.
Cette journée du souvenir s'est poursuivie à 19 heures avec la conférence de Jeannie Paoli sur les conditions de vie des déportés dans la prison d’embrun, ainsi que sur le cimetière dit "des corses", qui aujourd’hui est devenu une propriété privée, et pour lequel une pétition prônant le respect de ce lieu a été présentée aux participants de la journée.
Le film de Dumè Gambini sur la vie de Pasquale Paoli a mis un terme à la manifestation.