Lorsque vers 9h30 à Montesoro - au bâtiment A 7 de la résidence Erilla, un ordinateur et divers objets ont volé du premier étage de l'immeuble on a vite compris que tout n'allait au mieux au sein de cet appartement.
De fait l'homme en proie a cette crise de rage qui venait de s'enfermer chez lui après avoir fait sortir tous les autres occupants, venait de décrétér qu'il ferait sauter l'appartement.
L'alerte a été aussitôt donnée et la menace prise très au sérieux.
Les pompiers et les premiers hommes de la direction départementale de la sécurité publique prenait aussitôt position autour de l'immeuble ou pour parer à toute éventualité l'alimentation en gaz de l'appartement avait été coupé.
Dans le même Gilles Simeoni, le maire de Bastia, plusieurs adjoints et conseillers municipaux et Alain Rousseau, préfet de Haute-Corse se rendaient sur place.
Des négociateurs de la gendarmerie nationale, des psychiatres arrivaient également sur les lieux pour tenter de raisonner le forcené.
Des renforts du commissariat de Bastia - une vingtaine de personnes- avec du matériel de protection plus lourd, et des CRS étaient également déployés sur les lieux ou Alexandre Sanz, directeur de cabinet du préfet, et Myriam Akkari, directrice départementale de la sécurité publique dirigeaient les opérations.
Alors que la situation semblait bloquée et qu'il était fait officiellement appel au GIPN pour tenter de déloger le forcené, Jean-François Baccarelli qui l'avait compté parmi ses colistiers aux dernières municipales, arrivait à son tour sur place.
Après de nouvelles négociations tout rentrait dans l'ordre.
L'homme se rendait sans opposer de résistance aux forces de l'ordre.
Jean-François Baccarellli et Alexandre Sanz nous disent comment.
De fait l'homme en proie a cette crise de rage qui venait de s'enfermer chez lui après avoir fait sortir tous les autres occupants, venait de décrétér qu'il ferait sauter l'appartement.
L'alerte a été aussitôt donnée et la menace prise très au sérieux.
Les pompiers et les premiers hommes de la direction départementale de la sécurité publique prenait aussitôt position autour de l'immeuble ou pour parer à toute éventualité l'alimentation en gaz de l'appartement avait été coupé.
Dans le même Gilles Simeoni, le maire de Bastia, plusieurs adjoints et conseillers municipaux et Alain Rousseau, préfet de Haute-Corse se rendaient sur place.
Des négociateurs de la gendarmerie nationale, des psychiatres arrivaient également sur les lieux pour tenter de raisonner le forcené.
Des renforts du commissariat de Bastia - une vingtaine de personnes- avec du matériel de protection plus lourd, et des CRS étaient également déployés sur les lieux ou Alexandre Sanz, directeur de cabinet du préfet, et Myriam Akkari, directrice départementale de la sécurité publique dirigeaient les opérations.
Alors que la situation semblait bloquée et qu'il était fait officiellement appel au GIPN pour tenter de déloger le forcené, Jean-François Baccarelli qui l'avait compté parmi ses colistiers aux dernières municipales, arrivait à son tour sur place.
Après de nouvelles négociations tout rentrait dans l'ordre.
L'homme se rendait sans opposer de résistance aux forces de l'ordre.
Jean-François Baccarellli et Alexandre Sanz nous disent comment.